Translation examples
— Je n’ai rien à avouer.
—No tengo nada que confesar.
Tu n’as rien à avouer.
No tienes nada que confesar.
Nous n'avions rien à avouer.
No tenemos nada que confesar.
— Il n’a pas avoué ? — Il est hors d’état d’avouer quoi que ce soit.
—¿No ha confesado? —No está en estado de confesar.
— Je n’ai strictement rien à avouer.
—No tengo que confesar nada.
Je dus avouer que non.
Tuve que confesar: «No».
— Il n’y a rien à avouer.
—No hay nada que confesar.
Il fallait que j’avoue tout.
Tenía que confesar.
— Avoue que tu te punis ?
—¿Confesarás que te estás castigando?
Essayez seulement d’avouer.
Sólo intente confesarse.
Non. Il devait s'avouer vaincu.
Pero no. Debía confesarse vencido.
Elle dut pourtant s’avouer qu’il ne l’effrayait plus.
Hubo de confesarse, no obstante, que ya no la asustaba.
Je te déteste, songea-t-il pour ne pas s’avouer qu’il l’aimait.
«Te detesto», pensó, para no confesarse que la amaba.
Il était plus fatigué qu’il ne voulait l’avouer.
Estaba más cansado de lo que se atrevía a confesarse a sí mismo.
Lovelace n’allait quand même pas avouer.
Lovelace no va a confesarse culpable, ¿no?
C’était difficile de s’avouer ce genre d’inclination.
Resultaba difícil confesarse esa clase de inclinación.
Mais quand il en vint à s’avouer que R.
Cuando intentó confesarse a sí mismo que la personalidad de R.
il était timide et n’osait s’avouer à lui-même qu’il l’aimait.
él era tímido y no se atrevía a confesarse a sí mismo que la amaba.
J’avoue que j’étais terrifié.
Tengo que admitir que estaba aterrorizado.
Mais moi, je ne pouvais pas l’avouer.
Pero yo no podía admitir que tenía uno.
J’avoue que j’en fus excitée.
Tengo que admitir que yo estaba muy excitada.
- Non, je dois avouer que non.
—No, he de admitir que no.
– Je ne dois rien avouer du tout.
—No tengo que admitir nada.
— Je ne peux pourtant pas lui avouer moi-même que…
—Pero yo no puedo admitir ante ella que…
Elle devrait avouer qu’elle savait.
Tendría que admitir que lo sabía.
— Pas vraiment, dus-je avouer.
—No demasiado —tuve que admitir—.
Je dois t’avouer que moi, oui.
Debo admitir que a mí sí.
Quelle force, explique-le-moi, nous empêche d’avouer ce que nous pensons ?
Di, ¿qué fuerza nos impide decir francamente aquello que pensamos?
ou encore aurait-il pu, ce même étudiant, à le supposer insatiable et, de surcroît, doué d’un certain don d’ubiquité, se précipiter chez Leszek Kolakowski pour l’entendre disserter sur la philosophie positiviste (et c’est dans le cadre de ce séminaire que Rafael Artigas avait fait un jour une communication à propos des influences de Richard Avenarius sur la philosophie d’Ortega y Gasset, dont on connaît la fâcheuse habitude de se présenter comme le précurseur des principales idées nouvelles du XXe siècle, communication par laquelle Artigas avait non seulement démontré la filiation empiriocritique, non avouée mais indiscutable, textes et dates à l’appui, de la thèse ortéguienne sur la constitution du Je : Yo soy yo y mi circunstancia – Je suis Moi et ma Circonstance – directement dérivée de la formule Ich und meine Umgebung sur laquelle se fonde toute la critique de l’expérience pure d’Avenarius et que l’on trouve explicitement développée dans son essai Der menschliche Weltbegriff, mais où il, Artigas, avait aussi remis à leur juste place, qui est médiocre, pour ne point dire franchement risible, les balbutiements philosophiques de Lénine dans Matérialisme et Empiriocriticisme, qui n’est qu’un travail de polémique, de circonstance – justement ! – et d’à peu près, déjà réduit en cendre des décennies plus tôt par Anton Pannekoek et d’autres encore, mais régulièrement tiré de l’oubli et donné en exemple par les nouvelles fournées de l’orthodoxie marxiste vulgaire, et qu’il faut donc constamment et avec constance critiquer à nouveau) ou encore courir, l’étudiant en question, s’entend, chez Claude Lefort dont les leçons sur Machiavel et le travail du politique attiraient bienheureusement un public nombreux d’auditeurs exigeants.
