Translation for "tapea" to french
Translation examples
Va bastante bien, siempre que me tape con la manta, ya que sufro de catarro.
Cela marche assez bien pourvu que je garde ma couverture sur moi, bien que je souffre du catarrhe.
Trae tus mantas, Aziz, y yo cogeré tu tienda y la pondré encima para que nos tape.
Viens avec les tiennes, Aziz. Et puis je vais défaire ta tente, elle nous servira de couverture supplémentaire.
No hay forma de saber si está dormido o finge estarlo, pero no se mueve cuando Anthony le coloca bien la manta, para que le tape los pies, y sale de la habitación sintiéndose muy desdichado.
Dort-il ou fait-il semblant, pas moyen de savoir, mais il ne bronche pas quand Anthony ajuste la couverture sur ses pieds et quitte misérablement la pièce.
Por mucho que cierre su puerta y se meta en la cama o se tape la cabeza, creyéndose que está seguro y cómodo, el joven en cuestión se introduce suavemente en la casa, se acerca a él y lo destroza en un abrir y cerrar de ojos.
Tu auras beau fermer la porte au verrou, te croire en sûreté dans ton lit bien chaud, te cacher la tête sous les couvertures, et espérer que tu es à l’abri de tout danger, ce jeune homme saura s’approcher de toi et t’ouvrir le ventre.
Mañana me lo mostrás, te estás resfriando de veras, desvestite rápido, mejor apago así vemos el fuego, oh sí Marcelo, qué brasas, todos los gatos juntos, mira las chispas, se está bien en la oscuridad, da pena dormir, y él dejando el saco en el respaldo de un sillón, acercándose a la osezna acurrucada contra la chimenea, sacándose los zapatos junto a ella, agachándose para sentarse frente al fuego, viéndole correr la lumbre y las sombras por el pelo suelto, ayudándola a soltarse la blusa, buscándole el cierre del sostén, su boca ya contra el hombro desnudo, las manos yendo de caza entre las chispas, mocosa chiquita, osita boba, en algún momento ya desnudos de pie frente al fuego y besándose, fría la cama y blanca y de golpe ya nada, un fuego total corriendo por la piel, la boca de Lina en su pelo, en su pecho, las manos por la espalda, los cuerpos dejándose llevar y conocer y un quejido apenas, una respiración anhelosa y tener que decirle porque eso sí tenía que decírselo, antes del fuego y del sueño tenía que decírselo, Lina, no es por agradecimiento que lo haces, ¿verdad?, y las manos perdidas en su espalda subiendo como látigos a su cara, a su garganta, apretándolo furiosas, inofensivas, dulcísimas y furiosas, chiquitas y rabiosamente hincadas, casi un sollozo, un quejido de protesta y negación, una rabia también en la voz, cómo puedes, cómo puedes Marcelo, y ya así, entonces sí, todo bien así, perdoname mi amor perdoname tenía que decírtelo perdoname dulce perdoname, las bocas, el otro fuego, las caricias de rosados bordes, la burbuja que tiembla entre los labios, fases del conocimiento, silencios en que todo es piel o lento correr de pelo, ráfaga de párpado, negación y demanda, botella de agua mineral que se bebe del gollete, que va pasando por una misma sed de una boca a otra, terminando en los dedos que tantean en la mesa de luz, que encienden, hay ese gesto de cubrir la pantalla con un slip, con cualquier cosa, de dorar el aire para empezar a mirar a Lina de espaldas, a la osezna de lado, a la osita boca abajo, la piel liviana de Lina que le pide un cigarrillo, que se sienta contra las almohadas, eres huesudo y peludísimo, Shepp, espera que te tape un poco si encuentro la frazada, mírala ahí a los pies, me parece que se le chamuscaron los bordes, Shepp.
