Translation for "alientan" to french
Translation examples
Kenya y Maya la alientan.
Kenya et Maya l’encouragent à m’encourager.
—No solo está permitido, sino que lo alientan.
— Ce n’est pas seulement permis, c’est vivement encouragé.
Pero, bien pensado, no me disgusta que sigan ahí, incluso discretas, porque me alientan.
Mais finalement, je ne suis pas mécontent qu’elles soient encore là, même discrètes, parce qu’elles sont un encouragement.
Finge pensárselo cinco minutos pero, como le alientan a ello, hace la solicitud y le admiten de inmediato.
Il fait semblant d’hésiter cinq minutes mais, comme on l’y encourage, il postule, il est aussitôt admis.
En los castillos, las relaciones homosexuales se alientan entre los muchachos menores de quince años, pero no se toleran oficialmente en los hombres adultos;
Dans les châteaux, l’homosexualité est encouragée parmi les garçons de moins de quinze ans, mais elle n’est pas officiellement tolérée chez les adultes ;
De haber rendido culto a cualquier otro dios que no fuese Deneir, cuyos mismísimos principios alientan la indagación, probablemente el joven Cadderly no habría encontrado jamás esos poderes para curar o para invocar la ira de su deidad.
S’il avait vénéré un autre dieu que Déneïr, dont la doctrine encourage la recherche, Cadderly n’aurait sans doute jamais acquis ces pouvoirs, comme la capacité de guérir ou invoquer la colère de son dieu.
Pertenecía a una clase de mujeres a las que desde la infancia se les consienten y alientan todos los caprichos, contrariamente a lo común en la educación de las demás mujeres tuchuks. Así, según me había contado Kamchak, pueden convertirse en premios adecuados para los juegos de la Guerra del Amor.
Elle, comme quelques autres de son genre, avait été encouragée dès l'enfance à satisfaire toutes ses fantaisies contrairement à la plupart des femmes tuchuks - de façon à être une récompense de haute valeur dans les jeux de la Guerre d'Amour, m'avait expliqué Kamchak.
Pero esa noche ve aparecer al cantautor de protesta en el escenario del «pub», ve su silueta avanzar desde el fondo, alta, desgarbada, rociada de aplausos y gritos mordidos, tanto que de golpe se hace difícil precisar si lo alientan o lo amenazan, y acomodarse con su guitarrita criolla en el taburete alto que han instalado en proscenio, ve cómo un haz luminoso disparado desde el techo lo entuba de brillo y recorta su cabeza enrulada y el contorno de sus anteojos de miope, los dos hallazgos más persistentes de su iconografía personal —además, claro, de la sempiterna sonrisa, tan inseparable de su rostro que más de una vez la han atribuido a una forma benévola de atrofia muscular—, intactos, todos, a pesar de los siete años de exilio, y de algún modo puestos de relieve por el mameluco blanco que lleva puesto, uno de esos «carpinteros» que se abrochan a la altura del pecho y que usan no los carpinteros, que no han visto uno ni pintado, sino las mujeres embarazadas, las maestras jardineras y los actores que, hartos de probar suerte en audiciones multitudinarias y ser rechazados, terminan asilándose en el mundo de las obras de teatro para chicos o las comedias musicales, lo único nuevo, por otra parte, que parece haberse traído del molino sin luz ni agua potable en el que dicen que vivió en las afueras de Madrid, eso, el mameluco blanco, y una canción que esa noche no tarda en cantar, primicia para todos y revelación total para él, que al escucharla cree comprender algo decisivo para su vida —esa noche lo ve, él, que sólo lo conoce por las tapas de sus discos, las fotos de las revistas, las presentaciones en programas de televisión, y se pregunta estupefacto a quién puede habérsele pasado por la cabeza que pueda ser peligroso, que valga la pena hostigarlo, hacerle la vida imposible, forzarlo a dejar el país, borrar del mapa sus canciones.
Mais, ce soir-là, il voit apparaître le chanteur engagé sur la scène du pub, il voit sa haute silhouette dégingandée s’avancer depuis le fond, sous les applaudissements et parmi les cris si rares qu’on a soudain du mal à comprendre s’ils sont censés l’encourager ou le menacer, et, sa petite guitare sèche à la main, s’asseoir sur le tabouret qu’on a installé sur le devant de la scène ; il voit la façon dont le faisceau lumineux qui descend du plafond forme un tube brillant, découpe la forme de sa tête frisée et le contour de ses lunettes de myope, les deux trouvailles les plus durables de son iconographie personnelle – avec, bien sûr, son sempiternel sourire, tellement inséparable de son visage qu’on l’a plus d’une fois expliqué par une forme bénigne d’atrophie musculaire –, toutes deux inchangées, malgré sept ans d’exil, et d’une certaine façon mises en valeur par la salopette blanche qu’il porte, une de ces tenues de chantier qu’on boutonne au niveau de la poitrine et qu’utilisent non pas les ouvriers – jamais aucun n’en a porté une –, mais les femmes enceintes, les ménagères qui font du jardinage et les comédiens qui, las de tenter leur chance à de multiples auditions et d’essuyer des refus, finissent par se réfugier dans le monde du théâtre pour enfants ou des comédies musicales, la seule nouveauté qu’il semble avoir ramenée du moulin sans eau potable ni électricité où il a vécu, dit-on, aux environs de Madrid, ça, la salopette blanche, et une chanson qu’il ne tarde pas à chanter ce soir-là, une primeur pour tout le monde et une révélation complète pour lui qui, en l’écoutant, croit comprendre une chose essentielle à sa vie – ce soir-là il le voit, lui qui ne le connaît qu’à travers les pochettes de ses disques, les photos des magazines et les programmes de télévision, et se demande avec stupéfaction qui a bien pu croire que ce type était dangereux, qu’il méritait d’être harcelé, qu’il fallait lui rendre la vie impossible et qu’on devait le pousser à quitter le pays, à emporter à jamais ses chansons avec lui.
Me acuerdo de Otilia y una suerte de miedo y rabia me alientan a quedarme entre el mismo boquete formado en el muro, como si eso me defendiera.
Je pense à Otilia et une rage mêlée de peur m’incite à rester devant la brèche ouverte dans le mur comme pour me défendre.
—Amigos míos —dijo Abulurd en voz alta, sonriendo para disimular la vergüenza—, las enseñanzas budislámicas alientan la caridad, el trabajo duro, y la ayuda a los necesitados.
— Mes amis, commença-t-il avec un sourire embarrassé, l’enseignement bouddhislamique incite à la charité, au travail rude et à l’assistance à ceux qui sont dans le besoin.
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