Translation for "odorífero" to french
Odorífero
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¡Qué aire se respiraba, impregnado de los perfumes de las odoríferas plantas!
Quel bon air on respirait, auquel tant de plantes odoriférantes mêlaient leurs parfums !
El sendero de ladrillos rojos que serpenteaba por la terraza estaba bordeado de odoríferos alisos.
Des alysses odoriférantes bordaient le petit chemin sinueux en briques rouges.
Era un palacio más delicado que fastuoso, rodeado de jardines plantados de cítricos y de arbustos odoríferos, con pérgolas, canales, cascadas y fuentes.
Plus délicat que fastueux, entouré de jardins plantés d’agrumes et d’arbustes odoriférants, avec des pergolas, des canaux, des cascades et des fontaines.
El caballero delegado de Jamaica distribuye pasteles horneados, ricos en porciones odoríferas de chocolate, con fragmentos de nueces y de hachís.
Délégué Jama-ique distribue gasteaux-maison, rondelles chocolat odoriférant-riche mélangé fragments noix, ganja.
De manera que fui incapaz de reprimir un gesto de sorpresa al encontrármela rigurosamente despojada de cualquier vestimenta ante el arsenal odorífero de su tocador desordenado.
Je ne pus donc réprimer un geste de surprise quand je la trouvai rigoureusement dépouillée de toute parure devant l’arsenal odoriférant de sa coiffeuse en désordre.
en fin, botes de hierbas silvestres, odoríferas y sin duda dotadas de virtudes desconocidas al vulgo, estaban pegadas al techo y bajaban por las esquinas del cuarto.
enfin, des bottes d’herbes sauvages, odoriférantes et sans doute douées de vertus inconnues au vulgaire des hommes, étaient attachées au plafond et descendaient dans les angles de l’appartement.
y, segundo, que el citado fenómeno había tenido igualmente por consecuencia una transformación radical del universo de ruidos y olores en las escaleras y los patios de los mismos barrios, con un aumento sensible y mensurable del número de decibelios, debido a los gritos de niños, consejos maternales prodigados a voz en cuello y aullidos continuos de aparatos de radio, y una brusca aparición concomitante de fuertes vaharadas odoríferas de una nueva especie, debidas éstas a las paellas largamente hervidas, a los potajes de garbanzos a menudo recalentados, a las sardinas alegremente asadas, a la irrupción, en suma, de los platos hispánicos más modestos y, en consecuencia, los más agresivos para el olfato, guisándose a fuego lento en los miserables hornillos de gas de las incómodas y sombrías viviendas de portero invadidas por las afables, infatigables y locuaces mujercitas de Santander o Málaga—, pero decíamos, antes de empezar esta digresión leibsoniana, que en los lugares de reunión hispánicos Antonio «el Pirulí» comenzaba generalmente su recital de narrador popular con canciones a veces chuscas, a menudo conmovedoras, tomadas del folklore demasiado poco conocido de las cárceles y los penales franquistas.
et, deuxièmement, que ledit phénomène avait également eu pour conséquence une transformation radicale de l’univers des bruits et des odeurs dans les cages d’escalier et les cours des mêmes quartiers, avec une augmentation sensible et mesurable du nombre de décibels, due aux cris d’enfants conseils maternels prodigués à tue-tête et glapissements continus des appareils de radiophonie, et une brusque apparition concomitante de fortes bouffées odoriférantes d’un genre nouveau, dues celles-ci aux paellas longuement mijotées, aux pois chiches des pot-au-feu souvent réchauffés, aux sardines allègrement grillées, à l’irruption, en somme, des plats hispaniques les plus modestes, donc les plus agressifs pour l’odorat, cuisant à petit feu sur les minables réchauds à gaz des inconfortables et sombres loges de concierges investies par les accortes, infatigables et disertes petites bonnes femmes de Santander ou de Malaga – mais nous disions, avant de commencer cette digression leibsonienne, que dans les lieux de réunion hispaniques, Antonio « el Pirulí » commençait généralement son récital de conteur populaire par des chansons parfois cocasses, souvent touchantes, puisées dans le folklore trop peu connu des prisons et pénitenciers franquistes.
