Translation for "puntilla" to french
Translation examples
un chal de puntilla;
un châle de dentelle ;
Gorro de puntillas.
Bonnet de dentelle.
—¡Qué bonita puntilla, señora Dossin!
— Quelle jolie dentelle vous avez, madame Dossin !
Penney y tenía una puntilla alrededor.
Penney pour cinquante-neuf cents, et il y avait de la dentelle tout autour.
A Tylin le gustaba que los hombres llevaran encajes y puntillas.
Tylin aimait la dentelle sur un homme.
Colgajos de puntilla recogidos en lo alto de la ventana.
Vieilles guenilles de dentelle relevées à la fenêtre.
Y los vestidos de verano blanco con puntillas te sientan de maravilla.
Et les robes en dentelle blanches te vont à ravir.
¡Paseando agarradas del brazo y hablando de puntillas!
Marcher bras dessus bras dessous en parlant de dentelle !
Y en los claros de la Ciudad Puntilla, la selva virgen renacía.
Dans les trous de la Ville Dentelle, la forêt vierge renaissait.
Leslie acarició el vestido de puntillas con cara de pena.
demanda Leslie en caressant la robe de dentelle avec pitié.
Cortando diametralmente la superficie del agua, apareció el pequeño transbordador que hacía su travesía dos veces al día: algunos huéspedes del Parc Palace estaban instalados bajo el toldo de rayas rojas y blancas, y en el primer banco, de cara a ellos, un acordeonista dejaba huir racimos de triples corcheas que se cernían a la pata coja sobre la extensión del lago, bailando de puntillas en las crestas de las olas.
Fendant le plan d’eau diamétralement, parut le petit bac qui en assurait deux fois par jour la traversée : des pensionnaires du Parc Palace y étaient installés sous le dais rayé rouge et blanc, et sur le banc avant, tourné vers eux, un accordéoniste laissait s’enfuir des grappes de triples croches qui planaient à cloche-pied sur l’étendue du lac, faisant des pointes aux crêtes des vaguelettes.
La joven esposa, de puntillas junto a un aparador estilo Luis XIII, alarga los brazos para alcanzar, en el anaquel más alto del mueble, una fuente de loza decorada con un paisaje romántico: inmensos prados rodeados de cercas y cortados por oscuros bosques de pinos y arroyuelos salidos de madre que forman lagos y, en lontananza, una casona estrecha y alta con un balcón y un tejado truncado en el que está posada una cigüeña.
La jeune femme, debout sur la pointe des pieds près d’un vaisselier genre Louis XIII, les bras tendus, prend sur l’étagère supérieure du meuble un plat de faïence décoré représentant un paysage romantique : d’immenses prairies entourées de clôtures de bois et coupées par de sombres bois de pins et par de petits ruisseaux débordés formant des lacs, avec, dans le lointain, une bâtisse étroite et haute avec un balcon et un toit tronqué sur lequel est posée une cigogne. L’homme est vêtu d’un chandail à pois.
La compañía, fiel a la tradición clásica más pura —tutú, puntillas, entrechats, jetté-battus, Giselle, Lago de los cisnes, pas de deux y suite en blanc— actuaba en los festivales de los alrededores de París —Noches musicales de Chatou, Sábados artísticos de la Hacquinière, Sonido y Luz de Arpajon, Festival de Livry-Gargan, etc.— y en los institutos de enseñanza media, donde, titulares de una subvención irrisoria del Ministerio de Educación Nacional, los Ballets Frère daban clases de iniciación a la danza para alumnos de los últimos cursos de bachillerato, haciendo en el gimnasio o en los comedores unas demostraciones que Jean Jacques Frère iba acompañando con comentarios campechanos sazonados con chistes viejos y sobreentendidos lúbricos.
La troupe, fidèle à la plus pure tradition classique — tutu, pointes, entrechats, jetés battus, Giselle, Lac des Cygnes, pas de deux et suite en blanc — se produisait dans des festivals de banlieue — Nuits musicales de Chatou. Samedis artistiques de La Hacquinière, Son et Lumière d’Arpajon, Festival de Livry-Gargan, etc. — et dans les lycées où, titulaires d’une subvention dérisoire de l’Éducation nationale, les Ballets Frère initiaient les grandes classes à l’art de la danse en faisant dans la salle de gymnastique ou dans le réfectoire des démonstrations que Jean-Jacques Frère ponctuait au fur et à mesure de commentaires bon enfant émaillés de jeux de mots usés et de sous-entendus grivois.
¿Qué ha sucedido?, ¿no te sientes bien?, pregunta Abner y agrega innecesariamente, me robaron el coche, lo dejé en el aparcamiento de la universidad y me lo robaron, ella lo mira sorprendida, qué diferente parece hoy, su tez se ensombreció y su expresión cambió, en lugar del engreimiento que exhibía ante ella hay ahora una torturada concentración que se ha adueñado de su rostro, cuando se sienta a su lado Dina nota que su atención se dispersa, que sus labios tiemblan y que todo él está conmocionado, tiene la sensación de que ese banco bajo el eucalipto es de algún modo una barcaza a la deriva en medio de un lago, meciéndose perdida entre las olas y aunque perdida es su única esperanza pues ambos son náufragos, supervivientes de un barco hundido, hermano y hermana necesitados de ayuda celeste pues su padre ha muerto y su madre agoniza, se arrastra de puntillas como una vieja caimán hembra del pantano, ellos la contemplan desde sus respectivas lejanías pero nada pueden hacer en su favor.
demande-t-il avant de se justifier inutilement, on m’a volé ma voiture, je l’avais laissée dans le parking de l’université et elle a disparu, Dina le dévisage, étonnée, il a l’air différent aujourd’hui, son visage s’est desséché et ses traits ont changé, une crispation torturée a remplacé l’arrogance qu’il affichait, du moins face à elle et quand il s’assied à ses côtés, elle le sent distrait, ses lèvres frissonnent, en fait il a l’air tellement bouleversé qu’elle se dit que ce banc, sous l’eucalyptus, est un radeau au milieu d’un lac, un radeau qui oscille à la merci des vagues, plus il tangue, plus il apparaît comme leur seul espoir, ils sont les rescapés d’un bateau ivre, un frère et une sœur qui ont urgemment besoin d’une intervention céleste car leur père est mort et leur mère agonise, rampant vers sa fin tel un vieux crocodile des marais, et eux, les enfants, ne peuvent, en toute impuissance, que les observer de loin dans leurs cimetières respectifs.
La recuerdo en corsé y camisola, toda ella lazos y puntillas, pirueteando ante el espejo y charlando acerca de mis tíos… Ningún muchacho del mundo tuvo tantos tíos como yo.
Je me la rappelle en corset et cache-corset, toute rubans et lacets, faisant des pirouettes devant le miroir et bavardant au sujet de mes oncles… Aucun petit garçon au monde n’a eu autant d’oncles que moi.
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