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Translation examples
No, hombre, no… estás de coña.
Nonononon, voyons… tu plaisantes.
—Estás de coña —dijo Harry.
« Tu plaisantes… » soupira Harry.
—Bueno, pues yo no estoy de coña.
– Eh bien, je ne plaisante pas, moi, figure-toi.
¿Puedes controlarlas? —¿Estás de coña?
Tu peux contrôler le phénomène ? — Tu plaisantes ?
—¡Estás de coña! —me dijo un lunes, meneando la cabeza—.
– Tu plaisantes ! s’est-il exclamé un lundi.
No esperaba que respondiese que sí, esperaba que dijese algo como: «¿Estás de coña?
Je ne m’attendais pas à ce qu’il réponde par l’affirmative. Plutôt par un truc du genre : Tu plaisantes ?
–¿Alguna vez has sido violento con Ari? –Ni de coña. Nunca.
« Ça t’est arrivé de lever la main sur Ari ? — Tu plaisantes ? Jamais.
Mi viejo yo inmortal se habría reído de esa respuesta. «¿Bien? ¿Estás de coña?».
Ça aurait bien fait rire mon ancien moi immortel (« Ça va ? Tu plaisantes ? »).
—El libro de las sombras de Udide. —El chico sonrió. —¿Qué? —casi gritó Orlu—. ¡Estás de coña!
– Le Grimoire des Ombres d’Udide. – Quoi ? hurla presque Orlu. Tu plaisantes ? – Qui est Udide ?
—Joder, ¿estás de coña?
— C’est une blague ?
—¿Que Fred Pink es tu tío? —Angelica se queda de una pieza—. ¿Estás de coña?
– Fred Pink est ton oncle ? » Angelica en reste bouche bée. « Sans blague ?
Por algo relacionado con sus empresas. —¿Estás de coña? —No. Cree que tiene que ver con su amistad conmigo, con nosotros. —¿Qué?
À propos de ses affaires. — Tu blagues ? — Non. Mais il croit que c’est parce qu’on est amis. — Quoi ?
Hay una rueda de prensa en la comisaría de Wakefield a las tres. —Estarás de coña, no me jodas. ¿Por qué? —La han encontrado. —Mierda.
Il y a une conférence de presse au commissariat de Wakefield à quinze heures. — Tu blagues ? Pourquoi ? — Ils l’ont retrouvée. — Merde.
(No va de coña, es la gerente del Pramod del centro de Melun y se llama Mercancie… Oh, destino.)
(Sans blague, c'est la gérante de Pramod Melun-centre-ville et elle s'appelle Marchandize… O destinée.)
—Me ha dicho que mi vida corre peligro —sonrió Barry mientras se ponía en pie. —¿Estás de coña? ¿Por qué? —¿Por qué no?
— Elle m’a dit que ma vie était en danger, répondit Barry, souriant, tandis qu’il se levait. — Tu blagues ? Pourquoi ? — Pourquoi pas ?
—Es su dios. —¿Estás de coña? —No, de verdad. Es Quesoricóttatl. Medio hombre, medio pollo, medio jaguar, medio serpiente, medio escorpión y medio loco.
— C’est leur dieu. — Sans blague ? — Si, je t’assure. C’est Quetzduffelcoatl. Moitié homme, moitié poulet, moitié jaguar, moitié serpent, moitié scorpion et moitié fou. »
Y el viejo amigo de Shag tiene unas cuantas miles, y sí, también una pista de aterrizaje porque, como Shag explica a Art, «el viejo Wayne vuela a Ocotillo a comprar sus comestibles», y no va en coña.
Son vieux pote en possède quelques milliers et, oui, il a une piste d’atterrissage. « Ce vieux Wayne va faire ses courses à Ocotillo en avion », explique Shag, et c’est pas de la blague.
Oh, Dios, tienes que estar de coña. ¿Ella forma parte de eso? —La animadora jefe contra nuestra Marina. ¿A ti qué te parece?
Bordel de merde, c’est une farce ? Vous croyez qu’elle est impliquée aussi ? — Oui, c’est elle qui essaie de monter la population contre la Marine.
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