Translation for "pares" to spanish
Translation examples
Elle s’assura qu’il était bien couvert avant de le laisser, et se dirigea vers la cheminée, releva le pare-feu et ajouta un peu de bois.
Antes de irse se aseguró de que estaba bien tapado, y se dirigió al fuego, descorrió la malla de protección y añadió leña.
Une Honda Civic d’un gris terne était garée juste devant, et semblait prête à partir. Un homme examinait le pare-brise, les bras croisés.
Allí, sentado afuera de él y luciendo listo para irse, había un Honda Civic de un gris sin gracia. Un hombre estaba parado cerca de él, de brazos cruzados mientras examinaba el parabrisas.
L’affaire terminée, l’autre avait visiblement eu envie d’aller se coucher, et Teresa s’était retrouvée insatisfaite et furieuse contre elle-même et plus encore contre la femme muette qui la regardait derrière le reflet de la braise de sa cigarette dans le pare-brise : un petit point lumineux semblable à ceux des pêcheurs qui travaillaient dans la nuit et dans sa mémoire.
Al acabar, el otro tenía visibles ganas de irse a dormir, y Teresa estaba insatisfecha y furiosa consigo misma, y más todavía con la mujer callada que la miraba tras el reflejo de la brasa del cigarrillo en el cristal: un puntito luminoso igual que el de aquellos pesqueros que faenaban en la noche y en sus recuerdos.
Ses pare-chocs touchant la Simca, 404 se carra dans son siège, sentit augmenter la vitesse, sentit qu’il pouvait accélérer sans crainte de heurter la Simca et que la Simca accélérait sans risque de heurter la Beaulieu et que, derrière lui, la Caravelle se mettait à foncer, que tous accéléraient, toujours davantage, et 404, tout attendri et émerveillé, chercha Dauphine du regard.
Con los paragolpes rozando el Simca, el 404 se echó atrás en el asiento, sintió aumentar la velocidad, sintió que podía acelerar sin peligro de irse contra el Simca, y que el Simca aceleraba sin peligro de chocar contra el Beaulieu, y que detrás venía el Caravelle y que todos aceleraban más y más, y que ya se podía pasar a tercera sin que el motor penara, y la palanca calzó increíblemente en la tercera y la marcha se hizo suave y se aceleró todavía más, y el 404 miró enternecido y deslumbrado a su izquierda buscando los ojos de Dauphine.
Quilter, tournant le dos à Ransom, examinait le tuyau humide conduisant au collecteur. Il portait le même pantalon dégoûtant maculé de vin et de graisse, mais, maintenant, il arborait une coûteuse chemise pourpre et or de chez Paisley. Un paon mort était suspendu à sa ceinture par un morceau de ficelle attaché au cou brisé de l’animal dont la queue parée de joyaux s’étalait derrière Quilter comme une traîne. Une mouche tournoya sur sa tête, puis se posa sur son cou. L’esprit ailleurs, Quilter leva le poing et frappa l’insecte qu’il réduisit à une tache rouge. Il ramassa pensivement ce qui en restait. Ransom sortit au grand soleil.
Rechazado por esta grotesca caricatura de un ser humano, Ransom dio media vuelta para irse, con la esperanza de alejar así a Quilter de Catherine Austen y el zoológico. Mientras los animales estuvieran con vida, Whitman cuidaría de Catherine, pero el tuerto no era rival para Quilter. —Les deseo buena suerte a los dos —llamó por encima del hombro—, tienen mucho en común. Quilter lo siguió con ojos de pronto vidriosos, pasando los dedos por el cuello ensangrentado del ave que le colgaba del cinturón. En seguida, con una energía virulenta le gritó a Ransom: —¡Luego tendremos más en común, doctor!
Où se trouve la vie – la vieille question de son père que le mort incarne, en le plaçant face à la fragilité et à la menace dont se pare le monde chaque fois que le malheur le frôle – a tendance à se confondre avec cette autre question : où se trouve l’argent ? qui serpente à mi-voix pendant la veillée funèbre, comme circule à l’occasion de circonstances solennelles ou graves une certaine conversation vulgaire, mal intentionnée ou comique, pour couper court justement à la solennité et la rendre plus tolérable ou peut-être pour nous rappeler de quelle misérable étoffe elle est composée, et ravive ainsi quelques désirs de trancher la question, lorsque se présente à cette veillée une personne en théorie habilitée à le faire : un hiérarque de l’usine sidérurgique, par exemple, ou un fonctionnaire de police, ou les deux ou trois membres de la marine et de l’armée qui s’avancent en uniforme, précédés par une troupe compacte de gardes du corps, et se contentent de serrer les mains des individus qui viennent à leur rencontre dès qu’ils les voient arriver, comme si c’étaient eux les endeuillés – alors qu’ils n’ont jamais vu le mort en personne et qui, après s’être mis au garde-à-vous devant le cercueil, ne tardent pas à s’en aller – et pas ceux qui se morfondent depuis des heures dans la lumière diaphane de l’appartement. Où.
