Translation for "cojer" to french
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Estaban mitigándose, pero por supuesto en Duma Key no había verdaderamente nada contra lo que enfurecerse, a excepción de mis lagunas periódicas y la cojera de mierda.
Elles se faisaient plus rares, mais, sur Duma Key, il n’y avait pas grand-chose contre quoi me mettre en rage, sinon mes pertes de mémoire périodiques et ma mobilité réduite de merde.
Oí el crujido seco de una piedra, pero sólo cuando hube girado 180 grados y vuelto al asfalto de la 111 reparé en la repentina cojera del vehículo. Una sucesión de chasquidos blandos me indicó que se me había pinchado una rueda trasera. —Fabuloso —murmuré.
J’entendis le craquement sec d’un caillou sous ma roue mais ce ne fut qu’après avoir fait demi-tour que Je sentis quelque chose d’anormal. Un flap-flap Confirma mes soupçons : j’avais un pneu arrière à plat. - Et merde, dis-je tout haut.
Pero al ser tremendamente atractivas no se rebajan a cojer —es tosco—, hacen el amor, establecen una comunión por medio de los cuerpos y de las relaciones sensuales;
Mais comme elles sont atrocement charmantes, elles ne s’abaissent pas à baiser, tu parles, elles font l’amour, elles communiquent avec leur corps, elles établissent un contact sensuel.
O, en el caso del hippie —¡Se va lejos, chico!— hacia el prado donde puede cojer y procrear a sus anchas y perder el tiempo con sus abalorios y sus flautas.
Ou s’il est un « hippie », il part – alors là, qu’est-ce qu’il est parti, les gars ! – pour le pré à vaches où il peut baiser et procréer à son aise en s’ébattant au milieu de ses flûtes et de sa verroterie.
En cuanto el macho decide aceptar su pasividad, se define a sí mismo como mujer (tanto los hombres como las mujeres piensan que los hombres son mujeres y las mujeres son hombres) y se convierte en un travesti, pierde su deseo de cojer (o de lo que sea; por otra parte queda satisfecho con su papel de loca buscona) y se hace castrar. La ilusión de ser una mujer le proporciona una sexualidad difusa y prolongada. Para el hombre, cojer es una defensa contra el deseo de ser mujer.
Lorsque le mâle se résout finalement à accepter sa passivité et se définit comme femme (les hommes, aussi bien que les femmes, prennent chaque sexe pour l’autre), bref lorsque le mâle devient un travesti, il perd tout désir de baiser (ou de quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs, son rôle de vamp à pédé lui suffit), et il se fait couper la queue dans l’espoir de ressentir on ne sait quelle vague jouissance permanente à l’idée d’être femme. Baiser permet aux hommes de se protéger contre leur désir d’être des femmes.
Desearía regresar a la naturaleza, a la vida salvaje; regresar al desierto, reencontrar el hogar de los animales peludos de los que él forma parte, lejos de la ciudad, o al menos donde se perciban algunas huellas, un vago inicio de civilización, para vivir al nivel primario de la especie y ocuparse en actividades sencillas, no intelectuales: criar cerdos, cojer, ensartas abalorios.
Il voudrait retourner à la Nature, à la vie sauvage, retrouver l’antre des animaux à fourrure dont il fait partie, loin de la ville, où au moins on repère quelques traces, un vague début de civilisation, pour vivre au niveau primaire de l’espèce et s’occuper à de simples travaux, non intellectuels : élever des cochons, baiser, enfiler des perles.
a los fabricantes y promotores de libros, películas porno, que nos conducen al día en que en las pantallas sólo se verá chupar y cojer (los hombres, como las ratas siguiendo el sonido de la flauta encantada, serán arrastrados hasta su perdición por los engañosos encantos de la Gata, y desbordados, abrumados por ella, se anegarán en esa carne pasiva que han sido siempre) los propagadores de drogas que apresuran la decadencia masculina.
– les fabricants de bouquins pornos, de films suédois, etc., qui nous rapprochent du jour où on ne verra plus sur l’écran que Baise et Sucerie (les hommes, comme les rats accourant aux sons de la flûte enchantée, seront menés à leur perdition par les charmes trompeurs de La Chatte, et dépassés, submergés, ils sombreront finalement dans la chair passive qu’ils ont toujours été) ; ceux qui incitent à la drogue et précipitent la déchéance masculine.
