Translation for "contertulio" to french
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Salieron del establecimiento muertos de risa celebrando las picardías del loro y de ahí se dirigieron al Café Moderno, donde el doctor Ulloa presentó a su sobrina ante los contertulios.
Ils sortirent de l’établissement morts de rire et se dirigèrent, tout réjouis des grivoiseries du perroquet, vers le Café Moderno, où don Rafael présenta Laura aux membres de son cénacle.
Se apostaban fortunas y los jugadores profesionales viajaban de palacio en palacio para esquilmar a los nobles ociosos, quienes si no hallaban contertulios de su clase para perder dinero, lo hacían entre maleantes en garitos y tugurios, de los cuales había centenares en Barcelona.
On pariait des fortunes et les joueurs professionnels voyageaient de palais en palais pour rouler les nobles oisifs qui, s’ils ne trouvaient pas de membres de leur classe pour perdre de l’argent, le faisaient en compagnie de mauvais sujets dans des tripots et des galetas dont existaient des centaines à Barcelone.
En ningún caso me propongo deslucir sus aureolas populistas, pero lo cierto es que Petra siempre insistía en vestirse para cenar, no podía irse a la cama sin oír a Beethoven, frecuentaba las mejores tiendas, no hablaba con gente que considerara vulgar o poco interesante intelectualmente, no entraba en la cocina para no ensuciarse las manos, practicaba la danza, hablaba dos semitonos más bajo que el resto de contertulios, formaba parte de algún club...
Je ne cherche absolument pas à ternir son auréole populiste, mais je dois dire que Petra tenait toujours à s’habiller pour dîner, qu’elle ne pouvait pas aller se coucher sans entendre Beethoven, qu’elle fréquentait les meilleures boutiques, ne parlait pas aux gens qu’elle considérait comme vulgaires ou peu intéressants sur le plan intellectuel, qu’elle ne mettait pas les pieds dans la cuisine pour ne pas se salir les mains, faisait de la danse, parlait deux tons au-dessous des autres lorsqu’elle se trouvait dans un groupe, était membre d’un club…
Asentían circunspectos los contertulios, entre ellos dos presuntos veteranos de fieros bigotes que no habían oído un arcabuzazo en su vida, dos o tres ociosos, un estudiante de Salamanca de capa raída, alto y con cara de hambre llamado Juan Manuel de Parada, o de Pradas, un pintor joven recién llegado a la Corte y recomendado a Don Francisco por su amigo Juan de Fonseca, y un zapatero remendón de la calle Montera llamado Tabarca, conocido por ejercer la jefatura de los llamados mosqueteros: la chusma teatral o público bajo que seguía las comedias en pie, aplaudiéndolas o silbándolas, y decidía de ese modo su éxito o fracaso.
Circonspects, les autres membres du groupe acquiesçaient avec tiédeur. Il y avait là deux prétendus anciens soldats aux moustaches féroces qui n’avaient jamais entendu un coup d’arquebuse de leur vie, deux ou trois oisifs, un étudiant de Salamanque à la cape râpée, famélique et dégingandé, qui répondait au nom de Juan Manuel de Parada, ou de Pradas, un jeune peintre récemment arrivé à Madrid et recommandé à Don Francisco par son ami Juan de Fonseca, et un savetier de la rue Montera appelé Tabarca, connu pour être le chef de claque de ceux qu’on appelait les mousquetaires : la plèbe des parterres, celle qui assistait aux comédies debout, applaudissant ou sifflant sur commande, et qui décidait ainsi de leur succès ou de leur échec.
Hablaba afablemente con sus contertulios, pero no con familiaridad de amigos.
Il devisait aimablement avec ses compagnons mais leur familiarité n’avait rien d’amical.
– Tu d'Artagnan es un poco gafe -apreció uno de mis contertulios, el escritor de más edad.
— Ton d’Artagnan a vraiment la poisse, on dirait – ajouta l’un de mes compagnons, l’aîné des deux écrivains.
Ella lo miró como a un bicho raro, y después se volvió hacia sus contertulios con el aire asombrado de quien no espera ser molestado.
