Translation for "désertique" to spanish
Translation examples
– Le désert ? Qu’est-ce que vous fichez dans le désert ?
—¿El desierto? ¿Qué haces en el desierto?
Sommes-nous le désert ou bien nous déserte-t-on ?
¿Seremos nosotros el desierto, o nos dejan desiertos?
— Au désert, répondis-je. — Au désert ?
—Pensaba en el desierto. —¿En el desierto?
Elle aboutissait dans le désert… Le désert !
Iba a dar al desierto…». ¡Al desierto!
Le désert… les boîtes… le désert
Desierto… cajas… desierto… cajas…
Désert tout autour et désert au-dedans !
¡Desierto fuera y desierto dentro!
Me voici donc déserté et dans le désert.
Aquí estoy, pues, desierto y en el desierto.
Même ses déserts étaient des déserts de glace, aux pôles.
Hasta los desiertos eran desiertos de hielo, en los polos.
Je n’avais pas l’intention de déserter.
Yo no tenía intención de desertar.
– Pourrais-tu déserter ?
- ¿Podrías desertar?
J’avais décidé de déserter.
Había decidido desertar.
C’est stupide de déserter.
Pero son unos necios al desertar.
— Je suis sur le point de déserter.
—Estoy en proceso de desertar.
— Déserter mon poste ?
—¿Desertar de mi puesto?
Pourquoi voulez-vous déserter, et pour qui ?
¿Por qué quieres desertar?
Déserter chez les Yaks !
¡Desertar donde están los yaks!
C’est pour ça que j’ai décidé de déserter.
Por eso decidí desertar.
On l’a forcé à déserter.
Lo obligaron a desertar.
Tu n'as plus le droit de déserter ! Ni de me trahir ! Déserter ? Trahir ?
¡No tienes ya derecho a abandonar! ¡Ni a traicionarme! ¿Abandonar? ¿Traicionar?
 Déserter la ville ?
–¿Abandonar la ciudad?
Il ne pouvait déserter le rituel.
No podía abandonar los rituales.
Les dieux ne peuvent pas déserter l’Égypte.
Los dioses no pueden abandonar a Egipto.
On peut se défendre sans déserter le village.
Podemos defendernos sin abandonar el pueblo.
 Je ne déserte pas ma cour, marmonnait le roi avec obstination.
—No abandonaré mi corte —murmuró tercamente el rey.
Il a dû déserter son église : sans moi il ne pouvait pas continuer.
Debió abandonar su iglesia, porque era incapaz de dirigirla sin mí.
Ici, les terrains désertiques avaient été ramenés à la vie et seuls, Babylone et çà et là quelque centre touristique, se démarquaient dans ce royaume entièrement dévolu aux animaux.
Aquí, la tierra muerta había sido devuelta a la vida, y sólo Babilonia, y de vez en cuando un centro turístico, interrumpía el reino reclamado por los animales.
Fixant les crevasses qui lézardaient la surface chauffée à blanc du désert, Mathew imagina qu’il voyait la roche noire remonter des profondeurs tourmentées, suintant sur la terre morte comme un liquide purulent coulant d’une blessure putride.
Contemplando las grietas abiertas en la superficie de la horneada tierra, Mateo se imaginó que podía ver la roca negra escapando de las atormentadas profundidades, rezumando de aquella tierra muerta como un líquido gangrenoso que supurase de una herida pútrida.
À ses yeux, comme à ceux de tant d’autres, l’épidémie du Cheveu Nouveau qui traverse cette période-là se déclare à travers un ensemble de signes triviaux, une conspiration de symptômes qui font leur apparition, comme d’habitude, pendant le laps de temps paradoxal des vacances, d’un côté un désert adulte, un territoire éteint, une absence d’événements, à en juger par l’indigence de l’information qui s’installe sur les unes des journaux, d’un autre côté, pour les douze ou treize ans qu’il a – régis depuis qu’il en a eu six, de mars à décembre, invariablement, par le régime carcéral de la double scolarité, de huit heures et quart à quatre heures et demie tous les jours et toutes les saintes journées de l’année –, un intervalle chargé de pures nouveautés, un intervalle vertigineux, à l’intérieur duquel même dormir, manger ou se baigner sont des pertes de temps impardonnables, la seule période, en vérité, digne pour lui de s’appeler historique, tellement les événements qui la peuplent, insignifiants ou radicaux, sont toujours uniques, ne se laissent pas anticiper et apportent les réserves de vie qui le maintiendront debout pendant l’année à venir, lorsque tout autour de lui tendra à l’enfoncer dans l’inertie, l’ennui, le supplice de devoir exécuter des ordres dictés par les autres.
A sus ojos, como a los de tantos otros, la epidemia de Pelo Nuevo que atraviesa a la época se da a conocer por un conjunto de señales triviales, una conspiración de síntomas que se declaran, como de costumbre, en el lapso paradojal de las vacaciones, por un lado páramo adulto, tierra muerta, vacía de hechos, a juzgar por la indigencia informativa que se instala en las primeras planas de los diarios, por otro, para los doce o trece años que tiene —disciplinados desde que tiene seis, de marzo a diciembre, indefectiblemente, por el régimen carcelario de la doble escolaridad, de ocho y cuarto a cuatro y media todos los días, todos los santos días del año—, un intervalo cargado de puras novedades, vertiginoso, en el que hasta dormir, comer o bañarse son pérdidas de tiempo imperdonables, único período, en verdad, digno para él de llamarse histórico, a tal punto los acontecimientos que lo pueblan, nimios o radicales, son siempre únicos, no se dejan anticipar y aportan las reservas de vida que lo mantendrán en pie durante el año que vendrá, cuando todo a su alrededor tienda a hundirlo en la inercia, el tedio, el suplicio de tener que ejecutar órdenes dictadas por otros.
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