Translation for "souffrent" to spanish
Translation examples
Il est bon qu’ils souffrent.
Se supone que deben sufrir.
Il faut que des gens souffrent
La gente tiene que sufrir
Il faut que nos tourtereaux souffrent.
Los tortolitos deberán sufrir.
Il fallait qu’ils souffrent, ces monstres.
Hacerlos sufrir infinitamente, por monstruos.
Ce n’est pas parce que nous ne les voyons pas souffrir qu’ils ne souffrent pas.
Que no los hayamos visto sufrir no significa que no sufran.
Qu’ils sont beaux et comme ils souffrent bien !
¡Qué guapos son, y qué bien saben sufrir!
Il était impératif que Tony et Sal souffrent.
Tony y Sal debían sufrir.
« Vous ne pensez pas qu’ils souffrent, des gens comme ça ? »
—¿No le parece que esas personas tienen que sufrir?
Pourquoi faut-il que les gens souffrent ?
¿Por qué las personas buenas, suponiendo que existas, tienen que sufrir?
Les invalides souffrent souvent d’insomnies.
Los enfermos crónicos suelen sufrir de insomnio.
« Peut-être, observa Guenièvre, les guerriers qui souffrent une terrible défaite comme la chute d’Ynys Trebes finissent-ils toujours par se quereller ?
-¿Acaso -continuó Ginebra- los guerreros cuando padecen derrotas tan terribles como la de Ynys Trebes, terminan siempre reñidos entre sí? -¿Padecer derrotas?
Les cas que l’on connaît montrent que c’est fortement héréditaire, que l’on peut développer ce don quand on est très jeune ou enfant, et que les personnes ayant un très haut degré d’hypermobilité souffrent fréquemment de troubles de la personnalité et / ou ont vécu de sérieux traumatismes au cours de leur croissance.
Los casos que se conocen apuntan a que es genético, que se trata de una facultad que se desarrolla a edad temprana o en la infancia, y que los que tienen un grado de hipermovilidad extrema suelen padecer trastornos de personalidad y/o han vivido situaciones muy traumáticas en la infancia.
Une de ces journées où ceux qui sont sensibles aux brusques changements de temps, et en souffrent dans leur sang et leur coucourde, ceux-là sont capables de se mettre à changer sans cesse d’opinion et de direction, comme font les morceaux de fer-blanc découpés en forme de drapeau ou de poule qui tournent en tous sens sur les toits au moindre coup de vent[1].
Uno de esos días en que alguien que sea propenso a padecer los efectos de los bruscos cambios meteorológicos y los sufre en la sangre y el cerebro, igual se pone a cambiar constantemente de opinión y dirección, tal como hacen esos trozos de latón cortados en forma de bandera o de gallo que giran en todas direcciones en los tejados, al menor soplo de viento.
Ensuite, vous souffrirez comme souffrent les hommes.
De este modo experimentarás el dolor como un hombre.
Ils souffrent de migraines de plus en plus fortes, et chaque fois qu’ils voient apparaître les Lumières de Stasi ou le Dr Hendricks avec le cierge magique, ils perdent un peu de leur “moi fondamental”.
Tienen dolores de cabeza cada vez peores y, al experimentar las luces de Stasi o ver al doctor Hendricks con la bengala, pierden gradualmente su identidad esencial.
— Je sais que la vie ne peut pas s’arrêter, se surprit-elle à murmurer, mais c’est comme si c’était mal de ressentir de la joie alors qu’Hugo et les autres sont perdus et souffrent quelque part.
-Sé que la vida no puede parar -se encontró susurrando-, pero se siente mal experimentar cualquier tipo de alegría mientras Hugo y los demás están perdidos y heridos.
« Il y a des pères qui enlèvent leurs enfants parce qu’ils souffrent de ne pas les voir suffisamment », lui avait dit une inspectrice avec laquelle elle avait parlé, deux jours après la disparition de Sarah.
—Algunos padres raptan a sus hijos porque quieren pasar más tiempo con ellos —le dijo a Liz una empleada con la que habló el segundo día después de la desaparición de Sarah.
Il se pouvait que les plantes couvertes de neige, déjà blindées par le durcissement hivernal, souffrent moins qu’il le craignait de la baisse de luminosité, et donc de la température au niveau du sol. C’était difficile à dire.
Era posible que una disminución de la luz y, consecuentemente, de la temperatura de superficie, no hiciera tanto daño a las plantas ya preparadas y endurecidas para pasar el invierno. Quería salir al campo y averiguarlo por sí mismo.
