Translation for "transpirado" to french
Translation examples
Nunca en sus sueños había transpirado así.
De plus, il n’avait jamais été couvert de sueur dans un de ses rêves.
No duermo dentro de esas cosas transpiradas de Olaf.
Je ne dormirai pas dans des vêtements imprégnés de la sueur d’Olaf.
—Se pasó las manos por la cara transpirada y me miró—.
Il passa sa main sur sa figure en sueur et me regarda.
Vio que tenía la cara hinchada y la frente transpirada.
Il vit qu’elle avait le visage gonflé et le front couvert de sueur.
Sus ojos fríos miraron atentamente mi cara transpirada.
De son regard lointain, elle examina ma figure en sueur.
Tenía el rostro ligeramente transpirado. – Lo siento, doctor.
Son visage se couvrait d’une mince pellicule de sueur. — Désolé, docteur.
Solo sacó el pañuelo y se limpió la transpirada cara.
Solo tira son mouchoir et essuya son visage ruisselant de sueur.
Solo se limpió la cara transpirada con el dorso de la mano.
Du revers de la main, Solo essuya son visage ruisselant de sueur.
Mucho antes de las ocho se impulsó hacia adelante con la frente transpirada.
Bien avant huit heures, il se redressa, le front baigné de sueur.
Hace tiempo que sueña con un mundo mejor, un mundo donde las peluquerías —como los médicos las historias clínicas— compartan, hagan circular, enriquezcan día a día las historias de vida de pelo de sus clientes, de modo que cada vez que alguien cometa la imprudencia de entrar a una peluquería por primera vez, cada vez que alguien, como él ahora, por ejemplo, se ponga de pie, sienta las últimas gotas de agua helada deslizársele por el cuello y confiese lo que tarde o temprano lo llevará a la tumba, que no, que no se corta con nadie en especial, que de hecho es la primera vez que se corta en esa peluquería, el peluquero que le toque en suerte, que en segundos lo verá, también él, por primera vez en su vida, tenga al menos en su poder, en dedos, como dicen los pianistas del repertorio de las piezas que están en condiciones de tocar siempre, en cualquier circunstancia, sin que medie preparativo alguno, todo lo que necesita saber de él para saber qué hacer con él una vez que lo tenga sentado en su sillón, incómodo frente al espejo, tenso, ya transpirado, aceptando el café o el vaso de agua mineral que le ofrecen —y que dejará enfriar u olvidará en ese estante, entre la brocha y el pote de cera— con toda la solvencia de hombre de mundo que le falta cuando le pica la nariz, ahora, ya, antes de que el corte haya empezado, y debe desenredar una mano de la mortaja que le han puesto para rascarse, pendiente de los clientes que detecta con el rabillo del ojo en los sillones vecinos, pero no para buscar una cuota de solidaridad más que razonable —al fin y al cabo son tan víctimas o candidatos a víctimas como él— sino para deplorar ya, por anticipado, el ridículo que no tardará en hacer ante ellos, el espectáculo triste que dará, el minucioso desastre que se llevará media hora más tarde puesto en la cabeza.
En quoi puis-je vous aider ? » Voilà longtemps qu’il rêve d’un monde meilleur, d’un monde où les coiffeurs – comme les médecins le font avec les histoires médicales – sauraient partager, divulguer, enrichir jour après jour les histoires de la vie des cheveux de leurs clients, de façon que chaque fois que quelqu’un commettrait l’imprudence d’entrer dans un salon de coiffure pour la première fois, chaque fois que quelqu’un, comme lui maintenant, par exemple, se lèverait, sentant les dernières gouttes d’eau glacée dégouliner dans son cou, et avouerait ce qui tôt ou tard le mènera à la tombe, que non, qu’il ne se fait couper les cheveux par personne en particulier, qu’en réalité c’est la première fois de sa vie qu’il vient se faire couper les cheveux dans ce salon de coiffure, le coiffeur sur le point de lui être attribué, qui dans quelques secondes le verrait, lui aussi, pour la première fois de sa vie, pourrait au moins avoir en sa possession, dans ses doigts, comme disent les pianistes du répertoire à propos des pièces qu’ils sont toujours en mesure de jouer, quelles que soient les circonstances, sans avoir besoin de la moindre préparation, tout ce qu’il a besoin de connaître de lui afin de savoir quoi lui faire lorsqu’il aura pris place dans le fauteuil, mal à l’aise devant le miroir, un peu tendu, transpirant déjà, acceptant le café ou le verre d’eau minérale qu’on lui propose – et qu’il laissera refroidir ou qu’il oubliera sur la tablette, entre la brosse et le pot de gel – avec cette aisance d’homme du monde qui lui fait toujours défaut lorsque son nez le démange, voilà, comme maintenant, ça y est, juste avant que la coupe ne commence, et il doit dégager une main de sous le peignoir qu’on lui a mis pour se gratter, tout en épiant les clients qu’il repère du coin de l’œil sur les fauteuils voisins, pas dans le but de chercher un indice de solidarité plus que raisonnable – au bout du compte ils sont aussi victimes ou candidats à être victimes que lui – mais plutôt dans celui de déplorer, par anticipation, l’air ridicule qu’il ne tardera pas à avoir devant eux, le triste spectacle qu’il va leur offrir, le désastre minutieux qu’il va héberger sur sa tête dans une demi-heure.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test