Translation for "tournant" to spanish
Translation examples
Elle se dressait au centre d’un bassin circulaire, à moitié dénudée, tournant la tête pour regarder par-dessus une ravissante petite épaule et admirer le reflet de son fabuleux derrière.
Allí, se alzaba en medio de un estanque circular, medio desnuda, con la cabeza vuelta hacia atrás por encima de su hombro bien torneado como para admirar el reflejo de su exquisito trasero.
Il y a aussi des statues dans leurs niches, entre des colonnes de porphyre rouge ou vert, qui la représentent encore dans des poses mouvementées, faisant avec ses bras ronds de grands gestes indécis et tournant de côté, ou bien vers le ciel, son visage inspiré.
Hay además unas estatuas en sus hornacinas, entre columnas de pórfido rojo o verde, que también la representan en posturas convulsas, haciendo con sus brazos torneados grandes ademanes indecisos y volviendo a un lado, o hacia el cielo, su rostro inspirado.
J’étais dans ma chambre, chez Hervé, tard dans la nuit, maison finalement endormie, assis à cette espèce de petite table échiquier, occupé à écrire le récit pathétique de la danse, quand la porte s’est ouverte, dans mon dos, si doucement que je l’ai juste entendue se refermer, ce qui m’a fait me retourner, et je l’ai vue, dans sa chemise de nuit, un organdi blanc ou un tissu de ce genre, qui laissait une épaule nue à la façon des tuniques grecques, une fine bretelle nouée sur l’autre épaule, un petit nœud dont les boucles semblaient des ailes de papillon, elle n’a pas dit un mot, elle ne souriait pas, elle posait sur moi un regard lourd, j’étais tout à fait incapable de parler moi-même, les épaules rondes, les bras longs, pâles et fuselés, les mains pendant le long des cuisses, les pieds nus, le souffle court, les seins hauts et pleins, la chemise de nuit suspendue à leurs pointes, tombant droit, ce qui crée un vide entre la nudité et le tissu, mes yeux ont cherché le dessin de ses hanches, son ventre, ses cuisses, la forme générale de son corps, mais la petite lampe à côté de moi n’était pas source de transparence, il aurait fallu qu’elle fût derrière elle pour dessiner sa silhouette, je n’ai d’abord pensé qu’à cela, la mauvaise position de la lampe qui rendait mate cette promesse de transparence, c’eût été différent si la lampe avait été placée derrière elle, nous étions tous les deux immobiles, je ne m’étais même pas levé, je n’ai pas fait le moindre geste vers elle, qui restait debout, la porte refermée dans son dos, et moi assis, tourné aux trois quarts, une main restée sur la table, qui referme le cahier en tâtonnant, l’encre va sécher sur la plume de mon stylo me suis-je dit, j’ai pensé à cela oui, que je ne pouvais tout de même pas refermer ce stylo tout en cherchant à deviner la silhouette de Violaine sous le tissu opaque, dont la blancheur m’éblouissait à présent, alors, j’ai vu son bras gauche remonter le long de sa poitrine, ses doigts se déplier en arrivant au niveau de son épaule, son pouce et son index saisir l’extrémité de la petite bretelle, qu’elle a tirée doucement, défaisant ainsi le nœud, et la chemise est tombée à ses pieds, de tout le poids du tissu, dévoilant son corps nu, et je ne pense pas que je verrai jamais plus joli corps de femme, livré soudain dans la lumière dorée de cette lampe, mon Dieu quelle beauté, quelle beauté me suis-je répété, si la lumière s’était éteinte pour toujours je serais mort avec le souvenir de cette beauté, je crois bien avoir failli crier, sans pourtant me lever, absolument paralysé par la surprise et le ravissement, quelle beauté, quelle perfection, et je crois avoir éprouvé un sentiment de gratitude, personne jamais ne m’avait fait pareil cadeau, j’ai pensé cela aussi, mais sans bouger d’un pouce, c’est elle qui a bougé, elle est allée s’allonger sur le lit, elle ne m’a pas fait signe de venir, elle ne m’a pas tendu les bras, elle n’a pas parlé, elle n’a pas souri, elle attendait que je vienne, ce que j’ai fait, finalement, venir à elle, et je me suis tenu debout à son chevet, je ne pouvais pas la quitter des yeux, il faut que tu te déshabilles me suis-je dit, c’est ton tour, ce que j’ai fait, maladroitement, discrètement, sans aucune générosité, en lui tournant le dos, en m’asseyant sur le bord du lit, en me cachant plus qu’en me livrant, et quand ce fut fait je me suis glissé à côté d’elle, et rien ne s’est passé, je ne l’ai ni caressée ni embrassée parce que en moi quelque chose était mort, ou ne voulait pas naître ce qui revient absolument au même, parce que mon cœur envoyait mon sang partout sauf là où il était attendu, mon sang incendier mes joues, gicler sur les parois de mon crâne, cogner affolé à mes tempes, mais pas une goutte entre mes jambes, rien entre mes jambes, je ne me disais même pas tu ne bandes pas, je ne sentais rien entre mes jambes, je ne songeais qu’à cela, cette inexistence entre mes jambes, il faut dire qu’elle ne m’a pas aidé, pas un mot elle non plus, pas un mouvement, jusqu’à ce qu’elle se lève, soudainement, et que j’entende la porte se refermer derrière elle.
