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Les marchandises sont certainement faites pour être vendues, – achetées, vendues, affermées, louées, échangées, commercialisées, escomptées, à prix imposé ou en solde, passées en contrebande et réglementées, – et la marchandise féminine, comme on le disait sur Terre à une époque où l’on ne se payait pas de mots, n’est pas une exception à la règle.
Cualquier mercancía es objeto de comercio y está sujeta a compra, venta, préstamo, alquiler, regateo, descuento, estabilización de precio, inflación y legislación..., y la «mercancía» mujer, como era considerada en la Tierra en otros tiempos, no es una excepción.
La plupart avaient affermé leurs terres pour se reconvertir dans les chambres d’hôtes, les galeries d’art, les boutiques de mode, quand ils ne travaillaient pas à l’extérieur.
Pero algunos del pueblo ya habían arrendado sus granjas y vivían de alquilar habitaciones, de galerías y boutiques de moda, así como de trabajos en el exterior.
Il en fallait de l'argent, figurez-vous bien, pour affermer, peigner et pomponner tout ce territoire, lacs, forêts, montagnes et cascades, entretenir un peuple d'employés, de comparses, et sur les plus hautes cimes installer des hôtels mirobolants, avec gaz, télégraphes, téléphones!…
¡Figúrese el dinero que hace falta para alquilar, peinar y ataviar todo este territorio! Ríos, lagos, bosques, montañas y cascadas, para mantener a un pueblo de empleados y comparsas, e instalar en las más altas cumbres hoteles maravillosos, con gas, telégrafo, ¡teléfono!…
J’ai voulu affermer ma terre, et mes prétentions ont rencontré des limites.
He querido arrendar mi tierra, y mis pretensiones han encontrado límites.
— Boccace me disait l’autre jour que les Peruzzi vont sans doute affermer la recette des tailles dans la sénéchaussée de Carcassonne… — Non !
—Boccacio me dijo el otro día que los Peruzzi pensaban arrendar el cobro de los impuestos de la senescalía de Carcasona. —¡No!
— Je t’en donnerai six mille, payables à l’avance, si tu me l’affermes. »
—Yo te daré seis mil, pagaderos por adelantado, si me lo arriendas.
Le voisin Verba, un sombre viticulteur petit-russien, est venu exprès pour voir le chevreau chez les Pribytko, où, depuis plus d’un an, il ne venait pas, mécontent qu’on lui eût soufflé Le Bon Port, qu’il voulait affermer. Il vint, n’y tenant plus.
Verba, el vecino, un huraño vinicultor ucraniano, pasó a propósito por casa de los Pribytki. Hacía un año que no iba, siempre enfurruñado porque le habían quitado el arriendo del Puerto. No se contuvo y fue:
La conclusion de tout ce qui précède, la voici : Aussi longtemps que dans un pays il y a abondance de terre à défricher, le propriétaire foncier, qu’il cultive, afferme ou vende, ne jouit d’aucun privilège, d’aucun monopole, d’aucun avantage exceptionnel, et notamment il ne prélève aucune aubaine sur les libéralités gratuites de la nature.
La conclusion de todo lo que precede es esta: Mientra* que en mi pais haya abundancia de tierras que desmontar, el propietario territorial, que cultive, arriende ó venda, no goza ningun privilegio, ningun monopolio, ninguna ventaja escepcional, y sobre todo no cobra ningun derecho sobre las liberalidades gratuitas de la naturaleza.
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