Translation for "s'arrête" to spanish
Translation examples
Il faut tout arrêter. — Arrêter quoi ?
Necesitas detener esto. —¿Detener qué?
J’aurais voulu tout arrêter. Que le monde s’arrête.
Habría querido detener el tiempo. Detener el mundo.
Il faut vous arrêter !
¡Tenéis que deteneros!
Il faut arrêter cela.
Tenemos que detener esto.
— Vous devez arrêter ça !
—¡Tiene que detener esto!
— Je dois arrêter ça.
—Tengo que detener esto.
Il faut les arrêter !
¡Hay que detener a esos hombres!
— Arrêter les assassins.
Detener a los asesinos.
Venait-on l’arrêter ?
¿La iban a detener?
Vous ne pouvez pas m’arrêter !
¡No pueden detener!
deténgase
Arrête-toi immédiatement !
¡Deténgase en este mismo instante!
— Arrête-toi là, dit Hegazi.
Deténgase aquí —dijo Hegazi.
Que le mouvement de l’État s’arrête : le mouvement de la société le remplace.
Deténgase el movimiento del Estado: lo suple el movimiento de la sociedad.
Un instant plus tard la voix d'un policier retentissait dans le mégaphone : « — Arrête-toi, Packy.
Luego, pese a tener las ventanillas cerradas, pudieron oír la voz de un agente a través del megáfono. —Deténgase, Packy.
Elle faisait des choses délicieuses avec sa bouche et ses longs doigts élégants. Il devint ivre de plaisir et, très vite, il suffoqua : « Solange, arrête, je t’en prie.
Nicholai se sintió mareado de placer cuando ella hizo cosas deliciosas con su boca y con sus dedos finos y elegantes, por lo que no tardó en jadear: —Solange, por favor, deténgase.
Si tu crois que tu as une chance de les toucher d’ici tu… — Te fatigue pas. Des joujoux comme ça, tu n’en as encore jamais vu. Il ouvrit la sacoche et commença à assembler posément un objet d’un noir mat, mince et effilé. — Arrête-toi complètement, reprit-il.
Si espera usted alcanzarlos desde aquí… —Tranquilo. Llevo conmigo algo que no se lo creerá. —El pasajero abrió su maletín con un clic, y empezó a ensamblar algo delgado y ahusado de un color negro mate—. Deténgase.
il y a du brouillard à Tribeca, le ciel est chargé de pluie, les restaurants fermés, et après minuit, les rues sont désolées, irréelles, le seul signe de vie étant un joueur de saxophone au coin de Duane Street, sur le seuil de ce qui était autrefois le DuPlex, et qui est à présent un bistrot abandonné, fermé depuis un mois, un jeune type, barbu, béret blanc, qui joue un solo très beau, mais conventionnel, avec à ses pieds un parapluie ouvert contenant un billet de un dollar tout humide et de la petite monnaie, et malgré moi je me dirige vers lui, attentif à la musique, un truc tiré des Misérables et, s’apercevant de ma présence, il fait un petit signe de tête et ferme les yeux, levant son instrument, la tête renversée en arrière pour ce qui est dans son esprit, j’imagine, un passage particulièrement poignant et, en un seul geste adroit, je tire le 357 magnum de son étui et, peu soucieux d’ameuter le voisinage, visse un silencieux sur le canon, tandis que le vent froid de l’automne s’engouffre dans la rue et s’enroule autour de nous, et la victime ouvre les yeux, voit le revolver et s’arrête de jouer, l’anche du saxophone toujours coincée entre les lèvres, tout comme je demeure moi-même immobile, lui faisant enfin un petit signe de tête pour l’encourager à continuer, ce qu’il fait, hésitant, puis j’élève le canon vers son visage et presse sur la détente au beau milieu d’une note, mais le silencieux n’a pas fonctionné, et une terrible détonation m’assourdit, tandis qu’un immense halo rouge vif apparaît derrière sa tête et que, ahuri, les yeux encore vivants, il tombe à genoux, puis sur son saxophone, et je fais sauter la douille et la remplace par une balle neuve, mais voilà que ça tourne mal... parce qu’avec tout ça, je n’ai pas fait attention à la voiture de patrouille qui arrivait derrière moi — Dieu seul sait ce qu’ils font là, ils distribuent peut-être des contraventions — et tandis que l’écho de la déflagration résonne, puis s’éteint, la sirène de la voiture de patrouille déchire soudain la nuit, venue de nulle part et, le cœur battant, je commence à m’éloigner du corps qui tremble toujours, lentement tout d’abord, comme si de rien n’était, comme si je n’avais rien fait, puis me mettant soudain à courir à toutes jambes, tandis que les pneus de la voiture de police crissent derrière moi et qu’un flic hurle dans un haut-parleur, en vain, « arrêtez, arrêtez, baissez votre arme », mais je cours toujours, tourne à gauche sur Broadway, en direction du City Hall Park, puis plonge dans une ruelle où la voiture de police me suit, mais ils doivent s’arrêter à mi-chemin, car la ruelle se rétrécit, et les voilà coincés, une salve d’éclairs bleus éclate tandis que j’arrive au bout de l’allée, à toutes jambes, débouchant dans Church Street où je fais signe à un taxi, bondissant sur le siège avant, criant au chauffeur, un jeune Iranien, complètement pris de court, « sors de là en vitesse... non, conduis », en lui agitant le revolver sous le nez ; mais il panique et s’écrie en mauvais anglais : « ne tirez pas, pitié, ne me tuez pas », levant les mains en l’air, et je murmure « merde », mais il est terrifié, « oh, ne tirez pas Monsieur ne tirez pas », et je murmure : « va te faire foutre », avec impatience et, élevant le canon de l’arme, presse sur la détente, et la balle lui fait éclater la tête qui s’ouvre en deux comme une pastèque rouge sombre et explose contre le pare-brise, après quoi je me penche pour ouvrir sa portière et pousse le cadavre dehors, claque la portière et prends le volant...