o también habría podido ese mismo estudiante, suponiéndole insaciable y, además, dotado de un cierto don de ubicuidad, precipitarse a la clase de Leszek Kolakowski para oírle disertar sobre la filosofía positivista (y es en el marco de este seminario donde Rafael Artigas había presentado un día una comunicación acerca de las influencias de Richard Avenarius sobre la filosofía de Ortega y Gasset, de quien es conocida la irritante costumbre de presentarse como el precursor de todas las ideas nuevas del siglo XX, comunicación con la que Artigas había no sólo demostrado la filiación empirocrítica, no confesada pero indiscutible, con apoyo de textos y datos, de la tesis orteguiana de la constitución del Yo: Yo soy yo y mi circunstancia, directamente derivada de la fórmula Ich und meine Umgebung en que se funda toda la crítica de la experiencia pura de Avenarius y que se encuentra explícitamente desarrollada en su ensayo Der menschliche Weltbegriff, sino también vuelto a poner en el lugar que les corresponde, que es mediocre, por no decir francamente risible, los balbuceos filosóficos de Lenin en Materialismo y Empirocriticismo, que no es más que un trabajo de polémica, de circunstancias —¡justamente!— y reducido casi a cenizas desde hace decenios por Antón Pannekoek y otros más, pero regularmente sacado del olvido y presentado como ejemplo por las nuevas hornadas de la ortodoxia marxista vulgar, y que, por tanto, es preciso criticar de nuevo constantemente y con constancia) o todavía correr, el estudiante en cuestión, se entiende, a la clase de Claude Lefort, cuyas lecciones sobre Maquiavelo y el trabajo de lo político atraían afortunadamente a un numeroso público de exigentes oyentes.
Tu crois que Ponsonby est du genre à avouer ?
¿Os parece que Ponsonby sea de los que confiesan?
— Pourquoi avoue-t-on un crime que l'on n'a pas commis ?
—¿Por qué se confiesan delitos que no se han cometido?
Deux voleurs ont avoué de commettre.
Dos ladrones confiesan crimen.
Les faits sont avoués ? dit le juge.
—¿Los hechos se confiesan? —dijo el juez.
Celui que l’on ne s’avoue pas, expliqua Raoul avec amertume.
De los que no se confiesan -explicó Raoul con amargura-.
– On avoue toujours ses titres de noblesse. Gorgeret répéta :
—Siempre se confiesan los títulos de nobleza. Gorgeret repitió:
Elle se demandait à quoi ressemblaient ces mots que l’on n’avoue pas, ces cris que l’on n’entend pas.
Se preguntaba cómo eran esas palabras que no se confiesan, esos gritos que no suenan.
On peut éteindre très vite le feu si la personne avoue.
El fuego de alcohol puede apagarse rápidamente, si confiesan.
Et tous de m’avouer aujourd’hui qu’ils détestaient le raisiné de Violette, avec son « parfum de vomi » et son « arrière-goût de poussière ».
Y todos me confiesan hoy que detestaban el arrope de Violette, con su «olor a vómito» y su «saborcillo a polvo».
— Vous savez bien… là où on casse les grands méchants et où ils finissent par tout avouer. Sourire de sainte-nitouche.
«Ya sabe, donde quiebran a los tipos malos y confiesan todos sus crímenes», sonrió con timidez.
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