Tampoco importaba si el niño había incorporado el beso al sueño que tenía con Pam la Seis Jarras, que lo besaba con pasión, y no forzosamente en la frente. Ni importaba si el niño de doce años conocía los peculiares crujidos que la cojera de su padre producía en los peldaños al subir, porque eso lo había oído un rato antes y ahora le llegaban unos crujidos distintos, nuevos para él. (En la escalera, su padre siempre apoyaba primero el pie ileso;
Quelle importance que l’enfant ait fait entrer ce baiser dans son rêve où Pack de Six l’embrassait fougueusement, peut-être pas sur le front, d’ailleurs. Quelle importance enfin, qu’il ait su reconnaître le pas de son père au craquement irrégulier de l’escalier : le bon pied d’abord, le mutilé ensuite, qui pesait moins sur la marche. Ce craquement caractéristique, son esprit l’avait enregistré peu de temps auparavant, et celui qu’il entendait à présent était d’une tout autre nature, insolite.
Él, por supuesto, pierde rápidamente toda cuenta, pero sabe que años más tarde, diez, quince por lo menos, no es cada principio de mes cuando le toca el goce de pagar sino, para su alborozo, cada viernes de cada semana, cuatro veces por mes —como un reloj, según la expresión que su padre usa para describir la regularidad con la que hace tres cosas en su vida, cagar, cojer, jugar al póquer—, durante los once eternos meses que termina comiéndose la refacción del departamento comprado a medias con su mujer, dos veces y media los que el arquitecto anuncia de entrada sin titubear.
Lui, bien entendu, se perd rapidement dans les comptes, mais il sait que des années plus tard, dix, quinze au moins, ce n’est pas tous les débuts de mois qu’il a le plaisir de payer mais, à sa grande joie, tous les vendredis de la semaine, quatre fois par mois – comme un mécanisme d’horlogerie, selon l’expression utilisée par son père pour décrire la régularité avec laquelle il fait trois choses dans sa vie, chier, baiser, jouer au poker –, pendant les onze éternels mois que finit par prendre la réfection de l’appartement acheté à parts égales avec sa femme, deux fois et demie le temps que l’architecte annonce d’emblée sans la moindre hésitation.
—No, pues que al pobre tipo al que le adivinaron la vida, podrían habérsela adivinado mal, y todo es truco literario: podría no estar casado con una pelirroja sino ser puto y el pelo de la melena roja pertenecer a su amante que es pintor, y las manchas son de trementina o de amarillo de zinc o no sé qué pedo, y no ser periodista sino apostador en las carreras de galgos y el que se murió no fue su papá sino su padrote, y el que le cose los puños es el pintor que se le da muy bien la pinche costura, y no comió cerezas sino pinches ciruelas, y quién chingaos sabe cómo fue a dar un huesito de cereza a la valenciana de su pantalón, y no es católico, sino ateo pero le tiene miedo a los vampiros por eso trae la pinche crucecita y, de pinche soldado, nada, y menos que acaba de llegar de la guerra bóer, que la mera verdad es que está tostado del sol del lado izquierdo de la cara porque se sienta del mismo lado siempre en los galgódromos y la cojera obedece a que se rompió la pata estando bien pedo.
Juste que le pauvre type dont on a deviné la vie, il se pourrait qu’on la lui ait mal devinée, et que tout cela ne soit qu’un truc littéraire : il pourrait ne pas être marié avec une rousse, mais être pédé, et les cheveux roux seraient ceux de son amant qui est peintre, et les taches seraient de la térébenthine, ou de la poudre de zinc, ou ce qu’on voudra, il pourrait ne pas être journaliste, mais joueur aux courses de lévriers, et que le mort ne soit pas son père, mais son parrain, et que ce soit le peintre qui lui recouse les poignets, parce que c’est un foutu bon couturier, et il n’a pas mangé des cerises, mais des putains de prunes, et je ne sais pas ce qu’un noyau de cerise est venu foutre dans son ourlet de pantalon, et il n’est pas catholique, mais athée, et s’il porte cette saloperie de croix au cou, c’est qu’il a peur des vampires, et soldat, mon cul, et encore moins de retour de la guerre des Boers, en fait il a le côté gauche du visage buriné parce qu’il s’assied toujours du même côté aux courses de lévriers, et s’il boite, c’est parce qu’il s’est pété la jambe un soir où il était bourré.
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