Translation for "deverser" to spanish
Translation examples
Nous avons également inspecté la côte à la recherche de déversements illégaux ou de sites de décharge sauvage, mais rien non plus de ce côté.
También hemos examinado la línea costera en busca de vertidos o vertederos ilegales, pero no descubrimos nada.
Par le passé, on s’y était débarrassé des locataires que la municipalité avait du mal à loger ailleurs : les drogués et les fous. Plus récemment on avait déversé les émigrants dans ses parties les plus humides et les moins accueillantes.
En el pasado, había sido una especie de vertedero de inquilinos problemáticos para el Ayuntamiento —drogadictos y trastornados—, y en época más reciente la inmigración había invadido sus rincones más sórdidos e inhóspitos.
Ces mots sont archaïques, ce sont des mots historiques, uniquement rattachés à des images de l’Histoire : des réceptacles étaient remplis « d’ordures sales » pour être déversés dans des véhicules qui les transportaient dans des « décharges » pour s’en « débarrasser ».
Estas palabras son arcaicas, históricas, se refieren sólo a imágenes históricas: los receptáculos estaban llenos de «basura», «suciedad» que se echaba en unos vehículos que la llevaban a los «vertederos» para «tirarla en otro lugar».
En disant cela, il éprouva l’envie de s’en débarrasser en l’expédiant parmi les bancs ou en le confiant à la glissière dans laquelle l’une ou l’autre femme finirait par déverser les cendres sacrées de l’autel.
Hablaba, y lo que quería era quitárselo de encima: lanzarlo entre los bancos o dejarlo caer en el vertedero adonde la Máitera Mármol y la Máitera Menta echarían pronto las aún sagradas cenizas del altar.
On aurait dit qu’il venait de dénouer les cordons d’un sac et regardait le grain s’en déverser.
Fue como tirar de una cuerda y ver cómo el grano salía de una bolsa.
Major Trader s’était porté volontaire pour déverser le contenu du seau dans la rivière, car il nourrissait des projets personnels et secrets.
Major Trader se había ofrecido a tirar el cubo de la fregona él mismo porque tenía una agenda propia, secreta y egoísta.
— Elles se dirigent vers les intersections… on ne sait pas lesquelles… et elles ont l’intention d’y déverser leur cargaison de bouteilles, de bloquer les routes et de… bref, elles y sont jusqu’au cou.
—Van a ponerse en algún cruce..., todavía no se sabe cuál... Quieren tirar todas esas botellas en algún cruce, bloquear las carreteras; en resumen...
En pleine nuit, et elles ne sont plus toutes jeunes, conduire tous ces camions… franchement, je leur tire mon chapeau… déverser ces bouteilles et les pulvériser aux intersections… vraiment comme à Naples… mais je n’aimerais pas être à leur place… elles se sont mises dans un sacré pétrin… enfin… j’arrive donc à sept heures et demie, il fait nuit noire, c’est l’hiver, quoi.
Así, a medianoche, ellas que ya no son ningunas niñas, llevarse todos esos camiones... Las felicito, ¿qué otra cosa puedo decir? Me quito el sombrero ante ellas. Y tirar todas esas botellas de cristal y hacerlas añicos en los cruces más importantes, de verdad que me descubro ante ellas, es igual que en Nápoles... Aunque ahora no van a tener más que problemas...
Personne ne sait où exactement, mais cela ne fait rien, puisque ce système existe pour nous permettre de nous débarrasser de toutes les substances dangereuses que nous rejetons. Ils envoient ces trains et leurs wagons pleins de déchets de l’autre côté, et hop ! Ni vu, ni connu ! Sauf que les récoltes de céréales ne constituent pas des déchets dangereux pour la santé. Et pourtant, on déverse tous les ans des dizaines de milliers de tonnes de grain parfaitement sain dans le vide.
Nadie sabe dónde. No importa, solo existen para que podamos tirar sin riesgos cualquier cosa que sea dañina, lejos de los planetas congruentes con la vida humana. Así que mandan los trenes con sus vagones especiales y abren las escotillas para expulsar el contenido. Salvo que no hay nada que represente un peligro físico en ese grano. No son más que decenas de toneladas de grano en perfecto estado que se lanza al vacío.
Sur Terre (lorsque Terre il y avait encore, avant qu’on ne la démolisse pour laisser place à une nouvelle déviation hyperspatiale) le problème s’était posé avec les voitures : les inconvénients engendrés par l’extraction de quantités de pâte collante et noire du sous-sol où elle reposait tranquillement sans gêner personne, aux seules fins de la convertir en goudron pour recouvrir le terrain, le convertir en fumée pour emplir l’air et finalement déverser le reste dans l’océan, semblaient de loin dépasser l’avantage de pouvoir se rendre plus rapidement d’un point à un autre, surtout lorsque (conséquence prévisible de cet état de choses) votre point d’arrivée était devenu fort semblable à celui de départ, c’est-à-dire : recouvert de goudron, rempli de fumée, et cruellement dépourvu de poisson.
