Translation for "viviere" to french
Similar context phrases
Translation examples
Y si fueras camino de una ciudad... Bueno, en un mundo no tecnológico no habría ciudades, supongo..., pero si fueses camino de un lugar en el que viviera otra gente, de manera natural, tal vez con unas cuantas fogatas..., no los verías hasta que ya estuvieras allí.
Et dans le cas où tu te dirigerais vers une ville – bon, sauf que dans un monde sans technologie, il n’y aurait probablement pas de villes –, dans le cas plutôt où tu te rendrais dans un endroit où d’autres gens habitent, vivent de façon naturelle, peut-être rassemblés autour de quelques feux de camp… eh bien, tu ne les verrais pas avant d’être arrivée pour de bon.
En los días en los que es él mismo, Shaka Zulú se acerca a esas fotos, señala a sus hijos e hijas uno a uno, y a sobrinos y sobrinas, y a nietos y nietas, y te cuenta en qué trabajan, las cosas que les gustan, dónde viven, con quién están casados, y a mí siempre me sorprende que se acuerde de todos los detalles, como si viviera con ellos.
Les jours où il a toute sa tête, Chaka Zoulou passe en revue les photos, il montre ses fils et ses filles et ses nièces et ses neveux et ses petits-enfants. Il vous dira le travail qu’ils font, les choses qu’ils aiment, où ils habitent, avec qui ils sont mariés, et je suis toujours étonnée de voir comment il se rappelle chaque détail, comme si tous ces gens il vivait avec eux.
Era importante que lo viviera directamente y no que alguien se lo contara.
C’était important qu’il le vive directement et non pas que quelqu’un le lui raconte.
No directamente, no por su nombre propio, pero ninguno de los asistentes dejó de reconocer de quién se trataba, porque sólo había una mujer europea que viviera sola en una hacienda cafetera con un hijo bastardo. ¿Bastardo?, dijo Aurelia. Así dijo el cura, repuso Asdrúbal.
Pas directement, il n’avait pas cité son nom, mais tous les fidèles avaient compris de qui il parlait car il n’y avait qu’une Européenne vivant seule dans une plantation de café avec son bâtard. Bâtard ? répéta Aurelia.
Me pregunté qué hacía aquel hombre extraño y de habla educada en Cairnholm, con sus pantalones de pinzas y poemas disparatados, cuyo aspecto era más propio de un director de banco que de alguien que viviera en una isla barrida por el viento con un único teléfono y sin carreteras asfaltadas.
Je me suis demandé ce que cet homme étrange et lettré faisait à Cairnholm. Avec son pantalon à pli et ses poèmes maladroits, il aurait été plus à sa place dans un fauteuil de directeur de banque, plutôt que sur cette île battue par les vents, sans téléphone ni route goudronnée.
Aunque la descripción de Bonsuan le ayudó a situar la calle y hasta recordó su embocadura, ante la que debía de haber pasado cientos de veces, Brunetti no recordaba haber entrado en ella. Ni él ni nadie que no viviera allí, porque, como había dicho Bonsuan, era una calle sin salida que iba a parar al agua.
Si la description du pilote lui permit de reconnaître l’endroit où se trouvait l’impasse, et même de se représenter son entrée, devant lesquelles il avait dû passer des centaines de fois, Brunetti ne se souvenait pas l’avoir jamais empruntée. Qui le faisait, d’ailleurs, sinon ses habitants ? Car comme l’avait fait remarquer Bonsuan, elle donnait directement sur l’eau.
Si Frances le hubiera pedido dinero a su padre, éste se lo habría enviado, pero encontró trabajo como ayudante de un profesor de zoología que trabajaba en un proyecto de investigación y como escribiente en una pequeña escuela privada para ciegos, a cuya directora no le importaba que Frances viviera en los barrios bajos; al contrario, estaba encantada de haber encontrado ayuda barata.
Si Frances avait demandé de l’argent à son père, il lui en aurait fait parvenir, mais elle ne lui demanda rien. Elle avait cherché du travail et trouvé deux emplois. Elle s’acquittait de travaux d’écriture pour un professeur de zoologie qui réalisait un ouvrage scientifique et elle se chargeait de la correspondance d’une petite école pour aveugles dont la directrice se réjouissait d’employer quelqu’un à si peu de frais.
Desearía que vivieras”.
Je te souhaite de vivre
¿No me dijiste que viviera? ¡Pues quiero vivir!
Ne m’as-tu pas dit de vivre ? je veux vivre.
Era como si viviera un sueño.
Il avait l’impression de vivre un rêve.
Sí, dejé que mi hijo viviera.
 Oui, je le laissai vivre.
Murieron para que tú vivieras. ¿No? Sí.
Ils sont morts pour que tu puisses vivre. Oui ? Oui.
—Para que vivieras, pequeño hermano.
— Pour que tu puisses vivre, petit frère.
Siempre que viviera lo suficiente.
À condition de vivre assez vieux.
Me encantaría que vivieras conmigo.
— J’aimerais bien que tu restes vivre avec moi.
Cassie no murió para que yo viviera.
Cassie n’est pas morte pour que je puisse vivre.
Que no viviera como ellos, que no me resignara a mi destino.
De ne pas vivre comme eux, de ne pas me résigner à mon destin.
No mientras él viviera.
Oh ! pas de son vivant !
Al menos, no mientras viviera.
Pas de son vivant au moins.
No sabía que su madre viviera.
Je ne pensais pas que sa mère était vivante.
No mientras Mary viviera.
Jamais, du vivant de Mary.
–Si aún viviera, quizá.
— Peut-être, s’il était vivant. »
Yo no podía imaginar que ella viviera.
Jamais je n’aurais imaginé qu’elle pouvait être vivante.
—Ojalá viviera —dijo Mary—.
«J'voudrais qu'elle soit vivante, dit Mary.
Si Denny viviera, ella estaría con él, no con Nick.
Si Denny était encore vivant, elle serait avec lui, pas avec moi.
Si mi marido viviera no s’atrevería.
Si mon mari était vivant, il n’oserait pas.
Si Angelo viviera te acompañaría.
Si Angelo était encore vivant, il t’accompagnerait.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test