Translation for "clarear" to french
Translation examples
Era a principios de junio, y a un lado estaba la soja de un verde intenso, iluminando con su belleza las desdeñosas pendientes de los sembrados, y al otro lado estaba el maíz, que aún no me llegaba a las rodillas, de un verde claro que se oscurecería en las siguientes semanas, con las hojas flexibles que después se endurecerían. (¡Ah, maíz de mi juventud, tú fuiste mi amigo!, corriendo a todo correr entre las hileras, corriendo como únicamente puede correr un niño, a solas, en verano, corriendo hasta el árbol desnudo que se erguía en medio del maizal). En mi recuerdo, el cielo era gris mientras íbamos en el coche, y parecía elevarse —no clarear, sino elevarse—, y era muy bonito, la sensación de que se elevaba y se aligeraba, con un levísimo toque de azul en el gris, los árboles llenos de hojas verdes.
D’un côté de la route, le vert tranchant du soja illuminait de sa beauté les champs en pente douce et, de l’autre, le vert éclatant du maïs, pas encore à hauteur de genoux, s’assombrirait au fil des semaines tandis que ses feuilles encore souples se feraient plus rigides. (Ô maïs de ma jeunesse, toi qui étais mon ami ! Je courais, courais entre les plants, courais comme seul un enfant peut courir en plein été, courais vers cet arbre intimidant dressé au beau milieu du champ.) Dans mon souvenir, nous roulions sous un ciel gris qui, à un moment, a paru se lever – pas s’éclaircir, se lever –, et c’était très beau de le sentir se lever, s’alléger, de voir son gris traversé d’une infime touche de bleu sur les arbres au feuillage dense et vert.
El cielo comenzó a clarear.
Le ciel commençait à s’éclaircir.
Al este, el cielo comenzaba a clarear.
Le ciel du levant commençait à s’éclaircir.
El cielo comenzaba a clarear.
Le ciel commence à s’éclaircir vers l’est.
Ya empezaba a clarear la noche estival.
La nuit d’été commençait déjà à s’éclaircir.
el cielo, sereno, empezaba a clarear.
le ciel, dégagé, commençait à s'éclaircir.
El cielo empezó a clarear por fin.
Le ciel a enfin commencé à s’éclaircir.
Amanecía y el cielo empezaba apenas a clarear.
Le jour se levait, et le ciel commençait à peine à s’éclaircir.
Ya empezaba a clarear en el cielo, asomaban por el este unos tonos rosas.
Le ciel s’était éclairci, un soupçon de rose pointait à l’est.
El cielo empezaba a clarear cuando llegó al río;
Il atteignit la rivière au moment où le ciel commençait à s’éclaircir.
Eran algo más de las cuatro de la mañana y el cielo empezaba a clarear.
Il était un peu plus de quatre heures du matin, et le ciel commençait à s’éclaircir.
En el exterior, el cielo comienza a clarear.
Dehors, le ciel commence à peine à s’éclairer.
Detrás de nosotros, más allá del humeante volcán, el cielo empezaba a clarear por el este.
Derrière nous, le ciel commençait à s’éclairer, malgré la fumée du volcan.
comenzaba a clarear el día y todo se hacía más visible, particularmente su persona.
les choses commençaient à s’éclairer juste un petit peu, rendant tout plus visible, particulièrement lui-même.
Sí recuerdo estar en el emplazamiento funerario, a la mañana siguiente temprano, cuando el día empezaba a clarear el cielo.
Je me souviens cependant du cimetière où je me tiens, très tôt le lendemain matin, comme le ciel s’éclaire des toutes premières lueurs du jour.
No es que tema a los ladrones o nada por el estilo. Pero permanezco despierta horas y horas y sólo me duermo cuando el firmamento empieza a clarear.
Je ne crains pas les cambriolages ou quoi que ce soit de ce genre. Mais je ne ferme pas l’œil de la nuit. Je ne m’endors que lorsque je vois le ciel s’éclairer.
De manera que anduve hasta una de las puertas de servicio y crucé la lonja bajo un cielo negro y sin estrellas que apenas empezaba a clarear hacia el este.
Je me dirigeai donc vers une porte de service et traversai l’esplanade sous un ciel noir et sans étoiles qui commençait tout juste à s’éclairer au levant.
