Translation for "surgissent" to spanish
Translation examples
Il se trouve seulement qu’en ce temps de crise j’ai besoin d’hommes compétents pour faire face aux urgences à mesure qu’elles surgissent.
Solo ocurre que, en este tiempo de crisis, necesito hombres capaces de hacer frente a las emergencias que puedan surgir.
C'était l'heure terne et grise où les choses surgissent des ténèbres, ou les objets sont incolores et tout en contours et cependant irréels.
Era esa hora incierta y gris en que las cosas acaban de surgir de las tinieblas, cuando todo el incoloro y se recorta con fuerza, aun pareciendo irreal.
Des endroits subsistaient toujours que nous reconnaissions avec certitude, mais tout auprès s’élargissaient, pareilles aux îles qui surgissent de la mer, des zones nouvelles, énigmatiques.
Había lugares que todavía reconocíamos con certeza, pero junto a ellos, parecidas a islas que acabaran de surgir del mar, aparecían zonas nuevas y enigmáticas.
Elle avance prudemment mais sans s’attarder, car tout le monde à bord s’inquiète du parasite qui a emporté le malheureux Tom et craint que d’autres engins du même acabit ne surgissent de la glace sans crier gare.
Avanza buscando su difícil camino con esmerado cuidado, pero no con la lentitud que en este caso cabría esperar, porque todo el mundo a bordo lleva fresco el recuerdo del parásito que robó y se llevó al pobre Tom, y también el temor de que puedan surgir del hielo muchos más en cualquier momento.
La présence du docteur Dutertre n'est pas pour intimider les gars, bien au contraire, et déjà Monmond ne contraint plus ses pieds à glisser sur le parquet. Ils volent, ses pieds, ils surgissent au-dessus des têtes, ou s'éloignent follement l'un de l'autre, en « grands écarts » prodigieux.
La presencia del doctor Dutertre no intimida a los muchachos, más bien todo lo contrario, y Monmond ya no obliga a sus pies a deslizarse sobre el parquet, sino que los deja volar, surgir por encima de las cabezas, o separarse el uno del otro en fabulosos brincos, de manera prodigiosa.
“On peut éprouver un plaisir délectable, oui, carrément jouissif, Erik, à délirer, à tenir des propos déments qui surgissent Dieu sait d’où, mes côtés paranoïaques, je suppose, libérés sous forme de discours d’une grandiloquence absurde adressés à tout un chacun.
—Hay un delicioso placer, sí, un gran goce que puede surgir como fruto de un loco desvarío, Erik, de un discurso lunático que brota quién sabe de dónde, supongo que de mis manías en algún momento reprimidas y luego expresadas a través de una oratoria de absurda grandilocuencia, dirigida a cualquiera y a todo el mundo.
Ce qui m’a constamment fasciné dans le travail photographique, c’est l’instant où l’on voit apparaître sur le papier exposé, sorties du néant pour ainsi dire, les ombres de la réalité, exactement comme les souvenirs, dit Austerlitz, qui surgissent aussi en nous au milieu de la nuit et, dès qu’on veut les retenir, s’assombrissent soudain et nous échappent, à l’instar d’une épreuve laissée trop longtemps dans le bain de développement.
Me cautivaba siempre especialmente en el trabajo fotográfico el momento en que se ve surgir del papel impresionado, por decirlo así de la nada, las sombras de la realidad, exactamente como los recuerdos, dijo Austerlitz, que emergen en nosotros en medio de la noche y se oscurecen rápidamente para el que quiere sujetarlos, como una copia fotográfica que se deja demasiado tiempo en el baño de revelado.
