Translation for "fourre" to spanish
Translation examples
Il devait avoir l’impression de transporter un four.
Debió de ser como acarrear un horno.
Si vous étiez comme moi, en train de vous reposer au pied du cyprès depuis que le four est allumé, vous en auriez vu qu'on charriait là-bas tant et plus.
Si hubiera estado descansando al pie del ciprés como yo desde que el horno está encendido, habría visto que allá abajo no paran de acarrear gente.
C’était de la voir, vivante, voyez-vous, et l’air en bonne santé quatre semaines plus tard, qui l’avait à ce point ravi qu’il en avait ramassé sa pleine charge des meilleures mûres du comté, et lui en avait d’abord fourré deux dans la bouche avant d’offrir cette difficile récolte à Baby Suggs.
Fue el hecho de haberla visto viva y con aspecto saludable cuatro semanas después lo que lo alegró tanto como para acarrear la mayor cantidad posible de las mejores zarzamoras de la comarca e introducirle dos en la boca antes de entregar la ardua cosecha a Baby Suggs.
Telles des antilopes, ils bondirent par-dessus la petite barrière – un mince grillage uniquement prévu pour les chiens, les lapins et les enfants égarés – conduits par les plus durs, les plus jeunes et les plus enragés, ramassèrent des chevrons ou des poutrelles en acier et fracassèrent les briques qu’ils ne feraient jamais cuire dans les fours béants, éventrèrent les sacs de chaux qu’ils n’avaient pas gâchée ni même pu apporter ;
Como antílopes saltaron la pequeña verja —una barrera de alambre pensada para cerrar el paso sólo a los perros, los conejos y los niños vagabundos— y, con los más duros, los más furiosos y los más jóvenes a la cabeza, cogieron los tablones de madera y los finos nervios de acero y destrozaron los ladrillos que nunca cocerían en los bostezantes hornos; rasgaron los sacos de cal que ellos no habían mezclado y que ni siquiera se les había permitido acarrear;
En dépit de son aspect fragile, Marie travaille comme les autres femmes, elle carde, file et tisse les vêtements de la maison, elle cuit tous les jours que Dieu fait le pain de la famille dans le four domestique, elle descend à la fontaine pour charrier l’eau, puis remonte la côte par des sentiers abrupts, une cruche pansue sur la tête, une jarre appuyée sur la hanche, puis, à la tombée du soir, elle va par les chemins et les plaines du Seigneur ramasser du bois et raser les chaumes, portant en outre un panier dans lequel elle recueillera la bouse sèche du bétail et aussi ces chardons et ces plantes épineuses qui abondent sur les collines pentues de Nazareth et qui sont parmi ce que Dieu a su inventer de mieux pour allumer un feu et tresser une couronne.
Pese a su débil figura, María trabaja como las otras mujeres, cardando, hilando y tejiendo las ropas de casa, cociendo todos los santos días el pan de la familia en el horno doméstico, bajando a la fuente para acarrear el agua, luego cuesta arriba, por los caminos empinados, con un gran cántaro en la cabeza y un barreño apoyado en la cintura, yendo después, al caer la tarde, por esos caminos y descampados del Señor, a apañar chascas y rapar rastrojos, llevando además un cesto en el que recogerá bosta seca del ganado y también esos cardos y espinos que abundan en las laderas de los cerros de Nazaret, de lo mejor que Dios fue capaz de inventar para encender la lumbre y trenzar una corona.
de nouveau dans le sud de Charleston, ville « monstre » pour Seldon à cause des vapeurs fuligineuses qui nimbaient les zones de fret et d’entrepôts, et les longs toits sombres des usines noires de suie ; deux fois aux abords de Charleston, capitale de l’État. Là, vers minuit, pour appeler la dépanneuse, mon père dut franchir une voie ferrée à pied et descendre une décharge jusqu’à un pont sur un fleuve avec des péniches de charbon, des dragueurs, des remorqueurs ; il cherchait un boui-boui nanti d’un téléphone à pièces, ayant laissé les deux garçons tout seuls dans la voiture, sur la route qui longeait le fleuve, en face de la zone chaotique de l’usine – bicoques, baraques, cabanes en tôle, bennes de charbon, grues, palans, tourelles au squelette d’acier, fours électriques, forges rugissantes, cuves trapues, hautes barrières anticycloniques –, usine qui, à en croire les panneaux larges comme des réclames, était la plus grande fabrique de haches, hachettes et faucilles du monde.
otra vez en Charleston Sur, la ciudad que le pareció a Seldon «un monstruo» debido al vapor y el humo que trazaba espirales sobre las zonas de carga, los almacenes y los largos y oscuros tejados de las factorías ennegrecidas por el hollín, y otras dos veces en las mismas afueras de la capital del estado, Charleston. Allí, alrededor de medianoche, para poder pedir una grúa por teléfono, mi padre tuvo que cruzar a pie un terraplén de ferrocarril y luego bajar por una colina de chatarra hasta un puente tendido sobre un río en el que se alineaban gabarras para el transporte de carbón, dragas y remolcadores, en busca de un tugurio a orillas del río que tuviera teléfono público, y entretanto nos dejó a los dos muchachos solos en el coche, en la carretera que corría paralela al río y en cuya ribera opuesta se alzaba una fábrica que era un amasijo interminable (cobertizos y casuchas, edificios de plancha de hierro, vagonetas abiertas para acarrear carbón, grúas y plumas de carga y torres de armazón de acero, hornos eléctricos y forjas rugientes, achaparrados tanques de almacenamiento y altas cercas de alambre), una fábrica que era, si se daba crédito a un letrero del tamaño de una valla publicitaria, «La fábrica de hachas, hachuelas y guadañas más grande del mundo».