Estaba yo en mi habitación, en casa de Hervé, era ya muy tarde, la casa dormía por fin, sentado a esa especie de mesita-tablero, atareado escribiendo el patético relato del baile, cuando la puerta se abrió, a mi espalda, tan suavemente que apenas la oí cerrarse, lo que hizo que me volviese, y la vi, con su camisón, de organdí blanco o una tela de ese tipo, que dejaba un hombro desnudo al modo de las túnicas griegas, un fino tirante anudado en el otro hombro, un nudito cuyos lazos parecían alas de mariposa, no dijo ni una palabra, no sonreía, posaba en mí una mirada intensa, yo mismo era del todo incapaz de hablar, los hombros redondos, los brazos largos, pálidos y torneados, las manos colgando a lo largo de los muslos, los pies desnudos, la respiración rápida, los pechos erguidos y llenos, el camisón suspendido de sus pezones, cayendo recto, lo que crea un vacío entre la desnudez y el tejido, mis ojos buscaron el dibujo de sus caderas, su vientre, sus muslos, la forma general de su cuerpo, pero la lamparita junto a mí no era fuente de transparencia, habría debido de estar detrás de ella para dibujar su silueta, primero solo pensé en eso, en la mala posición de la lámpara que volvía opaca aquella promesa de transparencia, la cosa habría sido distinta si la lámpara hubiera estado detrás de ella, ambos permanecíamos inmóviles, yo ni siquiera me había levantado, no hice el menor gesto hacia ella, que permanecía de pie, con la puerta cerrada a sus espaldas, y yo sentado, vuelto de tres cuartos, con una mano que permanecía sobre la mesa, que cierra el cuaderno tanteando, la tinta va a secarse en la pluma de mi estilográfica, me dije, pensé en eso, sí, que a fin de cuentas no podía cerrar esa estilográfica mientras intentaba adivinar la silueta de Violaine bajo la tela opaca, cuya blancura me deslumbraba, y vi su brazo izquierdo subiendo a lo largo de su pecho, sus dedos desplegándose cuando llegaron a la altura de su hombro, su pulgar y su índice tomando el extremo de la pequeña cinta, tirando suavemente de ella, deshaciendo así el lazo, y el camisón cayó a sus pies, con todo el peso del tejido, desvelando su cuerpo desnudo, y no creo que vea nunca jamás un cuerpo de mujer más bonito, ofrecido de pronto en la luz dorada de aquella lámpara, Dios mío, qué belleza, qué belleza, me repetí, si la luz se hubiera apagado para siempre habría muerto con el recuerdo de esa belleza, creo que estuve a punto de gritar, sin levantarme no obstante, absolutamente paralizado por la sorpresa y el arrobo, qué belleza, qué perfección, y creo haber experimentado un sentimiento de gratitud, nadie nunca me había hecho semejante regalo, pensé en eso también, pero sin moverme ni un ápice, fue ella la que se movió, fue a tumbarse en la cama, no me hizo una señal para que me acercara, no tendió los brazos hacia mí, no habló, no sonrió, esperaba que yo me acercase, y lo hice, por fin, fui hacia ella, y me mantuve de pie a su cabecera, no podía apartar los ojos de ella, tienes que desnudarte, me dije, te toca a ti, y lo hice, torpe, discretamente, sin generosidad alguna, volviéndole la espalda, sentándome al borde de la cama, ocultándome más que ofreciéndome, y cuando estuvo hecho me deslicé a su lado, y nada ocurrió, no la acaricié ni la besé porque algo había muerto en mí, o no quería nacer, lo que suponía absolutamente lo mismo, porque mi corazón mandaba mi sangre a todas partes salvo donde la esperaban, la sangre incendiaba mis mejillas, salpicaba las paredes de mi cráneo, golpeaba enloquecida mis sienes, pero ni una sola gota entre las piernas, nada entre las piernas, yo me decía incluso no te empalmas, no sentía nada entre las piernas, solo pensaba en eso, en esa inexistencia entre mis piernas. Debo decir que ella no contribuyó, ni una palabra tampoco, ni un movimiento, hasta que se levanta de pronto y oigo la puerta que se cierra tras ella.
