Translation for "propreteur" to spanish
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Elle n’avait su que peu d’anglais et, dans sa manie de propreté domestique, elle s’était efforcé d’interdire à Piet et à Joop l’accès non seulement du salon, mais encore de toutes les pièces du rez-de-chaussée, en dehors de la cuisine.
La mujer sabía poco inglés y, como limpiadora compulsiva que era, había tratado de desterrar a Piet y Joop no solo del salón delantero, sino de todas las estancias de abajo salvo la cocina.
Un produit pour nettoyer les vitres et un détachant pour tapis et tissus. Aprés avoir vidé et rincé les flacons dans l'évier de la cuisine, elle avait songé à les remplir d'eau de Javel avant d'opter finalement pour de l'ammoniaque pur dont Vess, ce cher maniaque de la propreté, conservait deux bidons.
uno de limpiavidrios y otro de quitamanchas para tapices y alfombras. Los había vaciado y enjuagado en la pileta de la cocina; pensó llenarlos con lavandina, pero optó por el amoníaco puro. Veiss, maniático de la limpieza hogareña, tenía dos frascos de esa sustancia.
Livia, qui ne voulait pas de la bonne quand elle était là, avait poussé le sadisme jusqu’à la propreté la plus rigoureuse, il n’y avait pas dans les environs la moindre miette de pain.
El sadismo de Livia, que no quería ver a la asistenta cuando ella estaba en Vigàta, había llegado hasta el extremo de limpiar impecablemente todo; no se veía en la casa ni una miga de pan.
À vingt-trois ans, je continuais à vivre de la sorte, sans doute étais-je même encore plus autonome : l’appartement paternel à moi seul, sur un fond de relais d’aides ménagères qui me laissaient de quoi me sustenter dans le réfrigérateur et veillaient à la propreté des lieux, qui ne me voyaient pas beaucoup et que je voyais encore moins.
A mis veintitrés mantenía ese régimen o aún más autónomo: el piso paterno para mí solo, con un fondo de asistentas cambiantes que me dejaban comida en la nevera y limpiaban, que no me veían mucho y a las que yo veía aún menos.
Stephen n’était pas concerné par l’aspect anglican du dimanche mais par la propreté rituelle : avec ses assistants et son infirmier, ils étaient tous présents, sobres et correctement habillés, leurs instruments étalés tout scintillants et leurs patients bien droits dans leur bannette quand le capitaine Pullings et son premier lieutenant, Mr Harding, vinrent en faire l’inspection.
La naturaleza anglicana del domingo no afectó a Stephen, pero la limpieza ritual sí lo hizo, y acompañado por sus ayudantes y el asistente se presentaron, discretos pero vestidos con propiedad, con los instrumentos dispuestos, refulgentes, y los pacientes tendidos y tiesos en los coyes, cuando el capitán Pullings y el primer teniente, el señor Harding, se acercaron a inspeccionar la enfermería.
Et cependant… Plus d’une fois, en flânant pour passer le temps dans une galerie du centre-ville, un antre de trois étages, vestige d’une certaine architecture commerciale des années soixante-dix qui vingt ou trente ans plus tard est demeuré intact, sans la moindre modification, avec son éternelle nuit, ses tubes fluorescents allumés à deux heures de l’après-midi, ses ascenseurs toujours hors service, ses boutiques de disques et de vêtements gothiques enfumées de marijuana, ses employés pâles comme des cadavres, une chose qu’il ne saurait comment définir l’invite à s’arrêter devant les vitrines des quatre ou cinq salons de tatouage qu’il croise dans les endroits les plus inattendus de la galerie, et qui sont toujours bourrés de monde, toujours débordants d’activité, à tel point qu’il jurerait qu’été comme hiver, à midi ou à sept heures du soir, que ce soit un jour de semaine ou un jour férié, la ville est l’épicentre permanent d’un congrès de tatoueurs ou le siège social d’une confrérie de tatoués, et bien qu’intimidé et honteux, car les vitrines transparentes des salons transforment la cérémonie du tatouage en spectacle public et que personne ne pourra jamais le dissuader que la rencontre entre l’aiguille et la chair devrait être quelque chose d’intime qui réclame un cadre privé, il demeure un long moment à observer ce qui se passe, attiré par la propreté chirurgicale de la mise en scène – le comble de l’exotisme pour une galerie célèbre à cause de la crasse qui s’y accumule –, par la présence d’une série de personnages dont il ne comprend pas du tout le rôle, des secrétaires, des assistants, peut-être des accessoiristes, tournant sans arrêt autour du tatoueur et du tatoué mais demeurant immobiles, tout au plus fumant ou regardant à l’extérieur, dans une attitude décontractée mais vigilante, attiré également par les attitudes étranges – parfois alanguies, parfois tendues, comme congelées au sein d’une activité d’une intensité qui frise l’intolérable – qu’adoptent les corps, celui du tatoué qui se soumet au tatouage et celui du tatoueur en train de l’infliger, si caractéristiques chez le sculpteur et son modèle, chez les interprètes de tableaux vivants et aussi chez les tortionnaires et les torturés, et enfin par le caractère silencieux, ou plutôt privé de son, que prend de ce côté de la vitrine un spectacle qui ne saurait être plus bruyant.
Y sin embargo… Más de una vez, haciendo tiempo en una galería del centro de la ciudad, un antro de tres pisos, rémora de cierta arquitectura comercial de los años setenta que veinte y hasta treinta años más tarde resiste intacta, sin el más mínimo cambio, con su noche eterna, sus tubos fluorescentes prendidos a las dos de la tarde, sus ascensores siempre fuera de servicio, sus disquerías y sus tiendas de ropa gótica ahumadas de marihuana, sus empleados pálidos como cadáveres, algo que no sabría cómo definir lo invita a detenerse ante las vidrieras de los cuatro o cinco locales de tatuajes que lo sorprenden en los rincones más inesperados de la galería, siempre llenos de gente, siempre rebosantes de actividad, a tal punto que juraría, sea verano o invierno, las doce del mediodía o las siete de la tarde, día de semana o feriado, que la ciudad es el epicentro sistemático de una convención de tatuadores o la sede de un desfile de tatuados a escala urbana, y aun intimidado por la vergüenza, porque las vidrieras de los locales podrán ser transparentes y hacer de la ceremonia del tatuaje un espectáculo público, pero a él nadie lo disuadirá jamás de la idea de que el encuentro entre las agujas y la carne es de naturaleza íntima y reclama privacidad, se ha quedado un rato largo mirando, atraído por la limpieza quirúrgica de la escenografía —el colmo de lo exótico en una galería famosa por la mugre que junta—, la presencia de una serie de personajes cuya función nunca comprende del todo, secretarias, asistentes, quizás instrumentistas, que orbitan siempre alrededor del tatuador y el tatuado pero permanecen inmóviles, a lo sumo fumando o mirando hacia afuera, en una actitud superflua pero vigilante, las posturas extrañas —a veces lánguidas, a veces en tensión, como congeladas en medio de un trance de intensidad que bordea lo intolerable— que adoptan los cuerpos, el del tatuado al someterse al tatuaje, el del tatuador al infligirlo, tan propias de modelos y escultores, de intérpretes de cuadros vivientes y también de torturados y torturadores, y por el carácter silencioso, o más bien privado de sonido, que cobra de este lado de la vidriera un espectáculo que no podría ser más ruidoso.
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