Translation for "douelle" to spanish
Translation examples
Je contournai la maison vers le hamac de fils de fer et de douelles de barriques, comme ils en font dans le coin, qui se balançait entre un chêne vert et un poteau.
Me dirigí hacia el otro lado de la casa donde se veía colgada una hamaca, construida con alambres y duelas de barricas, de la clase que se utilizaba en esta parte del Globo, entre un poste y el roble.
Des bandes d’acier destinées aux lames d’épées, minces et tenaces, prenaient sous le marteau la forme de cercles que l’on ajustait ensuite autour de solides planches de frêne à la manière dont les tonneliers plaçaient des cerceaux autour de douelles pour en faire des tonneaux.
Utilizaron finas y resistentes láminas de hierro de espadas para hacer con ellas anillos circulares y colocarlos alrededor de tablas de dura madera de arce, del mismo modo en que un tonelero coloca los aros alrededor de las duelas para construir un barril.
Lorsque je pense à mes frères, tués pendant la première guerre ou morts autrement… Quand ils étaient petits – c’était encore sous l’empereur –, ils allaient se chercher un tonneau de bière hors d’usage à la brasserie de Langfuhr, ils arrachaient des douelles et les frottaient au savon, puis se les attachaient sous leurs brodequins et allaient faire du ski dans la forêt de Jäschkental, descendant et remontant l’Erbsberg.
Si pienso en mis hermanos, que cayeron en la primera guerra o cascaron de alguna otra forma, ellos, cuando eran pequeños —era aún la época del Káiser— conseguían un barril viejo de cerveza en la Langfuhrer Aktienbrauerei, le quitaban las duelas, las frotaban con jabón blando, se las ataban entonces bajo las botas y se iban como auténticos esquiadores al bosque de Jäschkental, en donde subían y bajaban al Erbsberg.
Les navires fabriqués dans les chantiers des colons du Nord apportaient en grandes quantités aux Caraïbes du poisson frais et fumé, de l’avoine et du grain, des haricots noirs, de la farine, du beurre, des fromages, des oignons, des chevaux et des bovins, des bougies et du savon, des tissus, des planches de pin, de chêne et de cèdre pour l’emballage du sucre (Cuba eut la première scie à vapeur importée en Amérique latine, mais il n’avait pas de bois à couper), et des douelles, des cerceaux, des cercles, des anneaux et des clous.
En gran escala, los navíos fabricados por los astilleros de los colonos del norte llevaban al caribe peces frescos y ahumados, avena y granos, frijoles, harina, manteca, queso, cebollas, caballos y bueyes, velas y jabones, telas, tablas de pino, roble y cedro para las cajas de azúcar (Cuba contó con la primera sierra de vapor que llegó a la América hispánica pero no tenía madera que cortar) y duelas, arcos, aros, argollas y clavos.
Frankie Machine en avait vu quelques moches pendant ses vingt-neuf ans de vie. Mais chacun de ceux-là avait l’air d’avoir été assommé toute la nuit par tous les autres à coups de douelles de tonneaux. Des gueules sanguines de porc cru haché lentement dans le grand hachoir de la ville : des gueules en sac de papier éclaté, l’une avec des yeux de poule mourante, et l’autre aussi farouche qu’un dogue acculé ; des yeux où brillait la petite lueur de l’hystérie, d’autres devant lesquels se tendait à demi le rideau triste du chagrin.
Frankie Machine había visto bastantes maleantes en sus veintinueve años de vida, pero cualquiera de éstos daba la sensación de haber sido apaleado por los demás durante la noche con duelas de tonel. Caras sanguinolentas como carne cruda de cerdo, trituradas lentamente por el gran molino de la ciudad; caras como vejigas blancas reventadas, algunas con ojos de gallina y otras tan insolentes como las de un perro de presa; ojos con fulgores de histerismo y ojos velados por el pesado brillo del rencor. Algunos miraban de soslayo, escuchaban sin atención y contestaban distraídos;
Le commerce débordant des trottoirs en cachait tout rue après rue, vingt mille vendeurs ambulants qui m’offraient postes de radio, vêtements et colifichets, même un téléviseur qu’on me mettait sous le nez sans crier gare pour que j’y découvre mon reflet dans sa surface grisâtre couleur de plomb : je crus, en voyant mon visage à la fois surpris et lointain, que ce dont faisaient ici négoce ces vingt mille pochtecas, ces marchands aztèques guidés par le long nez du dieu qui les précède dans une gerbe de douelles et de dollars étaient tous des versions de ma propre vie, des visages que j’aurais pu avoir, des corps qui auraient pu être le mien, des odeurs qui auraient pu émaner de ma bouche, de mes aisselles, de mes fesses, de mes pieds et qui à présent se confondaient, comme partie intégrante et émanations de la multitude qui me bousculait, me proposait, me frôlait, enjôleuse, me touchait, malotrue, me tirait et me poussait, vers où ?, à la recherche de quoi étais-je ?, de la petite bande dont m’avait parlé Jéricho ?, devais-je avoir de moins en moins foi en mon ami — et de plus en plus en ma nouvelle Némésis — qui était selon lui capable de mobiliser tout ce petit monde hugolien du mauvais coup retors, de la survie par débrouillardise, de l’indépendance féroce face aux pouvoirs ici abusés, ici soumis à la simple loi de la survie ?
El comercio callejero ocultaba calle tras calle, veinte mil vendedores ambulantes me ofrecían aparatos de radio, ropa y bisutería, hasta un televisor me ponían de golpe frente a las narices para que me viera reflejado en su grisácea superficie de plata balín: creí, viendo mi rostro a la vez sorprendido y lejano, que lo que aquí mercaban los veinte mil pochtecas, los mercaderes guiados por la larga nariz del dios que los precede con un haz de duelas y de dólares, eran todos versiones de mi propia vida, de los rostros que pude tener, de los cuerpos que pudieron ser el mío, de los olores que pudieron emanar de mi boca, mis axilas, mis nalgas, mis pies y que ahora se confundían, eran parte y emanaciones de la multitud que me empujaba, me ofrecía, me rozaba con gracia, me tocaba con grosería, me traía y me llevaba ¿a dónde?, ¿qué buscaba yo?, ¿la pandilla evocada por Jericó?, ¿podía creer mi viejo amigo cada vez menos —cada vez más, mi nueva Némesis— que él podría movilizar todo este mundo hugolino del crimen travieso, de la supervivencia con guiño, de la independencia feroz frente a los poderes aquí burlados, aquí sometidos a la simple ley de la supervivencia?
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