Tu me le montreras demain, tu vas vraiment t’enrhumer, déshabille-toi vite, j’éteins comme ça on verra mieux le feu, oh oui Marcelo, tu as vu ces braises, tous ces yeux de chat, regarde les étincelles, on est bien dans l’obscurité, c’est dommage de dormir et lui, posant sa veste sur le dos d’un fauteuil et s’approchant de l’oursonne pelotonnée contre la cheminée, enlevant ses souliers près d’elle, se baissant pour s’asseoir près du feu, voyant les lueurs et les ombres glisser sur ses cheveux dénoués, l’aidant à déboutonner son chemisier, cherchant la fermeture du soutien-gorge, sa bouche déjà contre l’épaule nue, ses mains partant en chasse parmi les étincelles, oursonne bécasse, petite fille, et à un moment tout nus debout devant le feu et s’embrassant, blanc et froid le grand lit et soudain plus rien, un feu total courant sur la peau, la bouche de Lina sur ses cheveux, sur sa poitrine, les mains dans son dos, les corps se laissant mener et connaître et à peine un gémissement, une respiration essoufflée et devoir lui dire car ça oui il le fallait, Lina, ce n’est pas par reconnaissance que tu le fais, n’est-ce pas ? et les mains perdues dans son dos montant comme des fouets à son visage, à son cou, serrant furieuses, inoffensives, si douces et furieuses, petites et rageusement accrochées, presque un sanglot, une plainte de protestation, une rage aussi dans la voix, comment peux-tu, comment peux-tu, Marcelo, bon, c’est vrai, oui, d’accord, là c’est fini, pardonne-moi mon amour, pardonne-moi, il me fallait te le dire, pardonne-moi douce pardonne-moi, les bouches, l’autre feu, les caresses aux bords roses, la bulle qui tremble entre les lèvres, phases de la connaissance, silences où tout est peau et lent glissement de cheveux, rafales de paupières, refus et demande, bouteille d’eau minérale où l’on boit au goulot, qui va passant pour une même soif d’une bouche à l’autre et qui finit entre les doigts qui tâtonnent sur la table de nuit, qui allument, il y a ce geste pour couvrir l’abat-jour avec un slip, ce qui tombe sous la main, pour dorer l’air avant de regarder Lina sur le dos, l’oursonne de côté, la petite ourse à plat ventre, la peau légère de Lina qui lui demande une cigarette, qui s’assied contre les oreillers, t’es osseux et tout poilu, Shepp, attends que je te couvre un peu si je trouve la couverture, là par terre, au pied du lit, on dirait que le bord a un peu roussi, on s’en est pas du tout aperçu, Shepp.
Que sólo tape el pecho izquierdo.
Juste pour couvrir le sein gauche.
—Será mejor que tape al Niño Jesús, ¿no?
 Je devrais peut-être couvrir bèbè Jésus, a-t-il dit.
No; dejaremos el tema de lado de momento. Vuelve a la cama y permíteme que te tape. La noche se está enfriando, casi amanece ya.
Non, laissons cela à présent. Remettez-vous au lit et permettez-moi de vous couvrir. La nuit fraîchit ; l'aube approche.
Despeinada, con el sombrero patosamente de través, la boca atónita de desdicha, los ojos brillantes de desdicha, me mira con tal intensidad, para llevarse lo más posible de mí mismo antes de que salga el tren… Me bendice, me recomienda que no fume más de veinte cigarrillos al día, que me tape bien en invierno.
Décoiffée, le chapeau piteusement de côté, la bouche stupéfaite de malheur, les yeux brillants de malheur, elle me regarde tellement, pour prendre le plus possible de moi avant que le train s’ébranle. Elle me bénit, elle me recommande de ne pas fumer plus de vingt cigarettes par jour, de bien me couvrir en hiver.
En este mural hay demasiado azul y será mejor que no lo tape con más pájaros.
Il y a trop de bleu dans cette fresque, et je ferais mieux de ne pas le recouvrir avec d’autres oiseaux.
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