Translation for "affliger avec" to spanish
Affliger avec
Translation examples
Dante les regarda l’air affligé, comme un enfant au bord des larmes.
Dante los miró con aire compungido, como chico a punto de llorar.
— Hugh-la-Main ! s’écria Alfred, ne sachant trop s’il devait se réjouir ou s’affliger.
—¡Hugh la Mano! —Alfred no sabía si alegrarse o echarse a llorar—.
Peu de gens pleuraient Laman au Cairhien, certes, mais ça ne lui ôtait en rien le droit d’être affligée, pas vrai ?
Y eso que no había mucha gente que llorara a Laman en el propio Cairhien.
Melna se contente de pleurer. — C’est vous qui n’avez pas l’air de comprendre, réplique Gorni d’une voix forte et affligée.
Su madre se limita a llorar. —Sois vosotros los que parecéis no entender. —Ésa es la voz de su padre, enérgica y afligida a la vez—.
— Dans le noir. Et tu les vois. Elle cille lentement et déglutit, comme sur le point de pleurer, mais ce n’est qu’un tic, un parmi la multitude qui l’afflige.
—A oscuras. Y tú los ves. Ella parpadea despacio y traga saliva, como si estuviera a punto de llorar, pero solo es un tic, uno entre los muchos que padece.
Le visage de l’infirme s’illumina, puis prit aussitôt une expression affligée, et des larmes roulèrent ses joues. « Ah, père Lukas !
El rostro de Sergei se iluminó para, acto seguido y con una mueca de tristeza, echarse a llorar. –¡Ah, Padre Lukas!
Non, cette pauvre affligée ne pouvait pleurer à son aise que dans un désert, y dévorer sa souffrance ou être dévorée par elle, mourir ou tuer quelque chose en elle, sa conscience peut-être.
No, aquella pobre afligida sólo podía llorar a sus anchas en un desierto, devorar allí su sufrimiento o ser devorado por él, morir o matar alguna cosa en ella, tal vez su conciencia.
Elle applaudissait et criait d’autant plus fort qu’elle se rappelait avec honte que pendant le dernier acte elle avait eu envie de secouer Kattë, plutôt que de pleurer sur son sort. Elle aurait voulu lui dire d’avoir une conversation franche avec ses amis et sa famille, au lieu de les regarder en silence d’un air affligé ou de s’éclipser en chantonnant.
Aplaudió con más fuerza si cabe, y chilló todo lo que pudo. En cierto modo lo hizo porque se sentía culpable: durante el último acto, en vez de llorar por Kattë le habría encantado zarandearla por los hombros, y aconsejarla que hablara sincera y honestamente con sus amigos y familiares, en lugar de limitarse a quedárselos mirando con esa cara de cordero degollado para luego irse brincando (tra-la-ra) como si allí no hubiera pasado nada.
Les gens sur le rivage, voyant le danger dans lequel se trouvaient les pauvres créatures sans défense, se mirent à pousser des cris véhéments, il y avait là des épouses et des mères, des sœurs, des enfants en bas âge, quelque belle-mère douée d’un bon caractère, et c’était une clameur dont on ne sait comment elle ne parvint pas jusqu’aux cieux, Hélas, mon cher mari, Hélas, mon cher fils, Hélas, mon cher frère, Hélas, mon gendre, Maudite sois-tu, ô mer, Notre-Dame des Affligés, viens-nous en aide, Notre-Dame du Bon Voyage, secours-les, les enfants, eux, ne savaient que pleurer, mais tout cela fut vain.
La gente que estaba en la orilla, viendo el peligro en que se hallaban las pobres criaturas, ya sin defensas, empezó a dar gritos desolados, había allí esposas y madres, y hermanas, e hijos pequeñitos, alguna suegra compasiva, y era un clamor que no se sabe cómo no llegó al cielo, Ay, mi querido marido, Ay mi querido hijo, Ay, mi querido hermano, Ay, mi yerno, Maldito seas mar, Señora de los Afligidos, ayudadnos, Señora del Buen Viaje, échales una mano, los niños sólo sabían llorar, pero ni así.
Sans le savoir, elle était une formaliste russe, version espagnole, et considérait que la poésie n’avait à intervenir ni dans l’histoire, ni dans la société, ni même dans le temps réel, quoiqu’elle m’avouât avoir été émue par certains poèmes de Hernández, surtout celui qui débute par : « Peinte, et non vide : / peinte est ma maison / de la couleur des grandes / passions, des grands malheurs. » Et lorsque je la renseignai sur l’anecdote réelle que dissimulait un autre poème, La Berceuse de l’oignon, voilà que la comtesse se met à pleurer, larmes furtives de quelqu’un qui ne veut pas être remarqué mais qui sait que le destin de tout sanglot, surtout chez une âme affligée, est d’être remarqué.
Sin saberlo era una formalista rusa a la española y consideraba que la poesía no debía intervenir en la historia, ni en la sociedad, ni siquiera en el tiempo real, pero me reconoció haberse emocionado ante algunos poemas de Hernández, sobre todo en aquel que empieza diciendo: «Pintada, no vacía, pintada está mi casa, / del color de las grandes tragedias y desgracias». Y cuando le informé de la anécdota real escondida en otro poema, Las nanas a la cebolla, la condesa es que se me echó a llorar, como quien llora furtivamente, sin ganas de que se le note pero sabiendo que el destino de todo llanto, sobre todo en desconsuelo, es ser notado. —Enséñame cosas.
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