Translation for "coulent" to spanish
Translation examples
je mets de nombreux qualificatifs comme « plutôt », je m’exprime en petits clichés féminins, elle se jeta sur le lit, je n’ai pas de sructure (pensa-t-elle), mes idées coulent de façon irrégulière, comme du sang menstruel ; tout cela est très féminin, profond, plein d’odeurs ;
pongo muchos calificativos y adverbios como «bastante», escribo con esas frases hechas femeninas, se arrojó sobre el lecho, no tengo carácter (pensó), mis pensamientos fluyen sin forma como el flujo menstrual, todo muy femenino y profundo y lleno de esencias, muy primitivo y lleno de «y», se llaman «frases continuas».
Sa soif trop rapidement étanchée, il s’endort. La honte se gonfle de nouveau et ses rigoles fangeuses coulent dans les yeux de Pecola.
Satisfechas demasiado pronto sus necesidades, duerme. La vergüenza vuelve a fluir, sus fangosos riachuelos se infiltran hasta desembocar en sus ojos.
C’est comme si votre encore était pleine de mots, comme des animalcules en suspension, que je pêche dans l’encrier, qui coulent de ma plume et prennent forme sur le papier.
Es como si en su tintero flotara en suspensión el minúsculo ser de las palabras, prontas a empapar la pluma, a fluir y a ir tomando forma en el papel.
Deux courants, dangereux pour nous, y coulent en sens inverse.
Dos corrientes peligrosas para nosotros corren en sentido inverso.
Que les poissons essaiment, que les courants coulent et que le soleil brille sur ces côtes rocheuses.
Que los peces nadaran y las corrientes fluyeran y el sol brillara sobre las costas de piedra.
Les autres sont des chevaux ordinaires, qui leur coulent des regards soupçonneux. Rutherford B.
Las demás cuadras están ocupadas por caballos vulgares y corrientes, que miran a los otrora presidentes de soslayo, recelosos. Rutherford B.
« Au-delà du Mont (Savage) de partage des eaux, tous les cours d’eau coulent en direction de l’Ouest, note Mason dans son Carnet.
Mason escribe en el cuaderno de campo: «Más allá de la montaña divisoria (la Montaña Salvaje), todas las corrientes de agua se dirigen al oeste.
Ces souvenirs forment les rivières de ma mémoire, qui coulent désormais vers de lointains rivages, car aujourd’hui je reprends la route… pour retrouver mon cœur.
Todo eso forma parte de la corriente de mi memoria, que fluye ahora hacia orillas más lejanas, ya que ha llegado el momento de retomar el rumbo y de recuperar mi corazón.
Vous avez vos trois ou quatre ou dix milliards de courants qui coulent concurremment, et les marées qui remontent dans l’estuaire, et les lits des fleuves eux-mêmes qui se déplacent sous la force des divers courants.
Hay tres, cuatro o diez mil millones de corrientes que circulan simultáneamente, y mareas que empujan río arriba, y los propios lechos de los meandros cambian constantemente por culpa de todas ellas.
Nous avions des chaluts en profondeur et des instruments du type sonar et des flotteurs spéciaux qui coulent à des densités d'eau préétablies, si bien qu'il nous était possible de repérer la salinité et la température propres à notre courant, d'un bout à l'autre.
Teníamos sondas y aparatos de sonar y flotadores especiales que se hunden a densidades predeterminadas, y así pudimos verificar la salinidad y la temperatura y la velocidad de nuestra corriente en todo su curso.
Pour une raison ou pour une autre, je me tords de rire, et puis on rigole carrément pendant un moment, et après on picole toutes les bières qui restent, l’une après l’autre, et on les jette dans la rivière pour voir jusqu’où le courant les emporte, à quelle vitesse, avant qu’elles se remplissent d’eau et qu’elles coulent.
Por alguna razón, me desternillo de risa, de modo que durante un buen rato nos reímos a carcajadas, y después terminamos con todas las cervezas, una tras otra, arrojando cada lata al río para ver hasta dónde las lleva la corriente antes de llenarse de agua y hundirse.