Una vez disipada la bruma y al empezar a clarear el día con una luz gris, se dio cuenta con estupor de la importancia de la flotilla que le rodeaba, formando un cinturón que iba cerrándose poco a poco.
La brume dissipée et le jour commençant à éclairer la mer d’une teinte grise, il s’aperçut avec stupeur de l’importance de l’armada qui l’entourait, formant une ceinture qui se resserrait peu à peu.
De vez en cuando pasaban frente a una granja situada junto al brumoso camino que despedía imprecisos haces de luz dorada en las ventanas, en evidente señal de que, aun cuando el cielo no hubiera comenzado a clarear, el día había dado comienzo ya para los campesinos.
Ils passaient parfois devant une ferme plantée au bord de la route embrumée, une lumière dorée et floue jaillissant de ses fenêtres, signe certain que, même si le ciel n’avait pas encore commencé à s’éclairer, le jour avait débuté pour les paysans.
En la voz de su padre los personajes tienden a confundirse, intercambian nombres, apodos y profesiones que rara vez vuelven a su portador original: de golpe, el mellizo que hoy capea el temporal refugiado en el garage de la casa de un primo tiene las facciones, el bigote cepillo y los vicios de un viejo ex socio de su padre que cae preso por tener una línea de teléfono clandestina, y en los métodos con que intenta reunir el dinero que debe resuenan demasiado los ardides que su padre pone en práctica para hacer lo único que está entrenado para hacer, levantar muertos, sin ir más lejos el que le deja la compañía farmacéutica a la que le organiza el viaje de fin de año con el que premia a su personal, que, aduciendo dificultades financieras, le paga con seis meses de atraso los casi noventa pasajes de avión que su padre ha debido pagar con estricta puntualidad a la compañía aérea. Lo que es evidente, de cualquier modo, es que su padre se arremanga, activa contactos de los que no se enorgullece, renuncia a ciertos derechos a cambio de información y da por fin con el mellizo, y una vez ahí, en ese garage húmedo y mal iluminado donde el otro, en musculosa, con la barba de días, los párpados enrojecidos y ese aire de embrutecimiento que da el encierro —el mismo aspecto con el que quince años atrás recuperan la libertad los rehenes de las organizaciones armadas—, ha montado una parodia de oficina con una mesa y unas sillas de plástico de jardín y un viejo teléfono de baquelita, escucha de sus labios lo que ha temido oír desde el principio: que no tiene el dinero, que no sabe cuándo lo tendrá, que ni siquiera puede asegurarle que lo tenga alguna vez. Empieza a clarear.
Dans la voix de son père les personnages tendent à se mêler, échangent des noms, des pseudonymes et des professions qui correspondent rarement à leur vrai propriétaire ; soudain, le jumeau qui pour l’instant laisse passer la tempête, réfugié dans le garage de la maison d’un cousin, possède les traits, la moustache en brosse et les défauts d’un vieil ex-associé de son père aujourd’hui en prison pour détention d’une ligne téléphonique clandestine, et dans les méthodes qu’il utilise pour tenter de ramasser l’argent qu’il doit, on reconnaît trop les ruses que son père utilise pour faire la seule chose qu’il soit entraîné à faire, récupérer son argent, celui, sans aller plus loin, que ne lui verse pas le laboratoire pharmaceutique pour lequel il organise le voyage de fin d’année offert en prime à son personnel, et qui, alléguant des difficultés financières, lui paie avec six mois de retard les presque quatre-vingt-dix billets d’avion que son père a dû régler à une date bien précise à la compagnie aérienne. Ce qui est évident, de toute façon, c’est que son père se retrousse les manches, active des contacts dont il ne se vante pas, renonce à certains droits en échange d’une information et retrouve enfin le jumeau, et une fois qu’il est là, dans ce garage humide et mal éclairé où l’autre a monté – avec son marcel, sa barbe de plusieurs jours, ses paupières rouges et cet air d’abruti que confère l’enfermement : la même allure que celle des otages des organisations armées lorsqu’ils recouvrent la liberté quinze ans plus tard – une parodie de bureau avec une table et des chaises de jardin en plastique et un vieux téléphone en Bakélite, il écoute se glisser entre ses lèvres ce qu’il a craint d’entendre depuis le début : qu’il n’a pas l’argent, qu’il ne sait pas quand il l’aura et qu’il ne peut même pas lui assurer de l’avoir un jour.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test