Elle le regarda curieusement, puis se tourna vers ses compagnons, de l’air étonné de quelqu’un qui ne s’attend pas à être dérangé.
Ahora le tocaba el turno al de Ahmad Abdu y sus contertulios, y sólo Dios sabía los cafés y amigos que el mañana le traería.
Or, pour l’instant, la mode pour lui était au café de Si Abdou et à ses compagnons de veillée, Dieu seul sachant ce que le lendemain réservait de cafés et d’amis…
Porque cada noche era el prudente vecino de asiento de un nuevo infeliz, luego su contertulio y, poco antes del amanecer, me había convertido en el atrevido confidente de todos sus secretos. ¿Un cigarrillo?
Car, chaque nuit, j'étais tout d'abord le voisin d'un autre infortuné, un voisin prudent et réservé, puis je me transformais en un compagnon de voyage avec lequel on pouvait converser ; enfin, vers le matin, nous étions copains, comme cul et chemise : une cigarette ?
Empezó a improvisar allí mismo, incierto el equilibrio, sin soltar la empuñadura de la espada, mientras los forasteros intentaban disculparse, y el capitán y los otros contertulios sujetaban a Don Francisco para impedirle que desenvainara la blanca y fuese a por los dos fulanos.
Et il se mit à improviser, chancelant sur ses jambes, sans lâcher la poignée de son épée, pendant que les inconnus tentaient de s’excuser et que le capitaine, aidé de ses compagnons de table, retenait Don Francisco pour l’empêcher de dégainer.
Y volvió el criado con un largo papel enrollado, de resma holandesa, donde en letra redondilla de clara lectura se sumaban los encargos y pedidos de última hora —ésos, que sólo acuden a la memoria ajena cuando está uno con un pie en el estribo— hechos al viajero por sus amigos y contertulios… Esencias de bergamota, mandolina con incrustaciones de nácar a la manera cremonense —para su hija—, y un barrilete de marrasquino de Zara, pedía el inspector de pesas y medidas. Dos faroles a la moda boloñesa, para frontoleras de caballos de tiro, pedía Iñigo, el maestro platero —con el ánimo, seguramente, de tomarlos como modelos de una nueva fabricación que podría agradar a las gentes de acá. Un ejemplar de la Bibliotheca Orientalis del caldeo Assemino, estacionario de la Vaticana, pedía el párroco, amén de algunas “monedillas romanas” —¡vamos: si no resultaban demasiado costosas!— para su colección numismática, y, de ser posible, un bastón de ámbar polonés con puño dorado (no era forzoso que fuese de oro) de esos que venían en largos estuches forrados de terciopelo carmesí.
Et le valet revint avec un épais rouleau de papier de Hollande sur lequel était écrite en ronde bien moulée une liste de commissions de dernière heure, de ces commissions auxquelles les autres pensent quand vous avez déjà le pied à l’étrier et dont amis et compagnons de son cercle d’intimes chargeaient le voyageur... I.e contrôleur des poids et mesures demandait de l’essence de bergamote, une mandoline avec incrustations de nacre à la façon de Crémone pour sa fille, et un tonnelet de marasquin de Zara. Iñigo, le maître orfèvre, voulait deux lanternes à la mode de Bologne, pour frontail de cheval de trait, dans l’intention, certainement, d’en tirer de nouveaux modèles qui pourraient plaire aux gens d’ici. le curé demandait un exemplaire de la Bibliotheca orientalis du Chaldéen Assemani, préfet de la bibliothèque vaticane, outre quelques « petites monnaies romaines » (bien sûr, si elles n’étaient pas trop chères !) pour sa collection numismatique, et si c’était possible, une canne d’ambre polonais à pommeau doré (il n’était pas indispensable qu’il fût en or), de celles que l’on vendait dans de longs écrins en velours cramoisi.
