Translation for "puntero" to french
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Sus zapatos, de tacón de aguja de unos ocho centímetros, también eran negros y tenían la puntera plateada. Y eso era todo lo que llevaba.
Elle portait des escarpins noirs à talons aiguille de huit centimètres, avec une garniture argentée aux pointes. Et c’était tout.
Colocaron la extraña máquina (no mucho mayor que una caja de zapatos, con algunos botones y tres visores como punteros) en una silla al lado de la cama.
Ils placèrent la machine sur une chaise à côté du lit. À peine plus grande qu’une boîte à chaussures, elle était munie de quelques boutons et de trois cadrans avec des aiguilles.
Veo el puntero de los segundos saltar a la pata coja, avanzando, avanzando, y encuentro que esto es, en un punto minúsculo, un retrato general de la vida de los hombres.
Je vois l’aiguille des secondes sautiller à cloche-pied, circuler, circuler, et je trouve que c’est en miniature le portrait de la vie ordinaire des hommes.
El doctor Ezequiel hablaba lindo, pero ella ni alcanzaba a entender las palabras, eran como sonidos redondos, que parecían balancear y daban sueño. Cortado por el tic-tac del reloj los punteros andaban.
Le docteur Ezequiel parlait bien, mais elle ne distinguait même pas ses paroles. C’était un ronron berceur qui donnait sommeil, ponctué par le tic-tac de l’horloge dont les aiguilles tournaient.
Todos los funcionarios, desde los ocho escribientes hasta los dos subdirectores estaban sentados con los ojos fijos en el reloj de la pared, esperando que el puntero de los minutos se sobrepusiese exactamente al número doce.
Tous les employés, depuis les sept préposés aux écritures jusqu’aux deux sous-chefs étaient assis, les yeux sur la pendule au mur, attendant que l’aiguille des minutes se superpose exactement au chiffre douze.
Cortes por donde cortes, verás lo mismo. —Frente a ella, en la mesa, tenía un ordenador portátil, que podría haber sido el de Tessa. Mientras hablaba, pulsaba la pantalla con un puntero gris rematado en forma de gancho como una aguja de croché—.
Elle avait posé devant elle un ordinateur portable qui aurait pu être celui de Tessa, et tout en parlant elle pointait sur l’écran un stylet gris recourbé au bout comme une aiguille à crochet. « Il y a quand même un certain nombre de choses que je dois vous dire, alors j’y vais, annonça-t-elle avec un coup de stylet sur l’écran.
En ese rincón resguardado por el muro de fardos la luz temblona de una vela rescataba algunos objetos, Las sombras blandas de los barrotes del catre bailaban flojas sobre el muro donde santos desteñidos bendecían el tiempo agotado de calendarios pretéritos y del puntero único del reloj.
Dans ce coin abrité par le mur de bottes de paille, la lumière tremblante d’une bougie sauvait quelques objets. Les ombres molles des barreaux du lit dansaient, floues, sur le mur où des saints décolorés bénissaient le temps épuisé de calendriers périmés et de l’aiguille unique de la pendule.
Junto a un cubo rebosante de desperdicios un hombre cubierto con una capucha despliega una mercadería tan pobre que no hay manera segura de distinguirla de la basura que un golpe de viento lleva hacia él: vende libros descabalados, viejos semanarios con la programación televisiva de hace treinta años, botines de niño paralítico, zapatos de mujer con los tacones torcidos y las punteras gastadas, discos de vinilo sin funda a los que les falta algún pedazo, grandes despertadores sin agujas, un pato de goma con la cola arrancada por lo que podría ser un mordisco humano o los incisivos de una rata.
À côté d’un récipient débordant de déchets, un homme couvert d’une capuche étale une marchandise si misérable qu’on ne peut pas la distinguer clairement des ordures qu’un coup de vent emporte vers lui : il vend des livres écornés, de vieux hebdomadaires avec les programmes de télévision d’il y a trente ans, des bottines d’enfant paralytique, des chaussures de femme aux talons éculés et aux pointes éraillées, des disques de vinyle sans pochette auxquels il manque un morceau, de gros réveils sans aiguilles, un canard en caoutchouc à la queue arrachée par ce qui pourrait être un coup de dents humaines ou les incisives d’un rat.