ENSEMBLE VOUS ÊTES SOURDS. VOUS ÊTES LE VINGT-QUATRIÈME AVEC LEQUEL NOUS AVONS CHANTÉ SUR LES VAGUES MAIS CEUX DE VOTRE ESPÈCE NE PEUVENT ENTENDRE À MOINS DE N’ÊTRE QU’UN ET VOUS NE POUVEZ PAS VOUS CHANTER LES UNS LES AUTRES. BEAUCOUP D’AUTRES QUI ONT CHANTÉ AVEC NOUS SONT MAINTENANT MÂCHÉS, MAIS NOUS POUVONS TENIR LES JEUNES À L’ÉCART PENDANT ENCORE QUELQUE TEMPS, NOUS NOUS AFFAIBLISSONS, LES JEUNES SONT COUVERTS DE PLAIES ET LAISSENT DERRIÈRE EUX DES PUANTEURS DANS LES COURANTS NAUSÉABONDS OÙ ILS SE TIENNENT, NOUS LES SENTONS C’EST LE MONDE QUI ÉTAIT FAUX QUI EN A FAIT CE QU’ILS SONT ILS NE SONT PLUS COMME ILS ÉTAIENT QUAND NOUS LES CONNAISSIONS DANS LE MONDE QUI ÉTAIT NOTRE MONDE, ILS NE PEUVENT PAS CHANTER MAIS ILS CONNAISSENT LES ENDROITS OÙ VOUS CHANTEZ LES UNS POUR LES AUTRES ET IL Y EN A QUI COMMENCENT MAINTENANT À Y ALLER AVEC LEURS PLAIES ILS SERONT PEUT-ÊTRE MÂCHÉS PAR VOUS MAIS IL Y EN A BEAUCOUP BEAUCOUP ET ILS ONT FAIM DES PEAUX QUI COULENT MAIS ILS SONT UNE VRAIE FOLIE ILS VIENNENT ET ILS VOUS MÂCHENT LES AUTRES DERNIERS.
ERES EL VIGÉSIMO CUARTO CON EL QUE HEMOS CANTADO EN LAS OLAS. TU ESPECIE NO PUEDE CANTAR A MENOS QUE SEAS UNO Y NO PODÉIS CANTAR UNOS CON OTROS. MUCHOS DE LOS OTROS QUE CANTAN CON NOSOTROS ESTÁN YA MASTICADOS PERO MANTENEMOS ALEJADOS A LOS JÓVENES DURANTE UN TIEMPO. NOS DEBILITAMOS, LOS JÓVENES CORREN CON HERIDAS Y DEJAN HEDOR EN LAS CORRIENTES SUCIAS, POR DONDE ELLOS VAN LOS OLEMOS. EL MUNDO QUE ERA UN MUNDO FALSO LOS HIZO DE ESTE MODO, NO COMO ERAN CUANDO LOS CONOCIMOS EN EL MUNDO QUE ERA NUESTRO. NO PUEDEN CANTAR PERO CONOCEN LOS LUGARES DONDE VOSOTROS CANTÁIS UNOS CON OTROS Y ALGUNOS VAN ALLÍ AHORA CON SUS HERIDAS. PUEDEN SER MASTICADOS POR VOSOTROS PERO HAY MUCHOS, MUCHOS DE ELLOS. AHORA ESTÁN DOLORIDOS POR LAS PIELES—QUE—SE—HUNDEN, PERO ESTÁN LOCURA ESTÁN VINIENDO Y OS MASTICAN.
Il semble que chaque fois que la pleine Lune monte pour baigner de sa tache flavescente les escarpements et crevasses de ce pays, Zepho Beck sort de son lit, réveillant son épouse, Rhodie, laquelle attend alors autant de Battements de cœur qu’elle en peut supporter avant de rejoindre à pas feutrés Zepho qui se dirige vers le cours d’eau et, choisissant un jeune bouleau d’un certain Diamètre, s’accroupit devant, montre les dents, repousse ses cheveux en arrière avec le peigne de ses doigts trempés dans l’eau, s’approche assez de l’Arbre pour en renifler l’écorce et humer les Fluides vitaux qui coulent en dessous, avant de se jeter sur l’arbrisseau, et, d’un rapide mais hideux Coup de dents, – ses yeux jetant alentour de fols Éclairs jaunes, – de l’abattre… Cependant que sa femme l’observe secrètement non sans une certaine Agitation, Zepho ôte ses vêtements et révèle une fourrure dense qui lui couvre tout le corps, – il entre dans l’eau, entraînant avec lui l’Arbre abattu, et remonte le courant, – battant des pieds, désormais palmés pour le propulser et le diriger, – contournant habilement plusieurs coudes, jusqu’à ce qu’il arrive devant un grand Barrage édifié par de légitimes castors, lesquels, naturellement, vont tous se mettre à l’abri quand ils avisent Zepho, car ils le connaissent, la chose se produisant à chaque pleine Lune.
Parece ser que cada vez que la luna llena asciende para bañar con su luz amarillenta las cuestas y las brechas de la región, Zepho Beck se levanta de la cama y despierta a su mujer, Rhodie, quien entonces aguarda durante tantos latidos de corazón como puede antes de salir sigilosamente en pos de Zepho, que se dirige a la orilla del arroyo y, tras seleccionar un abedul de cierto diámetro, se agacha ante él, muestra los dientes, se aparta el cabello de la cara y, humedecido con el agua del arroyo, se lo peina hacia atrás con los dedos. Después se aproxima al árbol lo suficiente para husmear la corteza y oler los fluidos vitales que corren por debajo, luego se abalanza sobre el tronco y, mientras lo roe de un modo rápido y atroz, al tiempo que sus ojos emiten demenciales destellos amarillos, lo derriba… Su mujer, a hurtadillas y con cierta agitación, ve cómo Zepho se desnuda y muestra el denso pelaje que le cubre el cuerpo; Zepho entra en el agua, arrastrando consigo el árbol cortado, y avanza corriente arriba, sacudiendo los pies, a los que ahora les han salido unas membranas con las que se impulsa y orienta; luego rodea con elegancia varios recodos, hasta que llega a una gran presa que están construyendo auténticos castores, los cuales, naturalmente, huyen para ponerse a salvo en cuanto ven a Zepho, pues le conocen, ya que esta escena se repite cada vez que hay luna llena.