Il tente de l’expliquer, il dit que ces larmes surgissent du cœur même du christianisme, et il pense que sa position est impossible, on ne sait jamais comment se conduire avec les morts, ni à quelle distance d’eux se tenir, aucune distance ne convient sans doute, quand on ne les connaît pas, il faut éviter de s’en tenir aux banalités qu’inspire toujours une compassion laborieuse mais tâcher de les saisir dans leur singularité imparfaite, et quand on les connaît, il ne faut pas se laisser aller au lyrisme de son chagrin, laisser parler l’oncle et le parrain à la place du prêtre, on usurpe toujours quelque chose, au fond, le deuil des familles, la robe sacerdotale, c’est sans issue, le mieux serait sans doute de ne pas se poser de questions, de répéter toujours les mêmes choses en changeant de prénom, Ton serviteur, Ta servante, ils ont vécu dans l’espoir de Ta lumière, des eaux du baptême au trépas, Tu les as accompagnés toute leur vie, ils ont écouté Ta parole, suivi Tes commandements, ils T’aimaient et avaient foi en Toi, comme si on ne portait jamais en terre que des saints alors que ce n’est pas vrai, les morts ne sont pas des saints, pense-t-il, pas plus que les vivants, et Antonia n’a pas vécu dans l’espoir de Ta lumière parce qu’elle ne T’aimait pas, en vérité, elle Te détestait et ne T’accordait l’existence que pour Te demander de rendre raison du monde et T’accabler de reproches, sauf, pense-t-il, que ce n’est pas Toi qu’elle accablait de reproches, mais moi, et j’avais beau lui dire que je n’avais pas à expliquer la souffrance mais seulement à essayer de la soulager, elle m’en voulait parce que non seulement je n’expliquais rien mais que, par-dessus le marché, je ne soulageais rien non plus, elle disait cela méchamment, pour me blesser parce qu’elle était en colère mais elle avait raison, dans un sens, j’étais bien incapable de soulager la souffrance, du moins la sienne, et à son retour de Yougoslavie, elle a fini par ne plus me supporter du tout, la foi n’était plus pour elle une erreur ou une naïveté dont on pouvait à la rigueur se moquer, c’était une faute morale, une infamie, le symptôme d’un aveuglement coupable et monstrueux mais ce n’est pas un péché, cela, la faiblesse d’un cœur empli d’amour n’est pas un péché à Tes yeux et c’est pour ça que je la sais près de Toi, même si je la pleure quand même, pense-t-il alors qu’il poursuit tant bien que mal son homélie en s’embrouillant dans des exégèses subtiles que personne ne comprend, le regard noir de sa sœur posé sur lui comme sur le plus incompétent des franciscains flamands, il faudrait qu’il mette un terme à cette catastrophe, qu’il fasse au moins l’effort de prononcer le prénom d’Antonia, mais il ne sait pas comment conclure, personne n’applique sur ses lèvres le charbon ardent de la délivrance et de la pureté et le voilà qui embarque de force l’assemblée sur l’autre rive du torrent du Cédron, dans les jardins de Gethsémani.
Trata de explicarlo, dice que esas lágrimas brotan del mismísimo corazón del cristianismo, y piensa que su posición es imposible, uno nunca sabe cómo comportarse con los muertos, ni a qué distancia mantenerse de ellos, ninguna distancia es la apropiada, seguramente; cuando no los conocemos, hay que evitar ceñirse a las banalidades que siempre inspira una compasión laboriosa, más bien procurar atraparlas en su imperfecta singularidad, y cuando los conocemos no hay que dejarse llevar por el lirismo del propio dolor, dejar hablar al tío y al padrino en lugar de al sacerdote, siempre se usurpa algo, en el fondo, el duelo de las familias, la sotana, no hay solución, lo mejor sería no plantearse preguntas, repetir siempre las mismas frases cambiando solo el nombre, Tu siervo, Tu sierva, vivieron en la esperanza de Tu luz, de las aguas del bautismo al tránsito, Tú los acompañaste a lo largo de toda su vida, escucharon Tu palabra, siguieron Tus mandamientos, Te amaban y tenían fe en Ti, como si solo diéramos sepultura a santos, cuando no es cierto, los muertos no son santos, piensa él, no más que los vivos, y Antonia no vivió en la esperanza de Tu luz porque Antonia no Te amaba, en realidad, Te odiaba y solo Te otorgaba la existencia para pedirte que rindieras cuentas del mundo y colmarte de reproches, a no ser, piensa, que no fuese a Ti a quien colmaba de reproches sino a mí, y por mucho que yo le dijera que no podía explicar el sufrimiento, sino solo tratar de aliviarlo, ella me guardaba rencor porque no solo no le explicaba nada, sino que, para colmo de males, tampoco le aliviaba nada, me lo decía con maldad, para hacerme daño, porque estaba furiosa, pero tenía razón, en un sentido, yo era incapaz de aliviar el sufrimiento, por lo menos el suyo, y cuando volvió de Yugoslavia acabó por no soportarme, la fe ya no era para ella un error o una ingenuidad de la que pudiera burlarse en última instancia, era una falta moral, una infamia, el síntoma de una ceguera culpable y monstruosa pero eso no es pecado, la debilidad de un corazón lleno de amor no es un pecado a Tus ojos y por eso sé que está a Tu lado, aunque yo la llore igualmente, piensa él, mientras continúa a trancas y barrancas la homilía, enredándose en exégesis sutiles que nadie comprende, la mirada negra de su hermana sobre él como sobre el más incompetente de los franciscanos flamencos, tendría que poner fin a esta catástrofe, hacer al menos el esfuerzo de pronunciar el nombre de Antonia, pero no sabe cómo concluir, nadie aplica sobre sus labios el carbón encendido de la liberación y la pureza y hete aquí que embarca por la fuerza a la parroquia hasta la otra orilla del arroyo Cedrón, en el huerto de Getsemaní.
Ascendio ! Les tours d’archives surgissent à nouveau du sol, soulevant NORBERT et le Zouwu haut dans les airs.
¡Ascendio! Las torres vuelven a elevarse del suelo y levantan a NEWT y al zouwu a una gran altura.
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