Translation for "étoffee" to spanish
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UN LATITUDES ET PARTANCES Les Boules de neige ont tracé leur Arc, étoilé les flancs des dépendances, comme ceux des cousins, emporté les couvre-chefs dans la Brise qui souffle de la Delaware, – on rentre les luges, leurs patins sont soigneusement essuyés et graissés, on dépose les souliers au fond du Vestibule, s’ensuit une descente en chaussettes sur la vaste Cuisine, à dessein en grand branle depuis le matin, ponctuée par le tintement des couvercles des diverses casseroles et marmites d’où montent des Odeurs d’épices, de fruits pelés, de graisse de rognon, de sucre chauffé, – les enfants, ayant tous prestement, au Rythme enlevé de la cuiller dans la pâte, soutiré et dérobé à force de cajoleries ce qu’ils pouvaient, se réfugient, comme chaque après-midi de cet Avent neigeux, dans une pièce confortable sise à l’arrière de la Maison et livrée depuis des années à leurs insouciants Assauts. Ici, l’on a entreposé une longue table de menuisier tout éraillée, flanquée de deux bancs désassortis, appartenant à la branche familiale du Comté de Lancaster, – du mobilier Chippendale de médiocre ouvrage, comprenant une façon du célèbre Sopha chinois, avec un haut dais à l’abondante étoffe pourpre facile à déployer afin d’aménager une tente douillette et pénombreuse, – quelques chaises dépareillées expédiées d’Angleterre avant la Guerre, – la plupart en pin et merisier, fort peu en acajou, hormis une sinistre et merveilleuse table de jeu qui offre cette médiocre fibre en forme de vagues que les ébénistes nomment Cœur Errant, et qui est la cause d’une Illusion de profondeur que les enfants ont contemplée pendant des années comme s’il s’agissait des pages illustrées d’un Livre… ainsi que d’innombrables charnières, mortaises à coulisse, loquets cachés, et compartiments secrets que ni les jumeaux ni leur Sœur ne sauraient prétendre avoir tous explorés.
Los copos de nieve, que vuelan trazando arcos, han cuajado de estrellas las paredes de los edificios anexos, y también la ropa de los primos, cuyos sombreros ha arrebatado el fuerte viento que sopla, procedente de Delaware. Los muchachos ponen los trineos a cubierto, secan y engrasan con esmero los patines, depositan los zapatos en el zaguán de la entrada trasera y, con los pies enfundados en las medias, bajan a la gran cocina, donde desde la mañana reina una agitación en absoluto improvisada, un bullicio acentuado por las resonantes tapaderas de varias ollas y cacerolas con estofado, y por la atmósfera, que huele a las especias que se utilizarán para los pasteles, a frutas peladas, a sebo, y azúcar caliente. Los muchachos, tras bajar precipitadamente y, entre golpes rítmicos de batidor y de cuchara, pedir y birlar lo que pueden, prosiguen su camino, como hacen cada tarde de este nevado Adviento, hacia una confortable sala que hay en la parte trasera de la casa, cedida desde hace años a sus alegres desmanes. Aquí han venido a parar una larga mesa con caballetes; llena de muescas e incisiones, y dos bancos desparejados, procedentes de la rama familiar del condado de Lancaster, algunos muebles Chippendale construidos en la calle Segunda de Filadelfia, donde se concentran las ebanisterías, entre ellos una versión del célebre Sofá Chino, provisto de un alto dosel de varas y varas de tela violeta que se pueden desplegar para formar una tienda cómoda y penumbrosa, y unas pocas sillas, todas ellas distintas, enviadas desde Inglaterra antes de la guerra. Los muebles son en su mayoría de pino y de cerezo, sin apenas presencia de caoba, salvo una siniestra y espléndida mesa de juego que luce el más barato veteado sinusoidal (conocido en el ramo como Corazón Errante, una veta que causa una ilusión de profundidad y que durante años los niños han contemplado como si se tratara de las páginas de un libro ilustrado) y que posee numerosos goznes, entalladuras deslizantes, pestillos ocultos y compartimientos secretos que ni los gemelos ni su hermana pueden afirmar que conocen en su totalidad.