Se ha despedido de su padre, que después de recoger su saco príncipe de Gales va hasta una mesa vecina y se hace un lugar en el grupo humano que desde hace años los mozos, cajeros y habitués del bar llaman a secas la mesa —una mezcla de tertulia, parlamento de trasnoche y set de televisión sin cámaras donde un editor de un semanario de derecha que duplica las ventas en verano, un mesadinerista, un agente de cambio, un director de cine, un distribuidor de películas extranjeras, un actor cómico, un productor de televisión, un portavoz que alquila sus servicios al mejor postor y un par de cuadros maduros y poco conspicuos de dos partidos políticos que en un par de años disimularán la podredumbre íntima que los corroe con la larga hibernación a la que los confina un golpe de Estado militar, todos emparentados por la adoración incondicional que profesan por el microcentro de la ciudad, del que el bar donde se reúnen es una suerte de cuartel general, y la convicción de que si dejaran pasar un día sin reunirse, uno solo, el país sufriría un déficit fatal de inteligencia y de chispa, discuten a diario el repertorio de temas que cada uno ha recogido en la prensa esa misma mañana, con la tríada fútbol-política-espectáculos a la cabeza—, y desde ahí lo saluda con un «¡Chau, porra!» estentóreo, que atrae sobre él la mirada de varios de sus contertulios y les arranca unos redobles de risas cómplices.
Il a pris congé de son père, qui après avoir ramassé sa veste prince-de-galles se dirige vers une table voisine, se fait une place parmi l’amalgame humain que depuis des années les garçons, les caissiers et les habitués du bar nomment tout court la table – un mélange de réunion d’amis, de parlement de nuiteux et de plateau de télévision sans caméras où l’éditeur d’un hebdomadaire de droite qui décuple ses ventes pendant l’été, un conseiller bancaire, un agent de change, un directeur de cinéma, un distributeur de films étrangers, un acteur comique, un producteur de télévision, un porte-parole qui loue ses services au plus offrant et deux cadres d’âge mûr quasiment inconnus de deux partis politiques qui dans quelques années tenteront de dissimuler cette pourriture intime qui les ronge de l’intérieur pendant la longue hibernation à laquelle les confine le coup d’État militaire, ayant tous en commun leur adoration inconditionnelle du petit centre-ville, dont le bar où ils se réunissent constitue une sorte de quartier général, et la conviction que s’ils laissaient passer un jour sans se réunir, vraiment un seul jour, le pays souffrirait d’un déficit fatal d’intelligence et de clairvoyance, discutent quotidiennement d’un tas de sujets que chacun a ramassé dans la presse du matin, avec la triade football-politique-spectacle bien à l’esprit –, et le salue par un « Ciao, tignasse ! » retentissant, qui attire sur lui le regard de plusieurs de ses compagnons de tablée en leur arrachant quelques gloussements complices.
Siempre había pensado que quizá el contertulio de Valdés fuese un hombre importante del mundo de las revistas o la televisión.
Il avait toujours pensé que l’interlocuteur de Valdés était peut-être un homme important dans le monde de la presse ou de la télévision.
Cada vez que uno de sus contertulios se metía en problemas, al Dómine Pérez le tocaba avalarlo ante la autoridad, como hombre de iglesia que era.
Chaque fois qu’un de ses amis se mettait en difficulté, il incombait à l’abbé Pérez de le justifier devant les autorités, comme homme d’Église qu’il était.
Era obvio que se trataba de un hombre cordial, tanto como solían serlo los oficiales de guerra, dispuesto a complacer y a ser complacido. En definitiva, un buen contertulio.
C’était manifestement un homme amical, comme tant d’officiers de marine, désireux de plaire et qu’on lui plaise : un bon auditeur.
Luego fue, con aquel paso cojitranco característico de sus pies torcidos -los tenía así desde niño, lo que no le impedía ser hombre ágil y diestro espadachín-, a sentarse a la mesa con el resto de sus contertulios.
Puis il s’en fut de cette démarche claudicante que lui donnaient ses pieds tordus – il les avait ainsi de naissance, mais son infirmité ne l’empêchait d’être ni un homme agile ni une fine lame – pour s’asseoir avec le reste de ses amis à la table où il s’empara du premier pichet de vin venu.
