Translation for "sobrecogedoras" to french
Translation examples
Una sensación sobrecogedora de malestar.
Un sens écrasant de maladie.
El individuo se queda abrumado por el sobrecogedor descubrimiento de su mortalidad.
L’individu est choqué quand il fait la découverte écrasante de sa propre mortalité.
Estos rasgos de personalidad tan dispares se mezclaban cual hilos en un telar conformando un diseño que daba la sobrecogedora sensación de vulnerabilidad.
Ces brins de personnalités disparates se tissaient en un motif qui donnait une écrasante impression de vulnérabilité.
en cambio, experimentaba un miedo sobrecogedor a su propia ineptitud, sentimiento subrayado por la firme, casi abrumadora competencia de su padre.
Au lieu de cela, il éprouvait une certaine crainte de se sentir décalé, crainte amplifiée par l’écrasante compétence de son père.
¡Oh, si sólo pudiera contárselo a David, si pudiera, de algún modo compartir aquel inmenso y sobrecogedor secreto! Algo la tocó.
Si seulement elle avait pu parler de tout cela avec David. Si seulement elle avait pu partager cet écrasant secret avec quelqu’un.
Sin embargo, no podía moverse con rapidez ya que no disponía de luz, estaba magullado y dolorido, y aún tiritaba por las escenas sobrecogedoras que había presenciado.
Il ne pouvait cependant pas se déplacer très rapidement, car il n’avait pas de lumière, son corps était meurtri et endolori, et il tremblait en réaction aux vues écrasantes et abrutissantes dont il avait été témoin.
Una suave luz subterránea como una sombra y una sensación sobrecogedora de melancolía cuando entro otra vez en aquel hospital, después de más de veinte años.
Une lueur souterraine veloutée de la texture des ombres et une sensation de mélancolie écrasante quand je pénètre à nouveau dans cet hôpital, pour la première fois depuis toutes ces années.
Si la señora McQuat originó la incontinencia de Jimmy, la sobrecogedora convicción que tenía de que Jesús había desaparecido del vitral situado por encima del altar remató la faena.
Si c’était l’apparition soudaine de Mrs McQuat qui lui avait fait peur, ce fut la conviction écrasante que Jésus avait disparu du vitrail au-dessus de l’autel qui l’acheva.
Un niño asustado, que gritaba en un momento de desesperación y pavor absolutos, y cuya voz se alzaba con una fuerza y energía asombrosas. Expresaba un terror tan sobrecogedor que apenas se podía concebir.
Un enfant effrayé qui hurlait en un instant de bouleversement total et de désespoir, qui lâchait sa voix avec une puissance et une force stupéfiantes, pour exprimer une horreur si écrasante qu'elle en était presque incroyable.
El olor a carne sin lavar, el olor —algo más sutil— a delirio carnal a veces era débil, otras tan intenso y sobrecogedor que Violet, que apenas podía respirar, ordenaba a los sirvientes que abrieran todas las ventanas de par en par.
L’odeur de la chair malpropre, l’odeur – à peine plus subtile – du délire charnel, parfois légère, parfois écrasante, à tel point que Violet, pouvant à peine respirer, ordonna aux serviteurs d’ouvrir toutes grandes les fenêtres.
Fue sobrecogedor y desagradable.
C’était accablant, abject.
Un silencio sobrecogedor.
Il y régnait un silence accablant.
En el exterior, el aire era seco y el hedor sobrecogedor.
Dehors, l’air était sec et la puanteur accablante.
Una respuesta afirmativa. Solo estaba apartando de sí la guerra, el horror que supuso, la sobrecogedora tristeza.
Réponse positive. Juste pour évacuer la guerre, l’horreur absolue de la guerre, la tristesse accablante.
Su primer recuerdo fue el de un juicio y la sobrecogedora sensación de injusticia que tuvo cuando enviaron a su padre a la cárcel.
Son plus vieux souvenir était celui du procès et de l’accablante impression d’injustice qu’il avait ressentie lorsqu’on avait envoyé son père en prison.
Hasta entonces Ranessa se había pasado toda la vida creyendo que era humana (y detestando serlo) para, de repente, en un segundo catastrófico y sobrecogedor, descubrir que no lo era. Era una dragona.
Ranessa avait passé toutes les années de sa vie à penser qu’elle était humaine (et détester ça), pour réaliser soudainement, dans un moment accablant et catastrophique, qu’elle n’était pas humaine. Elle était un dragon.
los padres y la hermana del protagonista mueren en un accidente de coche, él va a casa a enterrarlos, lleno de odio, como todos los personajes de Bernhard, pero en este libro había una objetividad que no había visto antes en él, era como si las circunstancias apareciesen, como si fueran tan sobrecogedoras y poderosas que sustituyeran a los airados y odiosos monólogos, que la muerte convirtiera en insignificantes incluso el mayor de los odios y la más intensa rabia, en cierto modo se estableció dentro de él, y era frío, duro y despiadado, pero también hermoso, todo surgido a ese ritmo insistente y minucioso de Bernhard, que se iba metiendo dentro de mí mientras leía, y que continuaba incluso después de haber dejado el libro y haberme puesto a mirar por la ventanilla la nieve que acababa de caer sobre el brezo, el río salvaje que se lanzaba desfiladero abajo, y pensé, tengo que escribir así, puedo escribir así, sólo hace falta escribir, no es ningún arte, y empecé a formular el comienzo de una novela en la cabeza, al ritmo de Bernhard, y salió bien, una nueva frase y otra más, el tren volvió a ponerse en marcha con una sacudida, y yo pensaba en una frase tras otra, las cuales habían desaparecido por completo cuando aquella tarde me senté delante del ordenador.
les parents et la sœur du personnage principal trouvent la mort dans un accident de voiture, il rentre pour les enterrer, plein de haine, comme tous les personnages de Bernhard, mais dans ce livre-là il y avait une objectivité que je n’avais pas encore vue chez lui, on aurait dit que la condition humaine apparaissait, et d’une façon si accablante et puissante qu’elle l’emportait sur les monologues furieux et haineux, que la mort réduisait même la haine et la colère la plus forte, elle prenait résidence en lui en quelque sorte, et c’était froid, dur et implacable, mais beau aussi, émergeant du style insistant et compliqué de Bernhard, qui s’immisça en moi pendant que je lisais et qui perdura même quand j’eus refermé le livre pour regarder par la fenêtre la neige tout juste tombée sur la bruyère, le fleuve sauvage qui se précipitait dans le ravin, et je me dis, je dois écrire comme ça, je peux écrire ça, il suffit d’écrire, ce n’est pas tout un art, et je me mis à formuler dans ma tête le début d’un roman, dans le rythme de Bernhard, et c’était bien, une autre phrase suivit et encore une autre, et le train se remit en route dans une secousse, et je concevais des phrases à la suite les unes des autres, mais lorsque je m’installai à mon ordinateur cet après-midi-là, elles s’étaient complètement évanouies.
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