Là-dessus, il tira de sa poche un morceau d'étoffe blanche qu'il suspendit à son cou, à quoi on reconnut que c'était un rabat;
Dijo, y sacando del bolsillo un pedazo de tela blanca, lo suspendió a su cuello a guisa de alzacuello;
D’ailleurs, la plupart du temps, il lui rapportait de petits présents de Nassau, des épingles et des aiguilles, des boutons, des bobines de soie ou des épingles à cheveux, qu’il prétendait avoir achetés spécialement pour elle et passés à travers le blocus au péril de sa vie. Il était devenu pour ainsi dire presque impossible de se procurer ces menus articles de luxe. Les dames en étaient réduites à porter des épingles à cheveux taillées dans du bois et à recouvrir des glands d’étoffe pour faire des boutons.
Por otra parte, él le traía siempre de Nassau algún regalito que aseguraba haberse procurado expresamente para ella y haberlo pasado a través del bloqueo arriesgando la vida: ristras de alfileres y agujas, botones, carretes de seda y horquillas para los cabellos. Era casi imposible procurarse estos objetos de lujo en aquella época: las señoras llevaban horquillas de madera curvadas a mano y pedacitos de madera cubiertos de tela a guisa de botones.
Bien doucement, avec la plus grande précaution, nous déroulâmes l’étoffe, mettant ainsi à jour une assez grande poterie, incontestablement antique et d’une couleur jaune sale.
Lenta y cuidadosamente desenvolvimos la tela amarilla y descubrimos un gran fragmento de vaso de barro cocido, de una antigüedad indubitable y de un sucio color amarilloso.
Les travailleurs étaient depuis longtemps déjà à l’ouvrage, et l’on voyait de loin émerger des vagues du blé leur tête crépue ou rase, coiffée d’un morceau d’étoffe blanche, et leur torse nu, couleur de brique cuite.
Los segadores llevaban ya varias horas trabajando, y se veía a lo lejos emerger de entre las olas de trigo su cabeza rizada o rapada, protegida por un pedazo de tela blanca, y su torso desnudo, del color del ladrillo cocido.
À voir les enfers dont le monde est peuplé, que voulez-vous que je pense de votre joli enfer, vous qui ne reposez que sur des étoffes aussi douces que votre peau, qui ne mangez que de la viande cuite, et pour qui un domestique habile prend soin de découper les morceaux?
A la vista de los infiernos que pueblan el mundo, ¿qué he de pensar yo de vuestro lindo infierno, si vos no descansáis más que sobre telas tan suaves como vuestra piel, y sólo coméis carnes cocidas, cuyos pedazos se cuida de trinchar un doméstico hábil?
Il y avait des maisons de potiers, dont les marchandises étaient entassées sur des étagères en bois, devant les portes, des forgerons qui pratiquaient leur art à ciel ouvert, protégés de la chaleur de leurs forges par des tabliers en cuir, des ateliers de textile où des étoffes teintes séchaient dehors au soleil. Il sentit les effluves de métal chaud, du pain en train de cuire et des fleurs, l’odeur entêtante du fumier et du parfum, et mille autres odeurs qu’il ne put identifier.
Había casas de alfareros con sus bienes apilados fuera, sobre estantes de madera; trabajadores del metal ejercían su oficio al aire libre, protegidos del calor de sus hornos por delantales de cuero; los trabajadores textiles secaban sus telas teñidas sobre estantes, al aire. Olía a metal caliente, a pan cocido y a flores, al fuerte rastro de estiércol animal y a perfumes, y a un centenar de olores que el niño no hubiera sabido concretar.
Cet homme possédait une barbe roussâtre tout hirsute, qui paraissait comme saupoudrée de grains de sable, et un teint fortement hâlé marqué pour la vie par le soleil. Il portait une chemise de coton blanc aux boutons de porcelaine, et à voir la longue cordelette comme celle d’une bourse qui pendait du col de son vêtement ouaté en étoffe grossière tissée à la main, on ne pouvait se méprendre sur ses origines : c’était un homme venu des montagnes des provinces lointaines qui avait rarement l’occasion de se rendre à Tôkyô. De plus, on apercevait ses jambes nues, en dépit de la température glaciale, et il avait tiré de derrière sa ceinture en coton épais d’un bleu indigo passé une serviette avec laquelle il se frottait le dessous du nez.
Su cara estaba tan bronceada por el sol, que una vida entera no habría bastado para devolverle su color natural. Los botones de su camisa blanca estaban hechos de arcilla cocida, y del cuello de algodón basto y acolchado de su abrigo tejido a mano colgaban dos largas cuerdas que parecían las de una cartera. El hombre procedía de una lejana región montañosa casi inaccesible desde Tokio, y, a pesar del frío, se arrodilló para sacar una toalla que llevaba bajo el fajín, con la que se secó el sudor de la cara.
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