Vous pourrez y fourrer sandwiches, outils, tout ce que bon vous semblera.
En él podéis llevar herramientas, bocadillos y todo lo que queráis.
« Je vais emporter la lettre, comprends-tu ? » Et il l’avait fourrée dans la poche de sa veste.
—Me voy a llevar la carta, ¿comprendes? —y se la metió en el bolsillo de la americana—.
J’ai obéi à mon instinct, me suis aplati au sol et ai roulé dans un fourré.
Me dejé llevar por el instinto, que me indicó echarme a tierra y rodar hasta la hierba alta.
Descendons de ce toit, je t'emmè-nerai à l'hôtel Four Seasons à Fashion Island.
Te llevaré al hotel Four Seasons de Fashion Island.
Çà et là, elles choisirent, picotèrent petits fours et tartes pour emporter.
Eligieron, aquí y allá, picaron pastas y tartas para llevar.
Il songea : Je découvrirai au moins où on l’a fourré et j’irai y déposer quelques fleurs.
«Por lo menos, averiguaré donde lo han enterrado y le llevaré unas flores», pensó.
Lui, se laisser traîner devant un tribunal, accepter que des chats-fourrés l’interrogent, le jugent !
¡Él, dejarse llevar ante un tribunal, aceptar que lo interrogasen y juzgasen aquellos «gatos forrados»[11]!
Je me demandais comment je pourrais transporter le chat, jusqu'au moment où j'eus l'idée de le fourrer dans une taie d'oreiller.
No se me ocurría cómo llevar el gato, hasta que decidí hundirlo en una funda de almohada.
Elle prit dans la garde-robe son sac fourre-tout, celui dans lequel elle emportait toutes ses affaires pour les concerts.
Sacó del armario la bolsa que solía utilizar para llevar sus cosas a los conciertos.
Je conduirai personnellement mes deux « patients » à Four Pence afin de les confier à tes soins et à ceux de la communauté.
Yo mismo llevaré a mis dos «pacientes» a Four Pence, para entregarlos a tu cuidado y al de la comunidad.
— Ah, tu peux aller te faire fourrer, enfoiré, dit Les.
—Sí, pues ya te puedes ir yendo a tomar por culo, cabrón —me suelta.
Je crois que je ferais bien d’aller chercher votre voiture et de la fourrer dans un garage.
Creo que tendré que tomar su coche y meterlo en algún garaje para que lo guarden.
— Je peux avoir des frites et une patate au four ? demande le petit garçon.
—¿Puedo tomar patatas fritas y una patata cocida? —pregunta el niño.
On regagna la salle à manger pour boire du thé et manger des pommes au four avec de la confiture.
Volvieron al comedor para tomar el té y comer manzanas al horno con almíbar.
— Ce carnaval, j’en fais mon affaire – même si je bois trop et que je me fourre dans un mauvais pas, comme d’habitude.
Tendré que tomar mis precauciones para este carnaval… por si bebo demasiado y me meto en un berenjenal, como suele suceder.
— On est dans un gril, bon sang. Elle prendra un steak, à point, avec des pommes de terre au four et du brocoli.
—Por el amor de Dios, estamos en un restaurante de carne. Tomará un filete, al punto, con brécol y patatas cocidas.
Ils arrivent pour le thé. Sur la table, j’ai posé un plateau de petits fours que je suis descendue acheter ce matin.
Vienen a tomar el té, y en la mesa he puesto una bandeja de pastelillos que he bajado a comprar esta mañana.
Je l’ai fourré dans son sac à main.
Se lo metí en el bolso.
On fourre pas le temps dans des sacs !
¡No puedes meter el tiempo en una bolsa!
Il l’a fourrée dans le sac et il s’est tiré.
Lo metió en el bolso y se largó.
Pourquoi ne pas fourrer la veste ensanglantée dans un sac ?
¿Por qué no metió la chaqueta en una bolsa?
Il commença à fourrer ses affaires dans son sac.
Empezó a meter sus cosas en la bolsa.
Je fourre le T-shirt dans mon sac à main.
Meto la camiseta en mi bolso de mano.
Fourre les robes de Marisa dans son sac.
Guarda las cosas de Marisa en su bolso.
H fut aussitôt fourré dans un sac en plastique et étiqueté.
La guardaron en una bolsa y la etiquetaron.
Garde le sac, fourre-le dans ta ceinture.
Guarda la bolsa, métela bajo el cinturón.
MODE. » Je plie le carton et le fourre dans mon sac.
Doblo la postal y la guardo en el bolso.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test