Translation for "envidiamos" to french
Translation examples
Lo sabes. Te envidiamos tu conocimiento.
Vous le connaissez. Nous envions votre savoir.
—Nosotros los profesores envidiamos mucho al sector privado, ¿sabes?
– Nous autres professeurs, nous envions beaucoup le secteur privé, voyez-vous.
Todos le admiramos y le envidiamos porque sin duda avanzó mucho por el camino de la iluminación.
Nous l’admirons et l’envions tous, car il avait sans doute progressé loin sur la voie de l’Eveil.
Por todos esos crueles excesos, envidiamos una humanidad arcaica con su ardiente experiencia.
Malgré sa brutalité et ses excès de cruauté, nous envions à l’humanité archaïque ses expériences ardentes.
– Lanzó una ojeada a Singh-. ¿Sabe usted que les envidiamos? –Sí -murmuró Singh-.
(Il jeta un coup d’œil à Singh.) Savez-vous que nous vous envions ? — Oui, murmura Singh.
— Hizo un gesto muy gracioso con la mano, sacó una página, había señalado un párrafo—. “Envidiamos y admiramos a los negros porque queremos seguir su ejemplo y convertirnos en animales, animales con una gran polla y un diminuto cerebro de reptil junto a la polla.”
Il a fait un petit mouvement de main tres gracieux, a sorti une page, il avait souligne un passage dans la marge: "Nous envions et nous admirons les negres parce que nous souhaitons a leur exemple redevenir des animaux, des animaux dotes d'une grosse bite et d'un tout petit cerveau reptilien, annexe de leur bite."
Envidiamos a las mujeres libres para moverse, sin estorbos, pero igual hubiesen funcionado bien metidas dentro de una armadura de plomo macizo protectora de la radiación. Nos apresuramos y por último salimos al aire libre, dando gracias de poder pararnos, para descansar, para notar cómo la temperatura del aire interior de nuestros vestidos bajaba lentamente.
Nous enviions la liberté d’allure et de mouvement des femmes, mais elles auraient pu fonctionner presque aussi bien dans un solide scaphandre de plomb lumineux. Nous nous dépêchions. Et nous parvînmes enfin à l’air libre, heureux de pouvoir nous arrêter, nous reposer, et sentir baisser lentement la température de l’air à l’intérieur de nos vêtements.
Porque con los años se fueron acumulando colonias de gigantes y jorobados y fenómenos de cabezas hipertróficas y pies y manos palmados, círculos y círculos concéntricos alrededor del primer círculo, un círculo prisionero de los sucesivos, él, Humberto, en el centro de todas esas risas de todos los monstruos de todos los círculos, él en el centro porque él, no Boy, era el prisionero, a él, no a Boy, había querido encerrar don Jerónimo, todos riéndose de él, del prisionero ahogado en la cárcel de sus risas, las ventanas tapiadas, los vidrios pintados color chocolate hasta la altura de una persona para que nadie mirara hacia afuera, las rejillas, los barrotes, las puertas condenadas, los pasadizos en que uno se pierde, los patios que no reconoce, las risas de los monstruos que apacientan rebaños en el monte, de los acromegálicos que siembran el trigo, de los jorobados que pescan en la laguna y cazan en los bosques, de los enanos que marcan el ganado esperando que los monstruos de los círculos interiores desaparezcan o se mueran para poder ascender, envuelto en capas sucesivas de monstruos menos importantes, el mundo es éste, nuestro mundo que ríe, esta élite, estos elegidos prisioneros de los que nos envidian y que sólo lo envidiamos a él, a don Humberto que no envidia a nadie, ahogado porque no puede envidiar a nadie, aunque si ustedes supieran que sí, sí envidio, lo envidio a él, al que me inventó y me puso aquí en el centro de esta envidia que me ahoga.
Car avec les années, il s’accumula des colonies de géants, de bossus, de phénomènes à la tête hypertrophiée, aux pieds et aux mains palmés, des cercles et des cercles concentriques autour du premier cercle, cercle prisonnier des cercles successifs, et lui, Humberto, au centre des rires de tous les monstres, de tous les cercles, lui au centre, parce que c’était lui et non pas Boy le prisonnier, lui et non pas Boy que don Jerónimo avait voulu enfermer, tout le monde riait de lui, du prisonnier enfermé dans la prison de leurs rires – fenêtres murées, vitres peintes en chocolat jusqu’à hauteur d’homme pour que personne ne regarde à l’extérieur, petites grilles, barreaux, portes condamnées, passages où l’on se perd, cours qu’on ne reconnaît pas, rires des monstres qui paissent leurs troupeaux dans la montagne, des acromégaliques qui sèment le blé, des bossus qui pèchent dans la lagune et chassent dans les bois, des nains qui marquent le bétail en attendant la disparition ou la mort des monstres des cercles intérieurs pour pouvoir monter dans l’échelle sociale ; enveloppé de couches successives de monstres de moins en moins importants, tel est le monde entier, notre monde qui rit, cette élite, ces élus prisonniers de ceux qui nous envient, et nous n’envions que lui, don Humberto, qui n’envie personne, étouffé parce qu’il ne peut envier personne, et pourtant, si vous saviez, j’envie, je l’envie, lui, celui qui m’a inventé et m’a mis ici, au centre de cette envie qui m’étouffe.
–También nosotros lo compadecimos -dijo-, y lo envidiamos. Él es Dios.
Mais celui-ci se contenta de hocher la tête : « À nous aussi, il nous fait pitié », dit-il. « Et envie. Car il est Dieu.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test