En el planeta Tierra, antes de que lo demolieran para dar paso a una vía de circunvalación hiperespacial, el problema habían sido los coches. Las desventajas que constituía el sacar del suelo montones de fango negro y pegajoso en zonas donde había estado oculto sin molestar a nadie, convirtiéndolo luego en alquitrán para cubrir con él el terreno, llenar el aire de humo y tirar lo sobrante al mar, parecía superar las ventajas de poder llegar más de prisa de un sitio a otro, en especial cuando el lugar al que se llegaba probablemente se había convertido, como resultado de todo ello, en un sitio muy semejante a aquel del que se había salido es decir, cubierto con alquitrán, lleno de humo y sin peces.
Le walkman autour de mon cou m’étrangle soudain, comme un boulet attaché à ma gorge et la musique qui en sort — Dizzy Gillespie dans les années quarante — me vrille les nerfs) et je le jette (c’est un walkman bon marché) dans la première poubelle qui se met dans mes jambes, et reste là, accroché au bord de la poubelle, respirant lourdement, la mauvaise veste Matsuda nouée autour de ma taille, contemplant le walkman qui marche toujours, tandis que le soleil fait fondre la mousse sur mes cheveux, qu’elle se mélange à la sueur qui ruisselle sur mon visage, et je sens le goût de la mousse en passant ma langue sur mes lèvres, elle est bonne, la mousse, et me voilà soudain la proie d’un appétit dévorant, et je passe ma main dans mes cheveux et me mets à lécher ma paume avec avidité tout en remontant Broadway, sans voir les vieilles qui distribuent des tracts, ni les magasins de jeans, d’où la musique braille et s’échappe et se déverse dans les rues, tandis que les gens accordent les gestes au rythme de la chanson, un quarante-cinq tours de Madonna, Madonna qui crie « Life is a mystery, everyone must stand alone... », que les coursiers à bicyclette filent comme des flèches et, immobile à un coin de rue, je leur jette des regards furieux, mais les gens passent sans rien voir, ils ne font pas attention, ils ne font même pas semblant de ne pas faire attention, ce qui me calme un tant soit peu, assez pour me diriger vers le Conran le plus proche afin d’acheter une théière, et à l’instant même où je crois être revenu à mon état normal, avoir retrouvé mes moyens, mon ventre se tord, et me voilà pris de crampes si violentes que je titube jusqu’à la première entrée d’immeuble où je me dissimule, plié en deux, les bras serrés autour de la taille, mais la douleur disparaît soudain, aussi vite qu’elle était apparue et, me redressant, je me précipite dans la première quincaillerie venue, où j’achète un assortiment de couteaux de boucher, une hache, une bouteille d’acide chlorhydrique, avant d’entrer dans une animalerie, un peu plus bas, où je fais l’acquisition d’un Habitrail et de deux rats blancs, que je projette de torturer avec les couteaux et l’acide mais, à un moment, plus tard dans l’après-midi, j’ai oublié le sac avec les rats dedans à la Pottery Barn, tandis que j’achetais des bougies, à moins que je n’aie finalement acheté une théière.
Quiero decir que quiero decir que diré simplemente que no, pero… Cuelgo y me alejo de la cabina y el walkman que llevo en el cuello de repente me parece una roca que llevo atada alrededor del cuello (y el sonido que sale de él un Dizzy Gillespie de la primera época intensamente molesto) y tengo que tirar el walkman, un modelo barato, en la primera papelera que encuentro, y luego me apoyo en el borde, respirando pesadamente, con la barata chaqueta Matsuda en el brazo, mirando el walkman que sigue funcionando, mientras el sol me funde la espuma del pelo y hace que se mezcle con el sudor que me corre por la cara y puedo notar su sabor cuando me paso la lengua por los labios y empieza a saberme bien y de repente me siento hambriento y me paso la mano por el pelo y chupo la palma con ansia mientras avanzo por Broadway, ignorando a las calle, mientras los movimientos de la gente van al ritmo de la música, una canción de un single de Madonna, que grita: «la vida es un misterio, todos deben estar solos…», y pasan zumbando mensajeros en moto y yo me detengo en una esquina mirándolos a todos con el ceño fruncido, pero la gente pasa, ajena a todo, nadie presta atención, ni siquiera hacen como si no prestaran atención, y este hecho me tranquiliza lo suficiente como para dirigirme a un Conran's cercano a comprar una tetera, pero justo cuando supongo que ya he recuperado la normalidad y estoy perfectamente, se me revuelve el estómago y los retortijones son tan intensos que me meto en el portal que tengo más cerca y me llevo las manos a las caderas, doblándome de dolor, y tan deprisa como se ha producido, desaparece lo suficiente para que pueda volver a estirarme y correr a una ferretería cercana, y una vez dentro compro un juego de cuchillos de carnicero, un hacha, una botella de ácido clorhídrico, y luego, en una tienda de animales de la misma manzana, una trampa doble y dos ratitas blancas que pienso torturar con los cuchillos y el ácido, pero avanzada la tarde, olvido el paquete con las ratas dentro en el Pottery Barn mientras compro velas, ¿o ha sido donde he comprado la tetera?