En los pasillos y patios afuera de mi puerta oigo el clamor: una oreja para mí, el dedo pulgar del pie derecho, no, tiene que ser del derecho y no del izquierdo, bueno, entonces tiene que esperar porque el pulgar del pie derecho está pedido… cuatro turnos, quién sabe cuánto tiempo, a veces los pulgares se demoran mucho en volver a crecer, un párpado, un trozo de piel, un dedo para la mano monstruosa que nació con cuatro, después me crecerá otro y me volverán a sacar dedos y a ponerme otros, y a sacarme la nariz y a ponerme otra… se va extendiendo el tiempo al que soy ajeno, nada cambia, nada se mueve en la calle que mi ventana enmarca, ni de día ni de noche, ni frío ni calor, esta sustitución eterna de órganos que me renuevan, sin derecho a la muerte, el tiempo estático y elástico, las cosas idénticas, ni agua ni no agua, todo blanco, todo en penumbra, voces apagadas, el reloj sin punteros, el corazón que no palpita, la falta de hambre a las horas del hambre y a cualquier hora porque no tengo estómago, me lo robaron, ochenta por ciento y a veces más, el tiempo no transcurre en esta penumbra que me niega el derecho al orgasmo del fin. Creen que duermo.
Dans les couloirs et les cours derrière ma porte, j’entends leurs clameurs : une oreille pour moi, un pouce de pied droit, non, du droit, pas du gauche, alors il faut attendre car celui du pied droit est déjà demandé… quatre fois, qui sait combien de temps ça peut durer, parfois les pouces tardent longtemps à repousser, une paupière, un morceau de peau, un doigt pour la main monstrueuse qui n’en avait que quatre à la naissance, puis il m’en repoussera un, et on m’enlèvera encore des doigts pour m’en remettre d’autres, et le nez pour le changer… le temps s’allonge et je lui suis étranger, rien ne change, rien ne bouge dans la rue qu’encadre ma fenêtre, ni le jour ni la nuit, ni froid ni chaleur, éternelle substitution d’organes qui me rénovent, sans que j’aie droit à la mort, temps statique et élastique, les choses identiques, ni eau ni pas d’eau, tout blanc, tout dans la pénombre, des voix éteintes, l’horloge sans aiguille, le cœur qui ne palpite pas, pas faim aux heures où on a faim, ni à n’importe quelle heure, car je n’ai plus d’estomac, on me l’a volé, quatre-vingts pour cent et parfois plus, le temps ne s’écoule pas dans cette pénombre qui me refuse le droit à l’orgasme de la fin. ILS CROIENT QUE JE dors.
—El puntero se movió de nuevo—.
Theo déplaça son pointeur.
¿Y sabes cuál es uno de sus productos punteros?
Et tu sais quel est leur produit de pointe ?
Le cayó nieve en la puntera de las zapatillas.
Des flocons tombaient sur la pointe de ses chaussons.
Empujó los huesos con la puntera del zapato.
Il poussa les os avec la pointe de sa chaussure.
—Le clavó a Gallagher la puntera de la bota—.
Il remua Gallagher avec la pointe de sa botte. — Levez-vous !
Se levantó y cogió el puntero de Yani.
Il se leva, et prit le pointeur des mains de Yani.
El viejo truco del gatito y el puntero láser.
Le vieux gag du chaton et du pointeur laser. 
La ciencia, ya sabes… era ciencia, brillante, puntera.
La science, tu comprends... c'étaient des avancées brillantes, de pointe.
—Sus botas estaban alineadas con la puntera de mis zapatos—.
—Le coin est désert, répondit-il, la pointe de ses bottes soudain collée à mes chaussures.
No golpeaban con la puntera de los pies sino con la base.
Ils écrasaient avec la plante du pied au lieu d’attaquer de la pointe.
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