Dónde está la vida —la vieja pregunta de su padre que el muerto hace carne, enfrentándolo con la fragilidad y la amenaza de que se tiñe el mundo cada vez que lo roza la desgracia tiende a confundirse con la otra, dónde está la plata, que serpentea en el velorio a media voz, como circula en circunstancias solemnes o graves cierta conversación vulgar, malintencionada o cómica, para cortar la solemnidad y hacerla más tolerable o quizá recordarnos de qué estofa ruin está hecha, y enciende algunos conatos deliberativos cuando aparece en el velorio alguien en teoría habilitado para contestarla, un jerarca de la siderúrgica, algún funcionario policial, los dos o tres miembros de la armada y el ejército que se presentan de uniforme, precedidos por una compacta falange de custodios, y se limitan a estrechar las manos de quienes salen a su encuentro apenas los ven llegar, como si los deudos fueran ellos —que nunca vieron al muerto en persona y, después de cuadrarse junto al féretro, no tardan en irse— y no los que llevan horas consumiéndose en la luz macilenta del departamento. Dónde.
« Ils l’ont prise, Salvo, Dieu seul sait qui ils sont, je suis au commissariat pour faire la déclaration mais je ne peux pas trop parier, ils l’ont enlevée dans la rue, j’étais à côté, juste devant l’église, on venait de ramener les enfants et Amelia a fait une crise et sa mère a dit qu’on l’avait trop gâtée, et Hannah et moi on redescendait la côte, furieuses, tu vois, quelle ingratitude, et il y a une voiture qui s’arrête, il y avait deux types, un Noir et un Blanc, l’air quelconque, Salvo, et une conductrice blanche, elle regardait droit devant à travers le pare-brise, elle a pas tourné la tête une seule fois, et ils descendent de la voiture, et le Noir dit « Salut, Hannah », il lui passe le bras autour de la taille comme un vieux copain et il l’entraîne dans la voiture et les voilà partis, et maintenant, la gentille dame de la police, elle me demande la marque de la voiture et elle me montre des photos, ça fait des heures que j’y suis, Hannah n’a même pas eu le temps de me dire un mot, et maintenant la police dit qu’elle les a peut-être suivis de son plein gré, peut-être que c’était un type avec qui elle sortait, ou peut-être qu’elle voulait se faire un peu de fric à l’horizontale avec les deux, comme si c’était son genre, à Hannah, ils l’ont tout bonnement enlevée, comme ça, dans la rue, et la gentille dame de la police dit si ça se trouve c’est une tapineuse et peut-être que vous aussi, Grace, faire perdre son temps à un inspecteur de police, vous savez, c’est un délit, Grace, il faudrait peut-être vous en rendre compte, alors j’ai pété les plombs, je lui ai dit mettez donc une affiche avec on prend pas les Noirs au sérieux, ici, et du coup maintenant, elle parle à tout le monde sauf à moi. — Grace ! »
De pronto las palabras salen a borbotones: un monólogo enloquecido, con la respiración entrecortada, que no puede interrumpir aunque quiere, y yo tampoco puedo. —Se la han llevado Salvo sabe Dios quiénes son estoy en la comisaría denunciándolo pero no puedo hablar mucho la cogieron en volandas de la acera a mi lado justo enfrente de la iglesia acabábamos de dejar a los niños y Amelia fingía una rabieta y su madre decía que la habíamos mimado y Hannah y yo íbamos cuesta abajo muy enfadadas por la ingratitud cuando se para un coche y dos hombres uno negro y otro blanco de aspecto normal Salvo y una conductora blanca que mantiene la vista al frente a través del parabrisas sin volver la cabeza ni una sola vez en todo el tiempo salen y el negro dice Hola Hannah y le rodea la cintura con el brazo como si fuera un viejo amigo y la mete en el coche y se van y ahora una amable mujer policía me está preguntando qué clase de coche era y enseñándome fotos de coches desde hace horas Hannah a mí no me ha contado nada no ha tenido tiempo y la policía dice que quizá quería irse con esos chicos quizá era un hombre con el que ya salía o pensaba que a ella le gustaría ganarse unas libras con los dos en la cama como si Hannah fuese a hacer algo así se la llevaron en la calle y la amable policía dice que bueno quizá ella estaba de acuerdo y a lo mejor tú eres igual Grace hay una cosa que es hacer perder el tiempo a un agente de policía sabes que es delito Grace quizá deberías estar enterada entonces he estallado por qué no ponen un puto cartel le he dicho no se toma en serio a los negros y ahora le habla a todo el mundo menos a mí. —¡Grace!