saxofón muy hermoso pero convencional, con un paraguas abierto a los pies, con un billete de dólar húmed07 algunas monedas dentro. Incapaz de resistirlo me acerco a él, escuchando lo que toca, algo de Les Misérables, se da cuenta de mi presencia, saluda con la cabeza y, mientras cierra los ojos -alzando el instrumento, echando la cabeza hacia atrás en lo que supongo que cree que es un momento apasionado-, con un movimiento ágil saco la Magnum 357 de la pistolera y, esperando no llamar la atención de nadie cercano, ajusto un silenciador a la pistola, mientras el frío viento otoñal sopla en la calle, envolviéndolas, y cuando la víctima abre los ojos y ve la pistola y deja de tocar, manteniendo la boquilla del saxo metida en la boca, yo también me detengo; le hago una señal con la cabeza de que continúe y, aunque dudando, él sigue, y entonces yo llevo la pistola hasta su cara y en mitad de una nota aprieto el gatillo, pero el silenciador no funciona y en el mismo instante en que aparece en la pared detrás de su cabeza un enorme círculo púrpura, el sonido atronador del disparo me ensordece, mientras él, estupefacto, con los ojos todavía vivos, cae de rodillas, luego encima de su saxo, y yo saco el cartucho vacío y lo remplazo por otro nuevo, pero entonces pasa algo malo… … porque mientras hago esto no me doy cuenta de que por detrás se me acerca un coche de la policía -¿qué hace? sólo Dios lo sabe, ¿está repartiendo tickets de aparcamiento?– y después de que el ruido de la pistola levante ecos, se desvanezca, la sirena del coche desgarra la noche, llegando de un lugar desconocido, y hace que el corazón me palpite con fuerza, mientras empiezo a alejarme del cuerpo, que tiembla, despacio, como quien no quiere la cosa al principio, como si fuera inocente, pero luego echo a correr a toda velocidad con el coche de la policía chirriando detrás de mí, y por un altavoz uno de los policías grita inútilmente: –Alto deténgase tire el arma. Ignorándolo, doblo a la izquierda por Broadway y me dirijo hacia el City Hall Park, tomo un callejón, con el coche de la policía persiguiéndome, pero se detiene cuando el callejón se estrecha, con una luz azul parpadeando en el techo, y salgo corriendo por el otro extremo del callejón lo más deprisa que puedo, llego a Church Street, donde hago señas a un taxi, salto en el asiento delantero y le grito al taxista, un joven iraní cogido por sorpresa:
Fais-le s’arrêter ! Oh, j’ai peur ! Fais-le s’arrêter ! Maman, s’il te plaît, fais-le s’arrêter !
¡Hazla parar! ¡Tengo mucho miedo! ¡Hazla parar! ¡Mamá, por favor, hazla parar!
Qu’était-elle censée arrêter ?
que tenía que parar?
Se serait-il arrêté ?
¿O habría podido parar?
— Il faut que tu arrêtes ça.
—Tienes que parar esto.
Quelqu'un qui ne s'arrête pas mais qu'on doit arrêter.
Alguien que no se detendrá ante nada, pero al que hay que parar.
Il est temps d’arrêter.
Ya es hora de parar.
Il bande sans arrêt.
Se empalma sin parar.
— Pourquoi s’arrêter ?
—¿Por qué detenerse?
Il faut arrêter cela ! Oh !
¡Esto tiene que detenerse!
Bientôt elle dut s’arrêter.
Al poco hubo de detenerse.
Là, ils durent s’arrêter.
tuvieron que detenerse.
Il devait arrêter ça.
Tenía que detenerse;
Elle ne pouvait pas s’arrêter.
No podía detenerse.
Elle ne voulait pas s’arrêter.
No quería detenerse.
Elle fut la dernière à s’arrêter.
Fue la última en detenerse.
Mais il ne pouvait s’arrêter ;
Pero no podía detenerse.
— Elle a dit qu’elle s’était arrêtée… qu’elle s’était arrêtée
–Dijo que había parado… que había parado
Et maintenant que nous sommes arrêtées, les pas se sont arrêtés aussi.
Y ahora que hemos parado, también han parado.
Est-ce votre arrêt ?
¿Es esta tu parada?».
Ce n’est pas mon arrêt.
Esta no es mi parada.
– Pourquoi ne s’est-il pas arrêté ?
—¿Por qué no se ha parado?
pourquoi ne s’était-elle pas arrêtée ?
¿por qué no se había parado?
Pourquoi tu l’as arrêté ?
¿Por qué has parado?
— Pourquoi nous sommes-nous arrêtés ?
—¿Por qué hemos parado?
– Pourquoi tu t’arrêtes ?
—¿Por qué habéis parado?
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test