Translation for "aterricé" to french
Translation examples
Me dejé caer y aterricé en la nieve boca arriba.
Je m’étais laissée tomber par terre sur le dos.
intenté recuperar mi estabilidad, pero por el contrario aterricé dolorosamente en el suelo.
Je trébuchai, tentai de recouvrer mon équilibre, mais tombai douloureusement par terre.
Aun al final, cuando aterricé, tenía esperanzas de que mi belleza comprara a los jueces.
Jusqu’au dernier moment, en atterrissant sur la Terre elle-même, j’avais espéré que ma beauté influencerait les juges.
Sheila deja que el rotulador aterrice en el suelo junto a sus pies.
Ça devrait lui en rapporter pas mal. » Sheila laisse tomber le feutre par terre, à côté de ses chaussures.
Aterrorizado, salté a un lado y aterricé sobre el capó de un Mercedes, y me encontré en el suelo, tendido sobre la espalda.
Terrifié, je bondis sur le côté, atterris sur le capot d’une Mercedes et me retrouvai par terre, étendu sur le dos.
Y en segundo lugar, cuando aterrice en la Tierra, sus huellas dactilares, retinales y circunvoluciones cerebrales van a ser tomadas e identificadas.
Ensuite, quand vous atterrirez sur Terre, vos doigts, votre rétine et vos ondes cérébrales seront relevés et identifiés.
En la caída me partí el labio y me hice un chichón, y me arañé las manos y las rodillas cuando aterricé en el duro suelo de tierra.
Je m’étais fendu la lèvre et cogné la tête en dévalant les marches, éraflé les mains et les genoux en atterrissant sur le sol en terre battue.
Llegué por encima de mi silla, me mecí de derecha a izquierda y luego de izquierda a derecha y, como un helicóptero, aterricé suavemente.
Je repris position au-dessus de ma chaise, me balançai un instant de gauche à droite, de droite à gauche, et, tel un hélicoptère, retrouvai la terre ferme.
sin embargo yo estaba solo, espantado, y al fin aterricé, invisible pero magullado, entre angustiosos gemidos, sobre la tierra húmeda. »—¡Te nombré uno de mis observadores! ¿Qué has hecho?
une fois de plus, j’avais été renvoyé contre la terre humide, invisible mais meurtri, brisé et en larmes. « “Toi, mon Veilleur, qu’as-tu donc fait ?”
Yo aterricé a su lado y sentí que el impacto me llegaba hasta el estómago, después nos metimos en el coche, con Hawk conduciendo, y nos dirigimos hacia la entrada.
Je touchai terre à côté de lui, ressentis l’impact me secouer l’estomac quand nous fûmes dans la voiture, Hawk au volant se dirigeant vers l’avenue.
Ésta es la razón por la que aterricé a mediodía, sobre el mayor campo del planeta, después de una aproximación muy espectacular.
C’est pourquoi je choisis de me poser à midi, sur le terrain le plus important de la planète, après une approche très voyante.
Aterricé en un terreno nivelado cercano al bosque, instruí a Llana para que permaneciera a bordo, lista para despegar al momento, y fui en busca de comida.
Je me posai sur un terrain plat proche de la forêt et, demandant à Llana de rester à bord de l’aéronef, prête à décoller d’un instant à l’autre, je partis en quête de nourriture.
El terreno donde aterricé se hallaba en las proximidades de la morada de Marling. Cerré y aseguré la nave y anduve en dirección a su torre, llevando conmigo una pequeña maleta. Estaba aproximadamente a un kilómetro y medio de distancia.
Le terrain où je me suis posé avoisinait la demeure de Marling. Après avoir verrouillé le vaisseau, je me suis mis en route, une mallette à la main, vers la tour qu’il habitait à un kilomètre de distance.
Aterricé sobre mi espalda, medio inconsciente, sordo y con los ojos inundados de sangre. Oí el rumor del caza de ataque terrestre cuando pasó a mi lado y el clamor ronco de los hork-bajir celebrando la victoria. A punto estuvo de pisarme una desmesurada zarpa de afiladas garras de hork-bajir que salió en estampida, ignorándome por completo; al fin y al cabo sólo era una diminuta criatura herida en el ala. Aquellos monstruos de cuchillas disparaban incesantes sus pistolas de rayos dragón al tiempo que lanzaban gritos de júbilo.
J’ai atterri sur le dos, à demi inconscient, assourdi, les yeux inondés de sang. Au-dessus de moi, un vaisseau yirk survolait le terrain ravagé sous les acclamations rauques des Hork-Bajirs. Une énorme patte griffue s’est abattue à quelques centimètres de moi. Des Hork-Bajirs déferlaient en horde brutale et précipitée, ignorant la minuscule créature ailée que j’étais. Ils tiraient avec leurs lance-rayons Dracon, en poussant des cris de triomphe.
