Translation for "envidianos" to french
Translation examples
Estoy segura de que todas mis hermanas me envidian.
Je suis sûre que mes sœurs doivent toutes m’envier.
Pero si en un sentido más elevado tenía que nutrirse del rico alimento de la admiración ajena, cobrar ánimos por su mediación, recibir de ella fuerza e inspiración para nuevos empeños, y dado que incluso la persona de mayor talento, más aún tratándose de una mujer, puede descorazonarse en algún momento, porque le haga falta una expresión de auténtica admiración, cuando ello ocurra, percibirá de veras lo que sin duda alguna ha comprendido otras muchas veces: la necedad de todo ello, y qué error cometen quienes le envidian su oneroso esplendor».
Mais si, en un sens plus noble, elle devait vivre de la riche nourriture de leur admiration, y puiser des encouragements, en recevoir force et inspiration pour affronter des épreuves renouvelées – et puisque l’être doué du plus grand talent, une femme en particulier, peut se décourager dans un moment de faiblesse par manque d’éloges authentiques – elle ressentira alors ce qu’elle a sans nul doute pressenti bien souvent, l’inanité de tout cela et combien il serait erroné de lui envier cette accablante splendeur.”
Porque con los años se fueron acumulando colonias de gigantes y jorobados y fenómenos de cabezas hipertróficas y pies y manos palmados, círculos y círculos concéntricos alrededor del primer círculo, un círculo prisionero de los sucesivos, él, Humberto, en el centro de todas esas risas de todos los monstruos de todos los círculos, él en el centro porque él, no Boy, era el prisionero, a él, no a Boy, había querido encerrar don Jerónimo, todos riéndose de él, del prisionero ahogado en la cárcel de sus risas, las ventanas tapiadas, los vidrios pintados color chocolate hasta la altura de una persona para que nadie mirara hacia afuera, las rejillas, los barrotes, las puertas condenadas, los pasadizos en que uno se pierde, los patios que no reconoce, las risas de los monstruos que apacientan rebaños en el monte, de los acromegálicos que siembran el trigo, de los jorobados que pescan en la laguna y cazan en los bosques, de los enanos que marcan el ganado esperando que los monstruos de los círculos interiores desaparezcan o se mueran para poder ascender, envuelto en capas sucesivas de monstruos menos importantes, el mundo es éste, nuestro mundo que ríe, esta élite, estos elegidos prisioneros de los que nos envidian y que sólo lo envidiamos a él, a don Humberto que no envidia a nadie, ahogado porque no puede envidiar a nadie, aunque si ustedes supieran que sí, sí envidio, lo envidio a él, al que me inventó y me puso aquí en el centro de esta envidia que me ahoga.
Car avec les années, il s’accumula des colonies de géants, de bossus, de phénomènes à la tête hypertrophiée, aux pieds et aux mains palmés, des cercles et des cercles concentriques autour du premier cercle, cercle prisonnier des cercles successifs, et lui, Humberto, au centre des rires de tous les monstres, de tous les cercles, lui au centre, parce que c’était lui et non pas Boy le prisonnier, lui et non pas Boy que don Jerónimo avait voulu enfermer, tout le monde riait de lui, du prisonnier enfermé dans la prison de leurs rires – fenêtres murées, vitres peintes en chocolat jusqu’à hauteur d’homme pour que personne ne regarde à l’extérieur, petites grilles, barreaux, portes condamnées, passages où l’on se perd, cours qu’on ne reconnaît pas, rires des monstres qui paissent leurs troupeaux dans la montagne, des acromégaliques qui sèment le blé, des bossus qui pèchent dans la lagune et chassent dans les bois, des nains qui marquent le bétail en attendant la disparition ou la mort des monstres des cercles intérieurs pour pouvoir monter dans l’échelle sociale ; enveloppé de couches successives de monstres de moins en moins importants, tel est le monde entier, notre monde qui rit, cette élite, ces élus prisonniers de ceux qui nous envient, et nous n’envions que lui, don Humberto, qui n’envie personne, étouffé parce qu’il ne peut envier personne, et pourtant, si vous saviez, j’envie, je l’envie, lui, celui qui m’a inventé et m’a mis ici, au centre de cette envie qui m’étouffe.
y los fuertes los envidian.
et que les forts les envient.
En otras palabras, las mujeres no envidian el pene, pero los hombres envidian la vagina.
Autrement dit, ce ne sont pas les femmes qui envient le pénis, mais les hommes qui envient le vagin.
—Todos tus amigos te envidian.
— Tes amies t’envient déjà.
Algunos de sus colegas lo envidian.
Certains collègues l’envient.
Quienes no viven en ellas las envidian.
Ceux qui n’y vivent pas les leur envient.
¿No ves que envidian tu traje?
Tu ne vois pas qu’ils envient ton costume ?
Los demás le envidian en silencio.
Les autres l'envient en silence.
—Los hombres nos odian porque nos envidian —declaró—.
— Les hommes nous haïssent parce qu’ils nous envient.
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