Translation for "plus répéter" to spanish
Translation examples
Les clés du comportement humain sont là, les exemples des erreurs que nous ne devons plus répéter.
Ahí están las claves de los comportamientos humanos, ahí los ejemplos de los errores que no debemos repetir.
Quand il se présenta devant la porte principale, il dut une fois de plus répéter toute la procédure d’identification et permettre à l’IA de vérifier la paume de sa main ainsi que les traits de son visage.
Cuando llegó a la entrada principal tuvo que repetir todo el proceso de identificación de seguridad y dejar que el SA examinara su rostro y sus rasgos faciales.
Personne n’osait plus répéter : non, non, non, ils ne nous livreront pas, ils ne nous laisseront pas ici, ils ne peuvent pas nous faire ça, ils vont venir nous chercher, pas Blum, pas les Français, les Anglais non plus, à l’heure de vérité, les démocraties, les Européens, ne peuvent pas nous faire ça… Plus personne ne parlait, pas même les plus sombres, ceux qui ne disaient pas au revoir et cherchaient discrètement leur arme avec leurs doigts, ceux qui appuyaient le canon sur la tempe et faisaient résonner les tirs, ceux dont les corps tombaient sur le sol tels des paquets, des arbres élagués à contretemps. Lui regardait la mer, l’eau immobile, vide, écoutait les tirs, entendait tomber les corps et il ne tournait pas la tête, ne regardait pas, ne voyait pas, ne voulait pas savoir.
Nadie se atrevía ya a repetir que no, que no, que no, no nos entregarán, no nos dejarán aquí, no pueden hacernos esto, vendrán a buscarnos, tendrán que mandar barcos, Blum no, los franceses no, y los ingleses, a la hora de la verdad, tampoco, las democracias, los europeos, no pueden hacernos esto… Ya nadie hablaba, ni siquiera los más sombríos, los que no se despedían de nadie mientras buscaban la pistola con dedos sigilosos, y se apoyaban el cañón en la sien, y disparaban, y los disparos sonaban, y los cuerpos caían al suelo como fardos, como bultos, como árboles talados a destiempo, y él miraba al mar, agua inmóvil, vacía, escuchaba los disparos, oía caer los cuerpos y no volvía la cabeza, no miraba, no veía, no quería saber.
Si au moins ils suivaient l’exemple du no man’s land Godard – comme il le surnomme l’après-midi où, enfoncé dans un fauteuil grinçant de la cinémathèque, étirant son cou au maximum pour éviter les nuques afro du couple assis devant lui, il voit pour la première fois la scène des exécutions dans la piscine couverte d’Alphaville, avec les tristes condamnés à mort en costume cravate tombant dans l’eau et le cortège de pin-up en bikini plongeant à leur suite pour les escorter jusqu’au bord du bassin, et lorsqu’il sort du cinéma, avec la solennité solitaire que possèdent les résolutions prises à quinze ans, il décide de ne plus répéter la tromperie que tout le monde répète, le Français Godard, le Suisse Godard, et même le Franco-Suisse Godard, tant il attribue à la frontière qui sépare la France de la Suisse tout ce qu’il admire en lui, c’est-à-dire tout, depuis ses lunettes en cul de bouteille jusqu’aux pattes de ses pantalons, étroites, trop courtes, en passant par ses femmes, surtout ses femmes, et ces rafales musicales qui font irruption comme des bourrasques de pluie, coupent en deux les images de ses films et appellent à nouveau le silence –, le no man’s land Godard, qui après avoir fini de tourner Tout va bien, le pamphlet anticapitaliste qu’il filme avec Jean-Pierre Gorin, et qu’il s’assoit pour se demander, comme chaque fois qu’il finit de tourner un film, mais cette fois encore plus, précisément parce que ce qu’il filme à présent, ce ne sont plus des films mais des pamphlets anticapitalistes, qui diable va accepter de payer une entrée de cinéma pour le voir, quel public réel il peut y avoir pour cette œuvre maîtresse du kino pravda slapstick qui retient Jane Fonda et Yves Montand en otages en plein feu croisé d’un conflit syndical, le plafond qu’il se fixe est de cent mille spectateurs, les mêmes cent mille individus, pense-t-il, qui assistent à l’enterrement au Père-Lachaise du militant maoïste Pierre Overney, assassiné devant les portes de l’usine Renault de Billancourt – sans qu’aucun frère Lumière ne soit là pour immortaliser l’événement – par l’agent de sécurité Jean-Antoine Tramoni.
Si al menos siguieran el ejemplo del tierra de nadie Godard —como lo bautiza la tarde en que, hundido en una butaca crujiente de la cinemateca, estirando el cuello al máximo para eludir las nucas afro de la pareja que tiene adelante, ve por primera vez la escena de las ejecuciones en la pileta techada de Alphaville, con los tristes ejecutados de traje y corbata cayendo al agua y el cortejo de pin-ups en bikini zambulléndose tras ellos para escoltarlos hasta el borde de la pileta, y cuando sale del cine, con la solemnidad solitaria que tienen las decisiones tomadas a los quince años, decide que ya no repetirá la falacia que repiten todos, el francés Godard, el suizo Godard, incluso el suizo-francés Godard, a tal punto atribuye a la frontera que separa Francia de Suiza todo lo que admira en él, que es todo, desde los anteojos culo de botella hasta las botamangas de sus pantalones, angostas, demasiado cortas, pasando por sus mujeres, sobre todo sus mujeres, y esas ráfagas de música que irrumpen como descargas de lluvia, cortan en dos las imágenes de sus películas y se llaman de nuevo a silencio—, el tierra de nadie Godard, que cuando termina de rodar Tout va bien, el panfleto anticapitalista que filma con Jean-Pierre Gorin, y se sienta a pensar, como siempre que termina una película pero ahora más, precisamente porque lo que filma ahora no son películas sino panfletos anticapitalistas, quién diablos pagará una entrada de cine para verla, qué público real puede haber para esa obra maestra del kino pravda slapstick que tiene a Jane Fonda y a Yves Montand de rehenes en pleno fuego cruzado de un conflicto sindical, el techo que se fija es de cien mil espectadores, los mismos cien mil, piensa, que asisten al entierro en el Père Lachaise del militante maoísta Pierre Overney, asesinado a las puertas de la fábrica Renault de Billancourt —sin que haya ningún hermano Lumière para registrar el episodio— por el guardia de seguridad Jean-Antoine Tramoni.
Ce fut une chose instinctive, qui ne s'est plus répétée par la suite.
Fue algo instintivo y no volvió a repetirse.
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