Sachs ne comprit pas la réponse de l’homme, mais le ton lui en parut désagréable, inutilement hostile en quelque sorte, et comme il continuait à les observer à travers le pare-brise, il fut surpris d’entendre l’homme répondre à la question suivante de Dwight avec encore plus de violence : Fous le camp, ou fous-moi le camp d’ici, des mots de ce genre.
Sachs no oyó la respuesta del hombre, pero el tono parecía enojado, innecesariamente hostil, y mientras continuaba mirándoles a través del parabrisas se sorprendió cuando el hombre respondió a la segunda pregunta de Dwight con algo aún más violento: vete a tomar por culo, o algo así.
Disparaître. » Elle a déplacé ses jambes et s’est remise face au pare-brise.
Desaparecer. —Cambió de posición las piernas y volvió a colocarse de cara al parabrisas—.
L'eau montait toujours, nous la sentions à nos pieds, le pare-brise commençait à disparaître.
El agua seguía subiendo, la notábamos en nuestros pies, y el parabrisas empezaba a desaparecer.
Les dernières ambulances parties, Pare et le personnel médical mirent leurs maigres possessions dans un camion.
Al desaparecer las últimas ambulancias, Pare y los componentes de los servicios médicos cargaron sus exiguas pertenencias en un camión alemán.
Des gens qui viennent de sortir passent devant ton pare-brise, deux femmes d’âge mûr, sans doute des amies de la veuve, d’Élishéva, ça y est, leur voiture démarre et les phares illuminent un instant ton visage puis s’éloignent.
Los que dejan la casa pasan junto a tu ventanilla, dos mujeres de edad madura, probablemente amigas de la viuda Elisheba, sus automóviles ya se alejan del lugar, sus luces revelan por un instante tu presencia para luego desaparecer.
À travers le pare-brise j’ai scruté son visage maigre, taillé à la serpe, comme j’aurais regardé quelque chose qu’un courant emporterait bientôt, car je sentais que ce pouvait fort bien être la dernière fois que je le voyais vivant.
Miré a través del parabrisas su cara flaca y arrugada como quien observa un objeto que flota en el río a punto de desaparecer en la corriente, pues de repente me di cuenta de que esa podía ser la última vez que lo viese con vida.
— Bon. Pendant qu’elles étaient debout sur le perron, un bref rayon de soleil est venu frapper le pare-brise. Puis il a disparu. Le chauffeur regardait la maison ; il avait baissé la vitre et fumait une cigarette, une Prince à bout filtre, et je me suis détourné pour éviter la fumée âcre.
—Está bien. Ellas seguían en las escaleras de entrada, el sol entró de refilón por el parabrisas y enseguida volvió a desaparecer, el taxista miraba hacia la casa y fumaba con la ventanilla entornada, un Prince con filtro, y yo me volví para evitar el humo.
Inutilement bien sûr, dans une situation vraiment grave, les airbags ne sauvaient personne, ils étaient détruits et pendaient comme des ballons de baudruche crevés, par le pare-brise d’une Ford Escort plantée à la verticale, qui avait l’air d’avoir cherché à traverser le sol, s’ensevelir, disparaître.
Claro que no sirve de nada cuando las cosas han ido mal de verdad, en ese caso el airbag no salva a nadie, se queda colgando, destrozado como un globo aerostático caído sobre el parabrisas de un Ford Escort volcado, que parece haber intentado atravesar el suelo, enterrarse, desaparecer.
Je restai assis dans la voiture pendant quelques minutes, à observer comment les gouttes de pluie disparaissaient dès l’instant où elles tombaient sur quelque chose – le mur jaune de l’église ou le sol de la place ou le pare-brise de la voiture –, et je compris alors que toutes ces gouttes de pluie ne disparaissaient pas, en vérité elles explosaient.
Permanecí sentado en el carro unos minutos, nada más viendo cómo las gotas de lluvia desaparecían al nomás caer sobre algo —el muro amarillo de la iglesia o el suelo de la plazoleta o el parabrisas del carro—, y entendí que todas esas gotas de lluvia, más que desaparecer, en realidad explotaban.
— Ça, c’est plutôt une bonne nouvelle ! s’exclama le cameraman en pêchant une canette de bière au fond de la glacière. Daniel refusa la boisson glacée. Pendant que Jock rotait de satisfaction, il se concentra sur la route que dévorait la calandre du 4×4. Alors que la lumière perdait rapidement de son intensité, de lourdes gouttes s’écrasèrent sur le pare-brise.
