Translation for "retuerza" to french
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Ella se guarda para sí su alegría sádica, pero la confusión silenciosa de esos sentimientos aumenta, y a veces por la noche los torbellinos de tormento hacen que se retuerza y se agite, y suplique ser liberada de su maldad.
Elle ne parle à personne de cette joie sadique, mais la confusion silencieuse de ces sentiments s’accroît et parfois, la nuit, des tornades d’affliction la font se tordre et se tourner en suppliant d’être délivrée de sa méchanceté.
¡Que te retuerza el cuello hasta que puedas ver los talones!
Et te tordre le cou jusqu’à ce que tu voies tes talons !
Se le va formando una espiral en el pecho, como la de una cuerda cuando la retuerces.
Une boucle se resserre dans sa poitrine, comme dans une corde que l’on s’obstine à tordre.
—Cuidado con lo que hace, señora Marasi, no vaya a ser que le retuerza el pescuezo yo a usted mucho más presto de lo que se imagina.
 Prenez garde, Signora Marasi, je pourrais vous tordre le cou plus vite que vous ne pensez.
Las patatas no crecen más deprisa porque yo me retuerza las manos angustiada, ni el pequeño ternero se hace adulto de la noche a la mañana.
Me tordre les mains ne ferait pas pousser mes pommes de terre plus vite et mon petit taureau ne deviendrait pas adulte en une nuit.
Si esto sigue así, le diré a Nariz Chata que le retuerza el pescuezo, como suele hacer con las palomas que se cagan en su coche.
Si ça continue, je vais demander à Nez Aplati de lui tordre le cou, comme il le fait aux pigeons qui font leurs crottes sur sa voiture.
No dejen que se mueva y retuerza el hilo pues los bordes de las lengüetas lo cortarán —advirtió Lusima a los morani. Juntos pusieron todo el peso de sus cuerpos sobre el cuerpo supino de Manyoro.
Ne le laissez pas bouger et tordre le fil, sinon les barbelures vont le couper, avertit-elle les morani, qui pesèrent de tout leur poids sur le corps de Manyoro.
Así es como las cosas, animadas por un sentimiento de venganza legítimamente provocado por su condición de esclavas, consiguen a su vez, en momentos breves pero intensos, someter al hombre a su poder latente, hacen que se retuerza y se arrastre como un perro, y no se apiadan ni de mujeres ni de niños.
C’est ainsi que les choses, animées d’un esprit de vengeance légitimement puisé à leur condition d’esclaves, parvenaient à leur tour par moments brefs mais intenses à soumettre l’homme à leur puissance larvée, à le faire se tordre et ramper comme un chien, n’épargnant ni femme ni enfant.
Era un día de otoño suntuoso, oh, realmente suntuoso, todos los cobres y oros bizantinos bajo un cielo Tiepolo de azul esmaltado, la campiña toda petrificada y vítrea, más que ella misma parecía su propio reflejo en la quieta superficie de un lago. Era un día de esos en los que, últimamente, el sol es para mí el grueso ojo del mundo que me mira con sumo deleite mientras yo me retuerzo en mi tristeza.
C’était une journée d’automne somptueuse, oui, vraiment somptueuse, toute en ors et en cuivres byzantins sous un ciel bleu nacré à la Tiepolo, la campagne soignée et rutilante au point qu’on aurait cru contempler son reflet sur la surface figée d’un lac : c’était une journée dans le genre de celles où le soleil me semble être, ces derniers temps, le gros œil du monde me regardant avec délectation me tordre de douleur.
Dmitri Karamázov, el inocente condenado, con las cadenas en las manos, grita de alegría con todas sus fuerzas: «Venceré todos los sufrimientos sólo para poder decirme: “Existo”. Aunque me retuerza de dolor en el potro de tortura, sé que existo; aunque encadenado a la galera, veo el sol y, aunque no lo vea, vivo a pesar de todo y sé que el sol está ahí». Y su hermano Iván acude a su lado y anuncia: «No hay desdicha más irrevocable que la de estar muerto». Y el éxtasis de la existencia penetra en su pecho como un rayo de sol, y aquel que negara a Dios exclama: «Te amo, Dios, porque la vida es algo grandioso».
Malgré ses chaînes, Dimitri Karamazov, le condamné innocent, pousse à pleins poumons un cri d’allégresse : « Je triompherai de toute ma douleur, ne serait-ce que pour pouvoir dire : "Je suis." J’ai beau me tordre sur le chevalet, je sais que "je suis" ; même enchaîné sur une galère, je vois le soleil, et si je ne le vois pas, je vis du moins et sais qu’il existe. » Ivan, son frère, s’approche de lui et proclame : « Le seul malheur irréparable, c’est d’être mort. » L’extase de la vie traverse sa poitrine comme un rayon de soleil et lui, le négateur de Dieu, s’écrie dans son allégresse : « Seigneur, je t’aime, car la vie est grande. » Sur l’oreiller où il agonise, Stefan Trophimovitch se soulève, joint les mains et bégaie : « Comme je voudrais revivre...
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