Translation for "offensé" to spanish
Offensé
Translation examples
insultado
Alex les avait offensés.
Alex los había insultado.
Ah, vous ai-je offensée ?
—Ya veo, ¿te he insultado acaso?
Valentin ne se sentit pas offensé.
Valentín no se sintió insultado.
Elle n’était plus en mesure de se sentir offensée.
Ella ya no tenía capacidad para sentirse insultada.
— Je me sens offensée, juste un peu.
—Me siento insultada, sólo un poco.
Mais j’imagine que j’ai offensé le reste de ta personne. »
Pero supongo que he insultado al resto de ti.
Je l’avais offensée. Pire encore, je l’avais insultée.
La había ofendido. Peor aún, la había insultado.
Je les ai insultés grossièrement, mais ils ne se sont pas sentis offensés.
Les he insultado groseramente, pero no se han sentido ofendidos.
Drew prit un air offensé.
Drew adoptó un aire de sentirse insultado.
—Ce n'est plus le cas ! protesta Candy, l'air offensée.
—¡Ya no! —dijo Candy, sintiéndose insultada—.
— Feld-maréchal, j’espère que vous ne vous sentez pas offensé. — Offensé ?
—Mariscal, espero que no se habrá ofendido. —¿Ofendido?
Elle était offensée.
Que estaba ofendido.
Il n’était pas offensé.
No estaba ofendido.
— Est-ce que je t’ai offensée ?
—¿Es que te he ofendido?
— Vous ne m’avez pas offensé.
—No me ha ofendido.
— Tu ne m’as pas offensée.
—No me has ofendido.
— Tu ne m’as point offensé.
—No me habéis ofendido.
- En quoi vous ai-je offensé?
—¿En qué le he ofendido?
C’est à nous d’être offensés.
Los ofendidos somos nosotros.
J’aurais dû me sentir offensé, mais je ne l’étais pas.
Hubiera debido sentirme injuriado, pero no fue así.
L’autre cria à la trahison, prétendit n’avoir aucune idée de l’endroit où elle se trouvait et bondit hors de la pièce avec un déploiement de dignité offensée qui évoquait le crissement criard du taffetas.
El hombre pareció sentirse traicionado, dijo que no tenía la menor idea de dónde estaba ella, y se marchó de la habitación con toda una exhibición de injuriada dignidad que evocaba el furioso roce del tafetán.
naturellement, elle flirte avec le premier venu – tu sais comment elle manœuvre et rit… ce rire, cet affreux rire effronté… comment elle minaude : « Si vous continuez, mauvais sujet, vous aurez affaire à mon mari », et le gaillard m’examine et se dit : « Veux-tu bien te sauver, petit polisson, ou je te flanque une fessée ! » Et elle le laissera aller juste assez loin pour que ça devienne troublant pour elle, et alors elle jouera la vertu offensée et elle aura une minute délicieuse à gémir : « Je n’aurais jamais cru ça de vous ! » On parle dans les romans des demi-vierges… – Des quoi ?
Naturalmente, flirteará con cualquiera…; ya sabes cómo da la mano, cómo se ríe… con esa risa suya… tan desvergonzada…, y de qué manera grazna: «¡No sea usted pícaro, y ándese con ojo si no quiere entendérselas con mi marido!» Mientras tanto, el otro me mira pensando: «¡Vete de aquí, precioso, o te zurro la badana!» Y ella le permitirá ciertas libertades, las suficientes para calentarse un poco, y después empezará a hacerse la inocente injuriada y se divertirá de lo lindo gimiendo: «No esperaba yo eso de usted». Y luego en las novelas hablan de esas demi-vierges… —¿Esas qué?
Arrive un moment où l’homme bouleversé ou offensé entend une voix crier dans sa tête, Perdu pour perdu, et alors, selon le lieu et les particularités de la situation, soit il dépense son dernier argent dans un billet de loterie, soit il jette sur la table de jeu la montre héritée de son père et l’étui à cigarettes en argent offert par sa mère, soit il parie tout ce qu’il possède sur le rouge, bien qu’il ait vu cette couleur sortir cinq fois de suite, soit il sort seul de la tranchée et se précipite, baïonnette braquée sur la mitrailleuse de l’ennemi, soit il arrête sa fourgonnette, descend les vitres, ouvre les portières et attend qu’avec les gourdins habituels, les couteaux de toujours, poussés par le dénuement du moment les habitants des baraques viennent le détrousser, Puisque eux là-bas n’en ont pas voulu, que ceux-ci prennent tout, telle fut la dernière pensée de Cipriano Algor.
Llega un momento en que la persona trastornada o injuriada oye una voz gritándole dentro de su cabeza, Perdido por diez, perdido por cien, y entonces es según las particularidades de la situación en que se encuentre y el lugar donde ella lo encuentra, o gasta el último dinero que le quedaba en un billete de lotería, o pone sobre la mesa de juego el reloj heredado del padre y la pitillera de plata que le regaló la madre, o apuesta todo al rojo a pesar de haber visto salir ese color cinco veces seguidas, o salta solo de la trinchera y corre con la bayoneta calada contra la ametralladora del enemigo, o para esta furgoneta, baja los cristales, abre después las puertas, y se queda a la espera de que, con las porras de costumbre, las navajas de siempre y las necesidades de la ocasión, lo venga a saquear la gente de las chabolas, Si no lo quisieron ellos, que se lo lleven éstos, fue el último pensamiento de Cipriano Algor.
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