Translation for "perinto" to french
Perinto
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Perinto y Bizancio serán puestas a prueba: he de ver de parte de quién están.
Périnthe et Byzance seront mises à l'épreuve: il faut que je sache à quel camp elles appartiennent.
Y dado que Perinto estaba toda ella escalonada en terrazas, era evidente que la cosa se repetiría hasta el infinito.
Et comme Périnthe était entièrement constituée de terrasses, la manoeuvre risquait de se répéter à l'infini.
17 Las cosas fueron exactamente tal como Aristóteles las había previsto: puestas entre la espada y la pared, Perinto y Bizancio se alinearon del lado de Atenas, y Filipo respondió asediando Perinto, una ciudad en la orilla meridional del Helesponto, erigida sobre un promontorio rocoso y unida al continente por un istmo.
17 Les choses se déroulèrent exactement comme Aristote l'avait prévu: contraintes et forcées, Périnthe et Byzance se rangèrent dans le camp d'Athènes. Philippe répliqua en assié geant Périnthe, située sur un promontoire rocheux et reliée au continent par un isthme.
—Señor —anunció Parmenio—, los atenienses han alistado a diez mil mercenarios con el dinero de los gobernadores persas de Asia Menor y los han desembarcado en Perinto.
mille mercenaires gr‚ce aux sommes que leur ont versées les gouverneurs perses de l'Asie Mineure, et ils les ont conduits à Périnthe par la mer.
Enroló y pagó a tropas mercenarias y las entregó a nuestros enemigos mientras nosotros estábamos ocupados en el cerco de Perinto y en la guerra contra Bizancio.
Il a enrôlé et payé des troupes mercenaires qu'il a prêtées à nos ennemis alors que nous étions occupés par le siège de Périnthe et la guerre contre Byzance.
El soberano macedonio abandonó el asedio de Perinto a comienzos del otoño y marchó al norte para castigar a las tribus escitas que se habían negado a mandarle refuerzos;
Le souverain macédonien quitta le siège de Périnthe au début de l'automne et marcha vers le nord pour punir les tri bus scythes qui avaient refusé de lui envoyer des renforts;
Trataba de interceptar un convoy de trigo que se dirigía a Perinto, pero por desgracia los atenienses se dieron cuenta de ello, movieron su flota de noche, por sorpresa, y han bloqueado la entrada del Bósforo.
--Elle tentait d'intercepter un convoi de blé qui se dirigeait vers Périnthe. Les Athéniens s'en sont hélas aperçus- ils ont déplacé leur flotte pendant la nuit et ont bloqué l'embouchure du Bosphore.
Al cabo de tres días las máquinas comenzaron su marcha hacia las murallas, gimiendo y chirriando: eran torres que se movían por sí solas y más altas que los bastiones de Perinto, y eran accionadas por un sistema de contrapesos, pudiendo contener cada una de ellas cien guerreros, catapultas y arietes.
Trois jours plus tard, les machines de guerre entamèrent leur marche sur les murailles, au rnilieu des cra quements et des grincements. Ces tours automotrices étaient plus hautes que les remparts de Périnthe; elles étaient action nées par un système de contrepoids et capables de contenir chacune plusieurs centaines de guerriers, de catapultes et de béliers.
Aunque, a fin de cuentas, tampoco hace falta ser ni Lacan ni Canguilhem para saber que los virus (¡igual que las bacterias!) existen desde la noche de los tiempos: la peste negra que diezmó en el siglo XIV a la población europea, reducida a casi la mitad; la peste de Atenas que relata Tucídides; la peste de Tebas; la tos de Perinto, a la sazón de la cual la lengua griega inventa, si no la cosa en sí, al menos la palabra (epi demos: literalmente «sobre el pueblo»; la primera calamidad que, al contrario que la idea bíblica de una «plaga» que se llevó a todos «los primogénitos», se abate sobre el pueblo al completo, sin distinción de edad, de rango ni excelencia…).
Et il n’est pas nécessaire, enfin, d’être ni Lacan ni Canguilhem pour savoir que, des virus (comme des bactéries !), il y en a depuis la nuit des temps ; que la peste noire qui anéantit, au XIVe siècle, près de la moitié de la population européenne, la peste d’Athènes rapportée par Thucydide, la peste de Thèbes, la toux de Périnthe où la langue grecque invente, sinon la chose, du moins le mot (epi demos – littéralement sur le peuple… la première calamité qui, à l’inverse de l’idée biblique d’un « fléau » s’en prenant aux « premiers-nés », s’abat sur le peuple tout entier, sans distinction d’âge, de rang ni d’excellence…), n’avaient, par définition, rien à voir avec la mondialisation libérale, l’épuisement des énergies fossiles et les concentrations atmosphériques de CO2 – il n’est pas nécessaire d’être savant pour noter que les virus y furent, chaque fois, et à tout prendre, l’arme d’un crime de la nature contre les hommes davantage que le signe de la violence faite par les hommes à la nature…
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