Aterricé por la mañana.
J’atterris dans la matinée.
Me trasladaré cuando aterrice.
Je me transfère dès qu’on a atterri.
Aterricé encima de él como un ciclón.
J’atterris sur lui comme un cyclone.
Aterricé suavemente sobre mis pies.
J’atterris en douceur, sur mes pieds.
Aterricé por la mañana temprano.
J’ai atterri tôt le matin.
Dile que aterrice allí.
Dites-lui d’atterrir sur celle-ci. »
Aterricé en el césped. No sentí nada.
J’ai atterri sur la pelouse. Je n’ai rien senti.
—Kripos me ha estado siguiendo desde que aterricé en Oslo.
— Depuis que j’ai atterri à Oslo, je suis filé par la Kripos.
—¿Tú? —Sí. Han sabido que estaba en Oslo desde que aterricé.
— J’ai déboulé. — Toi ? — Oui. Ils savent que je suis à Oslo depuis l’instant où j’ai atterri.
Pasé por un tragaluz y aterricé sobre un montón de basura.
Je longeai une lucarne et atterris sur un amas d’ordures.
Practiqué durante horas, pero solo hasta que aterricé en Florida.
Je me suis entraîné des heures, mais après avoir débarqué en Floride j'ai cessé de m'exercer.
Y vi a la señora Seagram desembarcar cuando aterricé en el Capricorn.
Et j'ai vu Mme Seagram débarquer quand je me suis posé sur le Capricorne.
En cuanto aterricé en las cités empecé a tratarme con quinquis, yonquis y macarras.
Quand j’avais débarqué dans les cités, je m’étais frotté tout de suite aux voyous, aux toxicos et aux zonards.
Nuestra tarea es que la gente aterrice en él. Pero si se lo decimos ahora… cuatro años o cuarenta, no importa.
Notre tâche est de débarquer les gens à la surface. » Mais si nous le disons aux gens maintenant… quatre ans ou quarante ans, peu importe.
Había una vez en Bombay… ¿Ves? He mencionado mi antigua ciudad con su nombre antiguo, es la primera vez que me sale de los labios desde que aterricé en América, tendrías que sentirte honrado por mi confianza en ti. Pues había allí un hombre llamado Don Corleone.
Il était une fois à Bombay – vous voyez, j’appelle la vieille ville par son ancien nom, la première fois que le mot franchit mes lèvres depuis que j’ai débarqué en Amérique, vous devriez être honoré de ma confiance – un homme nommé Don Corleone.
Mire, las personas esperan que una raza avanzada aterrice en naves doradas y diga: «Arrojen sus armas, cesen de pelear entre ustedes mismos, y únanse a la grandiosa hermandad galáctica». No es así. Las razas jóvenes hacen eso. —¿Qué ocurre ahora? —¿Ahora?
Tu comprends, pour les gens, une race supérieure, ça ne peut que débarquer dans un beau vaisseau doré et dire : « Lâchez vos armes, cessez de vous battre entre vous et rejoignez la grande fraternité galactique. » Ça ne se passe pas comme ça. Ça, c’est pour les races débutantes. — Et maintenant, que va-t-il se passer ? — Maintenant ?
–Entiendo. ¿Qué más? –No existe ferrocarril en el país y sólo tienen tres mil kilómetros de carreteras. Disponen de treinta y cinco aeropuertos, dos de ellos lo bastante grandes para que aterrice una avioneta fumigadora.
– Pas de chemins de fer, moins de trois mille kilomètres de routes macadamisées dans tout le pays, et trente-cinq aérodromes, dont deux seulement ont des pistes de taille à recevoir autre chose qu’un avion de brousse.
Pensaba que hacía frío en Denver hasta que aterricé en Midway. Habían pasado tres años desde la última vez que estuve en Chicago. Y, a pesar del frío, había echado de menos aquella ciudad. A mediados de los ochenta estuve en la escuela universitaria de Medill y allí aprendí a apreciar de verdad la ciudad. Después acaricié la posibilidad de quedarme trabajando en uno de los periódicos locales, pero, tanto en el Tribune como en el Sun-Times, me despacharon con la recomendación de que saliese por ahí a acumular experiencia y volviese después con los recortes de lo que había escrito.
Je trouvais qu’il faisait froid à Denver, mais ce n’était rien à côté de ce qui m’attendait à l’aéroport de Chicago. Je n’y avais pas remis les pieds depuis trois ans. Et, malgré la température glaciale, cette ville me manquait, j’avais suivi des cours de journalisme à Medill au début des années 80 et appris à aimer véritablement cet endroit, j’espérais y rester et continuer à travailler pour les quotidiens locaux, mais le Tribune et le Sun-Times avaient l’un et l’autre décliné mon offre, mes interlocuteurs me conseillant de voir du pays, d’acquérir de l’expérience et de revenir avec mes articles.
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