Translation for "faire tremper" to spanish
Translation examples
Ça ne lui aurait pas traversé l’esprit d’acheter des serviettes en papier ou de faire tremper une poêle graisseuse dans de l’eau chaude avec du liquide vaisselle.
Nunca se le ocurriría comprar papel de cocina o sumergir una sartén grasienta en agua caliente y jabón.
Dorer les côtes de porc et faire tremper la choucroute selon la coutume ancestrale, plutôt que dans le style moderne qu’elle avait développé au Generator, la mit en rogne.
La cabreó tener que dorar las costillas y remojar el chucrut según la costumbre ancestral, en lugar de hacerlo a su moderna manera, igual que en El Generador.
Il leur ordonna d’aider les jardiniers à sortir les cadavres, puis de nettoyer tables, tabourets et bancs avec des éponges, de laver à grande eau le sol pavé de la galerie et de faire tremper les étoffes pourpres dans un abreuvoir.
Éste las hizo ayudar a los jardineros a retirar los muertos, y después lavar las mesas, bancos y taburetes con esponjas, limpiar el pavimento de los claustros y poner los manteles de púrpura a remojar en artesas.
Ce n’était d’ailleurs pas du tout un cuisinier au sens que renferme ce mot à terre, puisqu’il se limitait à faire tremper la viande salée dans des baquets d’eau douce puis à la faire bouillir dans de vastes marmites, tandis qu’un homme se chargeait des tâches délicates de chacun des plats de matelots.
En realidad, Orrage no era un cocinero, según la definición que se usaba en tierra, pues se limitaba a remojar la carne salada en agua dulce y luego hervirla en calderos de cobre mientras los hombres encargados de preparar la comida a cada grupo de marineros hacían el resto del trabajo.
Un navire de guerre, même de sixième rang, exigeait une quantité étonnante de matériel naval, et chacun des guerriers qu’il portait avait droit chaque semaine à sept livres de biscuit, sept gallons de bière, quatre livres de bœuf et deux de porc, deux pintes de pois, une pinte et demie de flocons d’avoine, six onces de sucre et autant de beurre, douze onces de fromage et une demi-pinte de vinaigre, sans même parler du jus de citron, des quantités énormes d’eau douce nécessaires pour faire tremper la viande salée, et des deux livres de tabac par mois lunaire (que les hommes devaient toutefois acheter, à raison d’un shilling sept pence la livre) – une masse considérable lorsqu’on la multipliait par deux cents. De plus, les marins étaient intensément conservateurs et passionnément attachés à leurs droits ; s’ils pouvaient admettre certains compromis à propos de leur bière, leur très, très petite bière, acceptant joyeusement et même volontiers une pinte de vin en remplacement lorsqu’ils étaient en Méditerranée ou une demi-pinte de rhum, allongée en tafia, dans toutes les eaux étrangères et lointaines, s’ils pouvaient admettre qu’un pudding aux raisins soit considéré comme l’équivalent d’une viande en certaines occasions, à peu près tout autre changement risquait fort de déclencher de l’agitation, et les capitaines sages évitaient à tout prix l’innovation.
Incluso un barco de guerra de sexta clase* necesitaba una asombrosa cantidad de pertrechos y, además, cada uno de sus tripulantes tenía asignada una cantidad de víveres semanal que consistía en siete libras de galletas, siete galones de cerveza, cuatro libras de carne de vaca y dos de carne de cerdo, un cuarto de libra de guisantes, una pinta y media de harina de avena, seis onzas de azúcar y de mantequilla, doce onzas de queso, media pinta de vinagre y una pequeña cantidad de zumo de lima. También era necesario llevar a bordo una enorme cantidad de agua dulce para remojar la carne salada y, además, de tabaco, que costaba una libra y siete peniques la libra y era pagado por el capitán, ya que cada mes lunar había que dar a cada tripulante dos libras, y esa cifra multiplicada por doscientos daba una cantidad realmente grande. Los marineros eran muy conservadores y hacían valer sus derechos con vehemencia, y aunque no les importaba que en vez de cerveza les dieran vino cuando estaban en el Mediterráneo, o grog, una mezcla de ron con agua, cuando navegaban por otros mares lejanos a su país, y aceptaban que de vez en cuando el pudín de pasas fuera sustituido por carne, cualquier otro cambio era motivo de amotinamiento, así que los capitanes inteligentes evitaban a toda costa hacer cambios.
La dernière chose qu'il fallait à Willy, c'était de se faire tremper, mais si le ciel lâchait ce qu'il semblait promettre, c'était exactement ce qui allait se passer.
Lo último que Willy necesitaba era empaparse de agua, pero si el cielo cumplía lo que parecía prometer, eso era exactamente lo que iba a pasar.
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