Translation for "compadecer" to french
Translation examples
—Podría llegar al punto de compadecer a la mafia en este tema —dijo. Clyde sonrió.
“Peut-être pourrai-je sympathiser là-dessus avec la Mafia.” Clyde sourit.
Lear. Había que compadecer al tipo.
Lear... On ne pouvait que compatir avec ce bonhomme.
¿Quieres que te cuente acerca de mis otras enfermedades? ¿Te compadecerás?
Dois-je parler de mes autres maux ? Vous voulez compatir ?
A medida que avanzan, ella se reprocha cada vez más su impulso amistoso, al que quisiera purgar incluso de toda compasión: compadecer es hasta excesivo.
À mesure qu’ils avancent, elle s’en veut de plus en plus de son élan amical, qu’elle voudrait purger même de toute compassion : compatir, c’est encore trop.
Parecía uno de esos sacerdotes sudamericanos que, durante los movimientos guerrilleros en El Salvador, a fuerza de celebrar tantos funerales de matanzas, dejaban de compadecer y empezaban a gritar.
On aurait cru un de ces prêtres latino-américains à l’époque de la guerre civile au Salvador, ceux qui n’en pouvaient plus de célébrer des funérailles après les massacres, cessaient de compatir et se mettaient à hurler.
¿Cómo podía compadecer o alcanzar a entender lo que debía de estar sintiendo él? Apretó los labios con gesto adusto. Sus ojos brillaban con una firme determinación, una mirada que me recordó demasiado a su padre. Abrió la mano y se dio unos golpecitos en el pecho con el pulgar. «Estoy bien».
Comment pouvais-je compatir, ou simplement comprendre ce que mon ami ressentait ? La bouche pincée, le regard froid et déterminé – une expression qui ne me rappelait que trop son père –, il a ouvert une main et pointé le pouce vers sa poitrine : Je vais bien.
Al principio, el autor parece compadecer la suerte de Liuba y afirma que la paciencia es una necesidad ante la impaciencia, fuente de amargura, pero poco a poco transforma ese tema y la persuade de que ella debe alegrarse por no ser feliz, y que él mismo se alegra, pero se alegra hasta tal punto que nos deja turbados: ¿no habrá sido el alma del autor presa de una maligna alegría ante las evidentes desdichas de aquella que lo había traicionado?
Au début, l’auteur semble compatir au sort de Liouba et il affirme que la patience est une nécessité face à l’impatience, source d’amertume, mais peu à peu il transforme ce thème et il la persuade qu’elle doit se réjouir de ne pas être heureuse, et que lui-même se réjouit, mais se réjouit à un point tel qu’on en est d’abord troublé : l’âme de l’auteur n’aurait-elle pas été saisie d’une joie maligne face aux malheurs évidents de celle qui l’avait trahi ?
Pero ahora, de repente, usted tiene que encarar a esta otra Brígida no oficial, la que no se exhibía, sobre la carpeta almidonada, reina de las asiladas con su funeral de reina, que desde la pulcritud de sus sábanas bordadas, con sus manos perfectas y sus ojos afables, dictaminaba con sólo insinuar, ordenaba con un quejido o un suspiro, cambiaba el rumbo de vidas con el movimiento de un dedo, no, usted no la conocía ni la hubiera podido conocer, la mirada de la madre Benita no penetra debajo de las camas ni en los escondrijos, es preferible compadecer, servir, permanecer a este lado, aunque eso signifique matarse trabajando como se ha matado usted durante años entre estas viejas decrépitas, en esta casa condenada, rodeada de imbéciles, de enfermas, de miserables, de abandonadas, de verdugos y víctimas que se confunden y se quejan y tienen frío y hambre que usted se desespera por remediar, la enloquecen con la anarquía de la vejez dueña de todas las prerrogativas…, pobres viejecitas, hay que hacer algo por ellas, sí, usted se ha matado trabajando para no conocer el revés de la Brígida.
Mais maintenant, tout à coup, vous devez affronter une autre Brígida, pas la Brígida officielle mais une qui ne s’exhibait pas sur la nappe amidonnée, reine de l’asile avec son enterrement royal, et qui, de la délicatesse de ses draps brodés, avec ses mains parfaites et ses yeux affables, commandait par simple insinuation, ordonnait d’une plainte ou d’un soupir, changeait le cours des vies d’un geste du petit doigt, non, celle-là, vous ne la connaissiez ni n’auriez pu la soupçonner, le regard de la mère Benita ne pénètre pas sous les lits ni dans les recoins, il vaut mieux compatir, rendre service, se tenir à part, même si cela veut dire se tuer à la tâche comme vous vous y êtes tuée pendant tant d’années parmi ces vieilles décrépites, dans cette Maison condamnée, entourée d’imbéciles, de malades, de misérables, d’êtres abandonnés, de bourreaux et de victimes qui se confondent, se plaignent et ont froid et faim – vous vous désespériez pour y porter remède, ils vous rendent folle avec cette anarchie de la vieillesse nantie de toutes les prérogatives… pauvres petites vieilles, il faut faire quelque chose pour elles, oui, vous vous êtes tuée à la tâche pour ne pas connaître le revers de la Brígida.
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