— Je l’ai brûlée. Elle baisse les yeux et des larmes coulent sur son visage sale et fatigué.
—La quemé —explica, y aparta de nuevo la mirada. Las lágrimas han empezado a correr por su cara cansada y sucia.
Pour atteindre ce but, avait écrit Jefferson, « il faudra encore que coulent des fleuves de sang et que passent des années de désolation ;
Jefferson había escrito que, para lograr esa meta: todavía deben correr ríos de sangre y transcurrir años de desolación;
Cet homme contre qui elle se couche toutes les nuits, qui se couche sur elle… Cette fois, les larmes de Valérie ne trouvent plus de barrage et coulent silencieusement dans la chevelure de Sophie.
Ese hombre junto al que se tumba todas las noches, que se le tumba encima… Esta vez las lágrimas de Valérie no encuentran ya barrera y las deja correr en silencio por el pelo de Sophie.
Pleine d’espoir et d’incrédulité, Dorrit laisse courir sa plume sur la page… et ça vient, oui, cela vient parce que la colère est là – celle des femmes, soulevées contre les violences qu’elles ont endurées aux mains des hommes depuis la nuit des temps… un ruisseau de colère qui s’insinue, glisse, se précipite, rejoint d’autres ruisseaux qui coulent, cascadent et convergent pour former des rivières, mille rivières qui s’élargissent en fleuves et dévalent les collines pour se jeter dans l’océan d’où elles remontent en houles, en vagues battantes… “Pas de compromission ni de sécurisation possibles.
«Herida, no rota…» Llena de confianza y de incredulidad, Dorrit deja correr la pluma por la página… y la cosa viene, sí, viene porque la cólera está ahí —⁠la de las mujeres, sublevadas contra la violencia que han soportado a manos de los hombres desde la noche de los tiempos… un torrente de cólera que se insinúa, se desliza, se precipita, se une a otros torrentes que corren, forman cascadas y convergen para formar ríos, mil ríos que se convierten en grandes cauces y bajan rápidamente las colinas para llegar al océano donde forman mareas, olas rompientes… «Ningún compromiso ni seguridad son posibles.
Son premier rugissement le surprend, elle se cabre entre ses mains comme blessée par une balle d’argent qui lui aurait déchiré le cœur, mais il l’étreint plus fortement pour sentir sur son pubis la forêt noire de son triangle insondable et descend ses mains jusqu’aux fesses pour parcourir le sillon parfait qui les sépare, où il laisse son doigt gourmand glisser sans hâte mais sans pause de l’anus à la vulve, de la vulve à l’anus qu’il enduit d’humeurs tièdes, et il sent la grosseur stimulante de la racine de son pénis, raide et dur dans son mouvement perforateur, et la douceur moelleuse de ses lèvres opulentes et habiles qui l’aspirent comme un marécage implacable, il laisse alors courir son doigt entre les plis de l’anus et entend s’amplifier le rugissement que déclenche la double pénétration, triple avec la langue féroce qui essaie de la faire taire alors que le silence est désormais impossible parce que les vannes les plus profondes sont ouvertes et que les fleuves les plus cachés de leurs désirs coulent vers la gloire terrestre retrouvée.
El primer rugido de ella lo sorprende, se le arquea entre las manos como herida por una bala de plata que le partiera el corazón, pero la abraza con más fuerzas, para sentir sobre el pubis la selva negra de su triángulo insondable, y baja las manos hasta las nalgas para recorrer el surco perfecto que la divide en dos y deja que su dedo goloso corra sin prisa pero sin pausas desde el ano hasta la vulva, desde la vulva hasta el ano, transportando humedades calientes, sintiendo el grosor estimulante de la raíz de su pene, rígido y ríspido en su movimiento perforador y la suavidad acolchonada de sus labios opulentos y diestros, que lo succionan como un pantano implacable, y entonces deja correr su dedo entre los pliegues del ano y siente el rugido mayor que le provoca la doble penetración que se hace triple con la lengua feroz que trata de acallarla, cuando ya todos los silencios son imposibles porque, abiertas las compuertas profundas, los ríos más escondidos de sus deseos fluyen hacia la gloria terrenal rescatada.
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