Se ahogaba literalmente, como si la vasta sala en que brillaba el artesonado mostrador del bar americano no hubiera estado abierta a un jardín tropical en el que se desplegaba la superficie irisada de una piscina de agua de mar, como si se la hubiera enclaustrado en algún lugar cerrado, lleno de odoríferas flores a punto de marchitarse, lirios y tuberosas, por ejemplo, amontonadas por todas partes, desprendiendo este olor dulzón de podredumbre vegetal, ese olor a muerte que le inundaba las fosas nasales, dándole casi náuseas, forzándola a separarse, a dirigirse hacia el aire libre, junto a la piscina de forma irregular en que nadaba un anciano, majestuosamente, con la cabeza bien erguida para no mojarse una hermosa barba blanca, y fue allí donde Artigas se reunió con ella: «¿Qué te pasa?», y ella meneó la cabeza, vacilando en responderle, no atreviéndose a decirle que el olor de la muerte la había hecho salir del bar del Colony, hasta el momento en que pensó que este olor dulzón no le había incomodado antes, en la playa, ni ahora ya, en que estaba sola con él, que, probablemente, pues, este aura persistente y mortífera flotaba en torno a los otros escritores, o a uno de ellos, al menos, pero hoy, siete años después, en el lujoso salón de L’Envers du Paradis en que espera la llegada del Corso, impaciente, tras haber comprobado una vez más que la puerta está cerrada por fuera, que no puede hacer otra cosa más que esperar, hoy recuerda aquella mañana cubana en la Isla de la Juventud, así decían, ¡pobres imbéciles!, en que la muerte había desplegado sus velas, en que había comenzado su trayectoria, hipócritamente, fingiendo entonces no interesarse en Artigas, la muy zorra, para acabar, sin embargo, apareciendo en un trocito de cielo azul en el iris de este último…, ¡Iris, oh mensajera!
Elle suffoquait littéralement, comme si la vaste pièce où brillait le comptoir lambrissé du bar américain n’avait pas été largement ouverte sur un jardin tropical où s’étalait la surface irisée d’une piscine d’eau de mer, comme si elle avait été enfermée en quelque lieu clos, rempli de fleurs odoriférantes sur le point de se faner, lys et tubéreuses, par exemple, amoncelées partout, dégageant cette odeur douceâtre du pourrissement végétal, cette odeur de mort qui la prenait aux narines, lui donnant presque la nausée, la forçant à s’écarter, à marcher vers le plein air auprès de la piscine de forme irrégulière où nageait un vieil homme, majestueusement, tenant sa tête bien droite pour ne pas mouiller sa belle barbe blanche, et c’est là qu’Artigas vint la rejoindre : « Que t’arrive-t-il ? », et elle hocha la tête, hésitant à lui répondre, n’osant pas lui dire que l’odeur de la mort l’avait chassée du bar du Colony, jusqu’au moment où elle pensa que cette fade senteur ne l’avait pas incommodée avant, sur la plage, ni non plus maintenant, lorsqu’elle était seule avec lui, que probablement donc c’était autour des autres écrivains, ou de l’un d’entre eux, du moins, que flottait cette aura entêtante et mortifère, mais aujourd’hui, sept ans après, dans le salon luxueux de L’Envers du Paradis où elle attend l’arrivée du Corse, impatiente, ayant une nouvelle fois vérifié que la porte est fermée de l’extérieur, qu’il n’y a rien d’autre à faire que d’attendre, aujourd’hui elle se souvient de cette matinée cubaine dans l’île de la Jeunesse, disaient-ils, pauvres imbéciles, où la mort avait déployé ses voiles, où elle avait commencé sa course, hypocritement, feignant alors de ne pas s’intéresser à Artigas, quelle garce, pour finir cependant par apparaître dans un coin de ciel bleu dans l’iris de ce dernier – Iris, ô messagère !
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