Le plus grave à Versailles n’est pas sa base instable qui fait bouger la colline, ni le fait que de nombreux taudis s’effondrent pendant la saison des pluies avec des gens dedans, ni que, par moments, le ventre de la montagne s’ouvre pour déverser les vieilles poubelles comme autant de viscères en décomposition attirant à nouveau des nuées de gallinacés et des marées de mouches.
Lo más grave de Versalles no era que el piso de la colina, muy inestable, se moviera, y que en la temporada de lluvias muchos tugurios se deslizaran cuesta abajo con la gente adentro, al tiempo que se abría el vientre de la montaña y se desenterraba la basura vieja, como vísceras en descomposición que traían una vez más de vuelta las nubes de gallinazos y las mareas de moscas.
L’usine serait fermée par un contremaître. Pendant que deux hommes de son unité embarquaient l’éboueur cupide vers le commissariat, Fernand sortit, dit bonsoir à ses collègues, monta sur son vélo, fit un large détour et revint vers l’usine, longea le mur d’enceinte jusqu’à la porte d’un local technique qu’il ouvrit et où il trouva la petite remorque qu’il y avait déposée la veille et dans laquelle avait été déversé précipitamment le contenu du sac manquant, un gros tas de billets de cent francs.
Un capataz cerraría la planta. Fernand ordenó a dos hombres de su unidad que se llevaran al basurero codicioso a la comisaría. Luego salió, se despidió de sus compañeros, se subió a la bicicleta, dio un gran rodeo, regresó a la planta y avanzó a lo largo del muro exterior hasta la puerta de una dependencia de servicio. Abrió sin llamar, y en el interior encontró el pequeño remolque que había dejado allí el día anterior, al que habían arrojado a toda prisa el contenido del saco extraviado, un montón enorme de billetes de cien francos.
Durant un instant je n’avais pas été en somme un mari qui écoute d’une âme troublée les réminiscences amoureuses de sa femme, mais bien la motte de terre sèche menacée de tomber en poussière et sur laquelle se déverse enfin une pluie bienfaisante.
Por un momento, en suma, no había sido el marido que con ánimo turbado escucha los recuerdos amorosos de su mujer, sino más bien el pedazo de tierra seca sobre la que, amenazada de deshacerse en polvo, cae al fin una lluvia benéfica.
Sur une terre riche en sorciers, comme Gont ou les Enlades, on peut voir un nuage chargé de pluie errer d’un bord à l’autre, de lieu en lieu, quand les sorts se relaient pour le chasser jusqu’à ce qu’il débouche sur la mer, où il peut se déverser en paix.
En una comarca pródiga en hechiceros, como Gont o las Enlandes, no es raro ver como una nube de agua se desplaza lentamente de un sitio a otro, desviada por hechicería, hasta que es empujada hacia el océano donde al fin puede deshacerse en lluvias.
D’après Freddie McGhie, Bernard Fairclough dépensait sans compter depuis des années. Les frais de cliniques où Nicholas avait suivi ses cures de désintoxication, les fortunes déversées dans les jardins d’Ireleth Hall, l’achat du manoir d’Arnside alors que les prix de l’immobilier étaient à leur plus haut, la rénovation de ce bâtiment afin que puissent y loger Nicholas et sa femme, la « folie » construite pour Mignon, les opérations que celle-ci avait subies pour perdre le poids accumulé depuis son enfance, la chirurgie esthétique qui s’était imposée ensuite à cause de sa peau détendue…
Desde el punto de vista de Freddie McGhie, Bernard Fairclough llevaba años despilfarrando el dinero: los pagos a las diversas clínicas para los tratamientos de desintoxicación de Nicholas, la fortuna invertida en los jardines de Ireleth Hall, la compra de Arnside House a un valor elevado de mercado, la renovación de dicho edificio para hacerlo habitable para Nicholas Fairclough y su esposa, la torre construida para Mignon, las diversas operaciones quirúrgicas de esta para permitirle deshacerse del sobrepeso que había ido acumulando desde la infancia, las subsiguientes operaciones destinadas a corregir el exceso de piel que le había quedado…
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