Translation for "aprovechate" to french
Translation examples
¡Aprovéchate, que no podrás hacer lo mismo en tu casa!
Profites-en, tu ne pourras pas en faire autant chez toi !
–Deja esta vida sórdida y aprovéchate de la vida verdadera.
— Quitte cette vie sordide et profite de la vraie vie…
Apóyate en mí y salta hacia adelante, muchacho. Aprovéchate de la situación.
Prends appui sur mes épaules et fonce. Profite de la situation, mon garçon.
Y si tienes miedo de que te olvide, aprovéchate entonces de las que encuentres en tu camino.
Et si tu crains qu’elle ne t’oublie, profite donc de celles que tu rencontreras sur ton chemin.
Aún seré por algúa tiempo una chica bonita: aprovéchate, pero no me pidas más.
Je suis encore pour quelque temps une jolie fille, profites-en, mais ne me demande pas autre chose.
Cuando los dioses te sonríen, Taita, aprovéchate al máximo antes de que vuelvan a fruncir el ceño, me dije a mí mismo, y entonces me dirigí a Zaras: —Ven conmigo.
Profite de ce que les dieux te sourient avant qu’ils ne te soient à nouveau défavorables, me dis-je en me tournant vers Zaras. — Viens avec moi.
El sonido de los remos rozando y batiendo en la borda de la barca, el chapoteo del agua que levantaban, resonaban por toda la superficie y obligaban a estar con los ojos abiertos a los pescadores a quienes sus buenas mujeres habían dicho, Si no puedes ir a pescar, aprovéchate y duerme.
Le bruit des rames frôlant et heurtant le bord de la barque, le chuchotis de l’eau soulevée et rejetée par les rames retentissaient sur toute la surface et obligeaient les pêcheurs à garder les yeux ouverts alors que leur gentille femme leur avait dit, Si tu ne peux pas aller à la pêche, profites-en pour dormir.
Te equivocas… No es que haya tenido miedo… Es porque esta mañana le he cantado las cuarenta a una boba enfermera que se burlaba de ella… Su agradecimiento a mi acto ha recaído sobre ti, eso es todo… Aprovéchate de la bañera… Vete a «El rizo de oro»… Cena y que cene el chófer… Sigue en contacto con la recepcionista de la administración de correos… Que espere esta noche ser despertada por el teléfono… ¿Está aquí la bicicleta?
Tu te trompes… Ce n’est pas parce qu’elle a peur… C’est parce que, ce matin, j’ai remis à sa place une petite dinde d’infirmière qui se moquait d’elle… Sa reconnaissance à mon égard a rejailli sur toi, voilà tout… Profite de la bagnole… Va à L’Anneau d’Or… Dîne et fait dîner le chauffeur… Reste en contact avec la receveuse des postes… Qu’elle s’attende à être dérangée cette nuit par le téléphone… Le vélo est ici ?
No puede regresar al rebaño, Vete, le dijo Pastor, ni volver a su casa, No te creemos, le dijo la familia, y ahora dudan sus pasos, tiene miedo de ir, tiene miedo de llegar, es como si estuviera de nuevo en medio del desierto, Quién soy yo, los montes y los valles no le responden, ni el cielo que todo lo cubre y todo lo debía saber, si ahora volviese a casa y repitiera la pregunta, su madre le diría, Eres mi hijo, pero no te creo, y siendo así, es tiempo de que Jesús se siente en esta piedra que está esperándolo desde que el mundo es mundo, y en ella sentado llore lágrimas de abandono y de soledad, quién sabe si el Señor decidirá aparecérsele otra vez, aunque sea en figura de humo y de nube, el caso es que le diga, No te preocupes, hombre, que no es para tanto, lágrimas, sollozos, qué es eso, todos pasamos por momentos difíciles, pero hay un punto importante del que nunca hemos hablado, te lo digo ahora, en la vida, ya te habrás dado cuenta, todo es relativo, una cosa mala puede incluso convertirse en soportable si la comparamos con una cosa peor, seca esas lágrimas y pórtate como un hombre, ya has hecho las paces con tu padre, qué más quieres, y esa tozuda de tu madre, ya me encargaré de eso cuando llegue el momento, lo que no me ha gustado mucho es la historia con María de Magdala, una puta, pero en fin, estás en la edad, aprovéchate, una cosa no impide la otra, hay un pecar y un tiempo para tener miedo, tiempo para vivir y tiempo para morir.
Il ne peut retourner au troupeau, Va-t’en, lui a dit Pasteur, ni revenir chez lui, Nous ne te croyons pas, lui a dit sa famille, et maintenant ses pas hésitent, il a peur de partir, il a peur d’arriver, c’est comme s’il était de nouveau au milieu du désert, Qui suis-je, les montagnes et les vallées ne lui répondent pas, non plus que le ciel qui recouvre tout et qui devrait tout savoir, s’il retournait maintenant chez lui et s’il répétait sa question, sa mère lui dirait, Tu es mon fils mais je ne te crois pas, or puisqu’il en est ainsi, il est temps que Jésus s’assoie sur cette pierre qui l’attend ici depuis que le monde est monde et qu’assis sur elle il pleure des larmes d’abandon et de solitude, qui sait si le Seigneur ne décidera pas de lui apparaître une autre fois, ne serait-ce que sous forme de fumée et de nuage, mais il faudrait qu’il lui dise, Homme, il n’y a pas de quoi pleurer, de quoi sangloter, allons, allons, nous avons tous nos mauvais moments, mais il y a un point important dont nous n’avons jamais parlé, je vais le faire présentement, dans la vie, vois-tu, tout est relatif, une chose mauvaise peut même devenir supportable si on la compare à une chose pire, par conséquent sèche-moi ces larmes et comporte-toi comme un homme, tu as fait la paix avec ton père, que veux-tu de plus, et quant à cette obsession de ta mère, je m’en chargerai quand le moment sera venu, mais ce qui ne m’a pas beaucoup plu c’est cette histoire avec Marie de Magdala, une putain, enfin, c’est de ton âge, profites-en, une chose n’empêche pas l’autre, il y a un temps pour manger et un temps pour jeûner, un temps pour pécher et un temps pour avoir peur, un temps pour vivre et un temps pour mourir.
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