–Me alegra saberlo. Jock hundió la mano en la caja de hielo y sacó una lata de cerveza. Se la ofreció a Daniel, pero éste sacudió la cabeza, concentrado en la conducción. El cámara abrió la lata, tomó un buen sorbo y dejó escapar un eructo feliz. La luz empezaba a desaparecer; unas cuantas gotas de lluvia se estrellaron contra el parabrisas, pero Daniel no aminoró la velocidad.
Mais elle avait dans le même temps râlé et pinaillé au sujet des protocoles de pare-feu logiciel qui l’empêchaient de partir (avant d’essayer, assez grossièrement, de dévorer son interlocuteur).
Pero también se quejó amargamente de los protocolos del cortafuegos que le impedían marcharse (antes de intentar comerse a su contertulio de manera bastante poco elegante).
J’ai dit « Messieurs, il va être temps de partir, les Ricains arrivent, ils vont vous traîner rue de Rivoli accrochés par la bite à un pare-chocs de voiture. »
Les dije: «Señores, va siendo hora de marcharse, llegarán los yanquis y los arrastrarán por la rue de Rivoli atados por el pito al parachoques de un coche.»
Chaque chose se pare de grandeur quand le soleil d’été la darde de ses rayons, on imagine alors que cette campagne est bénie de Dieu et que ses habitants préféreraient mourir plutôt que d’en partir.
Todo se imbuye de grandeza cuando el sol de verano le lanza sus rayos, uno cree entonces que ese altiplano está bendecido por Dios y entiende que sus gentes prefieran morir antes que marcharse a otro lugar.
Plus tard, alors que Hendrika van der Vlist et d’autres civils hollandais se préparaient à partir pour aller aider les blessés dans les hôpitaux allemands, Pare leur dit au revoir, à regret.
Más tarde, cuando Hendrika van der Vlist y otros civiles holandeses se disponían a marcharse para atender a los heridos en hospitales alemanes, Pare se despidió de ellos con pena.
Plus tôt, en arrivant, dans l’obscurité et avec un seul phare, Lone n’avait pas pu empêcher le pare-chocs de l’érafler et, maintenant, alors quelle quittait le Couvent, le poteau penchait et la pancarte – MELONES PRÉCOCES – était prête à tomber.
Antes, al llegar, debido a la oscuridad y a que sólo funcionaba un faro del coche, Lone no había podido evitar que el parachoques rozara el poste, y ahora, al marcharse del convento, estaba inclinado y la señal —ZANDÍAS TEMPRANAS— a punto de caerse.
Plus de messages derrière le pare-brise, sous l’essuie-pieds, dans la poche de veste, plus de bouts de papier dans les chaussures qu’on ne sent qu’une fois qu’on t’a quittée, dans la rue, plus d’allusions — d’autant plus durables que plus énigmatiques.
Ya no hay más mensajes detrás del parabrisas, debajo de la esterilla de los pies, en el bolsillo de la chaqueta; ninguna hojita más en los zapatos, una hojita que sólo se siente al marcharse uno de tu compañía, ninguna insinuación ya, cuanto más enigmática más persistente.
Amasai (l'un des ouvriers de la ferme), en cravate pourpre et gants de daim d'un jaune criard, le teint cramoisi et rasé de frais, vient de partir en carriole avec Carrie (la fille de ferme) parée d'un grand chapeau orné de roses rouges et vêtue d'une robe de mousseline bleue, ses cheveux frisottés autant qu'ils peuvent l'être.
Amasai (el peón), de corbata violeta, guantes amarillo fuerte, muy colorado de cara y recién afeitado, acaba de marcharse con Carrie (la sirvienta), ataviada de muselina celeste y gran sombrero adornado con rosas rojas y el pelo a todo enrular.
Si en revanche la voiture allait en direction de l’ouest, le conducteur pouvait l’atteindre en s’aidant d’une batte ou en envoyant une pierre dans le pare-brise pendant que sa voiture continuait de rouler. Ensuite, il lui suffisait de s’enfuir avant que quelqu’un ait eu le temps de sortir par la cour de devant. — Je vois, dis-je.
Sin embargo, si el coche se dirigía hacia el oeste, el conductor podría sacar la mano con algo (un bate, por ejemplo), o lanzar una piedra contra el parabrisas mientras continúa en movimiento y marcharse antes de que ninguno de ustedes salga al patio principal. —Ya veo —digo. Ahora que lo ha dicho, visualizo la aproximación, el ataque, la huida.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test