Et au beau milieu, tournant, tournant, tournant, Ann Leary dansait.
Y en el centro, dando vueltas, y vueltas, y vueltas, bailaba Ann Leary.
— Derrière le tournant de l’allée.
—A la vuelta del camino.
ai-je riposté en me tournant vers lui.
Me di la vuelta para mirarlo.
Cuillère tournant dans la tasse.
Cucharilla que da vueltas en la taza.
Au tournant du chemin, je me retournai.
En la curva del camino me di vuelta.
Une boule tournant sur elle-même, d’accord ?
Una esfera que da vueltas, ¿entiendes?
Se tournant pour allumer une cigarette.
Dándose la vuelta, encendiendo un cigarrillo.
C’est là que se situe le tournant.
Había llegado al punto donde hay que dar la vuelta.
le pont tournant s’est refermé.
el puente giratorio se ha vuelto a cerrar.
demande Jonah en se tournant vers moi.
-Jonah se ha vuelto hacia mí.
On est arrivé au tournant.
Hemos llegado al recodo.
Il faut passer ce tournant!
¡Hay que atravesar este recodo!
il y a des tournants et des tournants avant de nous atteindre et qui est averti de notre existence ? Qui nous a vus ?
hay recodos y recodos antes de que nos alcancen, y ¿quién está al tanto de nuestra existencia? ¿Quién nos ha visto?
“Je l’ai eu au tournant de l’escalier.
Lo alcancé en un recodo de la escalera.
Il disparut tournant dans une traverse.
Desapareció en el recodo de una callejuela.
La plaine derrière un tournant.
La llanura tras un recodo.
D’ailleurs, voici un tournant ! »
¡En fin, aquí hay un recodo!».
Le premier tournant à gauche.
El primer recodo a la izquierda.
— « J’ai… j’ai perdu le compte des tournants. »
–He… he perdido la cuenta de los recodos.
Le prochain tournant à droite. 
A la derecha, el próximo recodo.
Son nom surgissait à chaque tournant de cette enquête.
En cada recoveco de aquella investigación surgía su nombre.
Nous nous retrouvions et nous poursuivions notre marche à travers les petites rues sales, tournant les coins et gravissant des sentiers tortueux.
Pero continuamos nuestro camino por esas callejuelas inmundas, dejando atrás esquinas y recovecos.
En tournant la clé, aujourd'hui, il savait que seul le silence l'attendait à l'intérieur, et cela le terrifiait.
Ahora, cuando abrió la puerta de la casona de estilo inglés llena de recovecos, el silencio le atemorizó.
Le Huey volait au-dessus des arbres en suivant les tours et les détours serpentins de la rivière quand il remarqua l’épave humaine prise dans un tournant serré.
El Huey volaba siguiendo la trayectoria tortuosa del río cuando Zavala reparó en los desechos humanos atrapados en un recoveco de la corriente. El aparato se acercó y quedó suspendido sobre el agua.
À six heures moins le quart, il faisait encore assez clair pour qu’il pût voir tous les tournants de l’allée dans laquelle il courait. C’était loin d’être une piste en cendrée, mais cela valait mieux que rien dans cette ville de béton et d’acier.
Las seis menos cuarto y aún había luz suficiente para ver con nitidez todas las curvas y recovecos del camino por el que corría, no comparable a una pista de ceniza, pero más valía eso que nada en aquella ciudad de hormigón y acero.
girando
tournant dans le ciel d’orage.
girando en un cielo de tormenta.
L'iote monta en tournant sur lui-même.
El ioto se elevó, girando.
Ce n’était pas une clé tournant dans le cadenas.
No era la llave girando en el candado.
fit-il, tournant sa chaise.
—dijo, girando la silla.
Puis, tournant sans effort, il descendit.
Girando sin esfuerzo, descendió.
— Bonsoir, dit-il en tournant les talons.
—dijo girando los talones.
demanda-t-elle en se tournant vers lui.
—preguntó ella girando la cara hacia él.
Il hésita d’abord en tournant sur lui-même;
Primero vaciló, girando sobre sí mismo;
Le changement se fait en tournant la poignée. 
Se cambia de marcha girando el puño.
demanda-t-il en tournant à moitié la tête.
—preguntó medio girando la cabeza.
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