Or, il n’a vu que des étals vides sur les marchés. Si les habitants de cette ville souffrent, la situation doit être bien pire dans des endroits comme Saint-Pétersbourg, voire la capitale. » La bière de Gordian était arrivée ; il en but une gorgée.
Y, sin embargo, los mercados están allí vacíos. Y si la población de Kaliningrado pasa hambre, peor lo pasará la población de San Petersburgo o de Moscú. El camarero le sirvió la cerveza y Gordian bebió en seguida un trago.
J’ignorais alors qu’il arrive aux professeurs de l’éprouver aussi, cette sensation de perpétuité : rabâcher indéfiniment les mêmes cours devant des classes interchangeables, crouler sous le fardeau quotidien des copies (on ne peut pas imaginer Sisyphe heureux avec un paquet de copies !), je ne savais pas que la monotonie est la première raison que les professeurs invoquent quand ils décident de quitter le métier, je ne pouvais pas imaginer que certains d’entre eux souffrent bel et bien de rester assis là, quand passent les élèves… J’ignorais que les professeurs aussi se soucient du futur : décrocher mon agreg, achever ma thèse, passer à la fac, prendre mon envol pour les cimes des classes préparatoires, opter pour la recherche, filer à l’étranger, m’adonner à la création, changer de secteur, laisser enfin tomber ces boutonneux amorphes et vindicatifs qui produisent des tonnes de papier, j’ignorais que lorsque les professeurs ne pensent pas à leur avenir, c’est qu’ils songent à celui de leurs enfants, aux études supérieures de leur progéniture… Je ne savais pas que la tête des professeurs est saturée d’avenir.
Ignoraba yo entonces que, a veces, también los profesores experimentan esa sensación de perpetuidad: repetir indefinidamente las mismas clases ante aulas intercambiables, derrumbarse bajo el fardo cotidiano de los deberes (¡no es posible imaginar un Sísifo feliz con un montón de deberes que corregir!), yo ignoraba que la monotonía es la primera razón que los profesores invocan cuando deciden abandonar el oficio, no podía imaginar que algunos de ellos sufren teniendo que permanecer allí, mientras ven pasar a los alumnos. Ignoraba que también los profesores se preocupan por el futuro: ganar la oposición, terminar la tesis, entrar en la facultad, emprender el vuelo hacia las cimas de las clases preparatorias, optar por la investigación, largarse al extranjero, dedicarse a la creación, cambiar de sector, abandonar de una vez a todos esos amorfos y vindicativos granujientos que producen toneladas de papel… yo ignoraba que cuando los profesores no piensan en su porvenir es porque piensan en el de sus hijos, en los estudios superiores de su prole… Ignoraba que la cabeza de los profesores está saturada de porvenir.
D’après les sociologues, quarante pour cent des Chiliens souffrent de dépression, surtout les femmes, qui doivent supporter les hommes.
Dicen los sociólogos que el cuarenta por ciento de los chilenos sufre de depresión, sobre todo las mujeres, que tienen que aguantar a los hombres.
La patrie s’occupe très bien de ses fils désobéissants, comme on peut le voir à la sécurité de ces hauts murs et à ces précautions de garde, oh messieurs, est-ce donc là une plaie, les gardes sont partout, ont-ils été maudits à leur naissance et ont-ils pour destin d’être partout où il y a des gens qui souffrent, mais pas pour s’occuper de malheurs connus, pour ça ils n’ont ni yeux ni mains, mais pour dire, Sautez dans cette jeep, on va faire une promenade, ou, Circulez, y a rien à voir, ou, Marchez devant, on va au poste, ou, Vous avez chapardé des glands, eh bien, payez l’amende et prenez une raclée, ça doit être à cause des études qu’ils ont faites, sinon ils ne seraient pas gardes, car personne ne naît garde.
Muy bien cuida la patria a sus hijos desobedientes, como se ve por la seguridad de estos altos muros y estos cuidados de la guardia, oh señores, será esto una plaga, en todas partes están, o les habrán echado una maldición al nacer y éste es su destino, estar donde estén los sufridores, no para cuidar las conocidas desgracias, para eso no tienen ni ojos ni manos, sino para decir, Sube al jeep que vamos a dar un paseo, o Pasa de largo, o Vamos, tira adelante, vamos al puesto, o Te ha tocado la papeleta, qué le vamos a hacer, a pagar la multa y aguantar la paliza, debe de ser de los estudios que tienen, de no ser por eso no serían guardias, pues guardia no se nace.
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