Los otros contertulios, o socráticos, eran Basilio Baltazar, un hombre joven de una treintena de años, moreno, de cabellera abundante, cejas oscuras, ojos brillantes y sonrisa como un sol, y Domingo Vidal, cuyo rostro parecía fabricado a hachazos, igual que su edad.
Socratiques ou tertulliens, les autres habitués du cercle étaient Basilio Baltazar, un homme d’une trentaine d’années, brun, à la chevelure abondante, les sourcils noirs, les yeux brillants, et doté d’un sourire comme un soleil, et Domingo Vidal, dont le visage semblait avoir été taillé à coups de hache, tout comme son âge.
Pese a todo, en ocasiones, cuando sus contertulios estaban empeñados en otro asunto, Stephen aprovechó para inspeccionar su rostro, su comportamiento y conversación: Duff era un hombre inusualmente atractivo y de aspecto viril, de unos treinta y cinco años y más corpulento que la mayoría, sin un solo atisbo de los rasgos que suelen asociarse a los afectos poco ortodoxos;
Pourtant, de temps à autre, quand ses voisins bavardaient ailleurs, Stephen examinait son visage, son comportement et sa conversation : Duff était un homme d’aspect viril, particulièrement beau garçon, d’environ trente-cinq ans, plus imposant que beaucoup, sans la moindre trace des caractéristiques que l’on associe habituellement aux affections non orthodoxes ;
y según se contaba en tierno coloquio póstumo, Ganzúa le había encomendado el alma, es decir unas misas -confesarse no lo hacía un bravo ni camino del patíbulo, por tener a poca honra berrearle a Dios lo que no soltaba en el potro- y concertarse de obra o dineros con el verdugo para que al día siguiente todo fuera honorable y bien llevado, y él no diera mala estampa luego de verse con la canal maestra anudada en San Francisco, donde iba a estar mucho conocido mirando. Habíase despedido al fin la cantonera con mucho garbo, encareciendo los hígados de su jayán, y con un «tan sano y tan gallardo le quiero ver en el otro mundo, valeroso». Era la Aliviosa, dijo Ganzúa a sus contertulios, mujer buena y diligente trabajadora, muy limpia en aseo y en ganancias, a la que sólo había que sacudirle la estera de vez en cuando, y no era menester encarecerla más por ser bien conocida de los presentes, de toda Sevilla y de media España.
et, à ce que l’on contait, Ganzúa, dans un tendre entretien pré mortuaire, lui avait recommandé son âme, c’est-à-dire plusieurs messes — un ruffian ne se confessait pas, même sur le chemin de l’échafaud, tenant pour peu honorable de bailler à Dieu ce qu’il ne livrait pas sur le chevalet —, et dit de se concerter, en usant de son corps ou de son argent, avec le bourreau pour que, le lendemain, tout se passe dignement et soit mené comme il le fallait, et qu’il ne fasse pas triste figure quand il aurait le chanvre au cou sur la place San Francisco, où beaucoup de ses connaissances seraient là pour le regarder. À la fin, la donzelle avait pris congé avec une grande distinction, en faisant l’éloge du courage de son homme et avec un : « J’espère te retrouver aussi gaillard dans l’autre monde, mon héros. » Cœur-en-Or, expliqua Ganzúa aux convives, était une excellente femme qui prenait son travail très à cœur, aussi propre de corps qu’honnête de gains, à qui il fallait seulement secouer les puces de temps en temps, et point n’était nécessaire de la vanter davantage puisqu’elle était bien connue des présents, de tout Séville et de la moitié de l’Espagne.
No se trataba tanto de colegas de los medios de comunicación —a ésos ya los conocía y con ellos ya tenía alguna relación, buena o mala— como de las, así llamadas, personalidades del mundo de la cultura: actores, mediocres contertulios de la vida social y famosos de pacotilla.
Il ne s’agissait pas tant de collègues dans les médias – il les connaissait déjà et entretenait soit de bonnes soit de mauvaises relations avec eux – mais de ce qu’on appelle des personnalités du monde culturel, acteurs, polémistes plus ou moins connus et semi-vedettes.
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