Translation for "surette" to spanish
Translation examples
Ni icaque, ni pommes surette,
ni hicao, ni manzanas agrias,
Nous sommes entrés dans une immense salle commune encombrée de râles, où flottait une odeur surette de pansement, de pus et de souillure.
Entramos en una enorme sala común llena de estertores en la que flotaba un agrio hedor a vendajes, pus y miseria.
L’odeur surette de leurs cheveux cuits sous le soleil, l’odeur de la sueur dans leur dos la nuit au réveil d’un cauchemar, l’odeur poussiéreuse de leurs mains à la sortie des classes m’ont obligée et m’obligent à vivre, à être éblouie par l’ombre de leurs cils, à être émue par un flocon de neige, à être renversée par une larme sur leur joue.
El agrio olorcillo de su pelo recalentado al sol, el olor del sudor en su espalda, por la noche, al despertar de una pesadilla, el polvoriento olor de sus manos al salir de clase me obligaron y me obligan a vivir, a quedar deslumbrada por la sombra de sus pestañas, a conmoverme ante un copo de nieve, a que una lágrima en su mejilla me derribe.
Je dévorai ces bouchées de pâte si riche (mélange de beurre et de crème surette avec de la vanille, du fromage blanc, du jaune d’œuf et du sucre, dont j’avais aimé la consistance farineuse dès l’enfance), dans l’espoir que mon « Nathan » s’affranchisse de ce dont s’affranchissait, à l’en croire, le « Marcel » de Proust sitôt qu’il reconnaissait la saveur de la petite madeleine : l’appréhension de la mort.
Al devorar con rapidez bocado tras bocado de aquellas migas cuya suculencia harinosa (mezcla de mantequilla, crema agria, vainilla, crema de queso, yema de huevo y azúcar) me encantaba desde mi niñez, tal vez descubriría que se desvanecía de Nathan lo que, según Proust, se desvaneció de Marcel en el instante en que reconoció «el sabor de la pequeña madalena»: el temor a la muerte.
Elle avait regardé le ciel qui charriait des fumées et des nuages ronds, avait fait quelques pas, ramassé deux marrons et les avait caressés comme s’il s’était agi des tempes fiévreuses du fou, de son front blafard, blême de toutes les morts, de tous les supplices accumulés durant notre humanité, de toutes nos plaies putrides ouvertes depuis des siècles et à côté de quoi l’odeur de la merde n’est rien, oui, rien d’autre qu’une faible, mièvre et surette odeur de corps encore vivant, vivant, et qui ne doit en rien nous révulser, nous faire honte ni nous détruire.
Miró el cielo, que arrastraba humaredas y nubes redondas, dio unos pasos, recogió dos castañas y las acarició como si fueran las febriles sienes del loco, su demacrada frente, empalidecida por todas las muertes, por todos los sufrimientos acumulados por la humanidad, por todas nuestras purulentas llagas, abiertas desde hace siglos, a cuyo lado el olor de la mierda no es nada, nada, sólo un olor agrio, empalagoso y débil de un cuerpo aún vivo, vivo, que en modo alguno debe repugnarnos, avergonzarnos ni descomponernos.
acre
Le goût suret du tabac bon marché lui brûla la gorge.
El sabor acre del tabaco de mala calidad ardió en su boca.
Moins de trois ans auparavant, elle y avait assisté depuis la sûreté du domaine familial, dans une maison solide aux volets clos et aux fenêtres étanchéifiées par des chiffons, tandis que les âcres volutes des feuilles d’istaar s’élevaient en tourbillonnant des braseros installés devant les portes et sur les hauts murs d’enceinte incrustés d’éclats de verre.
No habían transcurrido ni tres años desde que había presenciado ese mismo día, a salvo entre los muros de la hacienda de su familia, en una casa recia con las contraventanas cerradas, corridas las cortinas, los braseros en el exterior, ante las puertas y, en lo alto de los muros erizados de vidrio, más braseros que despedían el humo acre de las hojas de istaarl.
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