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Translation examples
Se ha encaprichado con él, no sé por qué motivo.
Elle s’est entichée de lui pour je ne sais quelle raison.
Él estaba encaprichado con ella. ¿No es verdad, Don? —Cierra el pico.
Il s’était entiché d’elle. Pas vrai, Don ? — Ferme-la.
Este se había encaprichado con Ernest Malik y le hacía caso en todo.
Il s’était entiché d’Ernest Malik et il ne voyait plus que par lui.
Más que enamorado, Pedro se había encaprichado de aquel retrato de Amelia.
Amoureux, Pedro s’était entiché du portrait d’Amélie.
—¿Te has encaprichado de ese tío tanto como para decir todas estas tonterías?
– Tu t'es entichée de ce type à ce point-là pour dire des âneries pareilles ?
¿Te has encaprichado con la hija de Nyai Ontosoroh? Es cosa tuya.
Tu es épris de la fille de Nyai Ontosoroh. Libre à toi.
Recordó su propia juventud, cuando se sintió encaprichado por Wang Ma.
Il se rappela sa propre jeunesse, du temps où il était épris de Wang Ma.
El actual favorito es Abdul. Rara vez he visto a un hombre tan encaprichado.
Son actuel favori est un certain Abdul – j’ai rarement vu homme aussi follement épris.
Adzriel y mis amigos trataron de advertirme sobre él, pero yo estaba tan encaprichado que hubiera hecho cualquier cosa por él.
Adzriel et mes amis ont essayé de me mettre en garde, mais j’étais déjà tellement épris que j’aurais fait n’importe quoi pour lui.
El sultán tiene un carácter fuerte y dominante y atemoriza a los miembros de su gobierno, pero, como usted mismo dijo hace algún tiempo, nunca se ha visto a un hombre tan encaprichado.
Le sultan a une personnalité forte et dominante – son Conseil a peur de lui – mais comme vous l’avez dit vous-même il y a quelque temps, jamais un homme n’a été aussi follement épris.
La belleza había sido suficiente para asegurarle un flujo de clientes desde que llegó aquí, y algunos incluso se habían encaprichado con ella, a pesar de que no sabía cantar ni tocar ninguno de los instrumentos, y la poesía la adormecía.
Sa beauté avait suffi à lui assurer un flot ininterrompu de clients depuis son arrivée. Certains s’étaient même épris d’elle alors qu’elle ne savait ni chanter ni jouer d’aucun instrument et que la poésie avait le don de l’endormir.
(Hasta Vernon, el primo de Gideon, que tenía uno o dos años más que Leah y estaba muy encaprichado con ella: al pobre joven desgarbado nada le gustaba más que leerle poesía en aquellas tardes aburridas en las que el sol se ponía a las tres o no salía en todo el día, Blake y Wordsworth y algunos soliloquios de Hamlet, y los poemas largos, incoherentes y apasionados que él escribía y que llevaban a Leah a caer en un agradable estupor, con los grandes ojos medio cerrados, los dedos un poco hinchados entrelazados sobre el vientre como si quisiese protegerlo, uno de los mellizos —casi siempre Christabel— durmiendo la siesta sin disimulo por allí cerca: hasta Vernon, con su sonrisa tímida y su mirada esperanzada y la reverente y melódica voz cuando leía o recitaba, «Dios se muestra y Dios es luz / A aquellas pobres almas que viven en la noche / Pero una forma humana se despliega / Ante aquellos que viven de día», parecía estar intimidado por su mera presencia, y si ella se quejaba porque estaba incómoda o se llevaba la mano al vientre con alarma porque sentía un dolor momentáneo que la aterraba, o hacía una alusión sin importancia a su condición —que volvía algunas de las tareas habituales de la vida, como lavarse el pelo, bañarse o ir al baño, muy difíciles—, el pobre Vernon se ruborizaba en seguida y la miraba a la cara con los ojos más abiertos como para dejar claro que no estaba mirando para otro sitio;
(Même Vernon, le cousin de Gideon, âgé de un ou deux ans de plus qu’elle, et si visiblement et douloureusement épris d’elle – le pauvre homme dégingandé n’aimait rien autant que de lui lire de la poésie ces après-midi lugubres où le soleil se couchait à trois heures ou n’apparaissait pas du tout, Blake et Wordsworth et certains des monologues de Hamlet, et de longs poèmes de lui, passionnés, incohérents, qui plongeaient Leah dans une stupeur confortable, ses grands yeux mi-clos, ses doigts légèrement gonflés croisés sur son ventre comme pour le protéger, l’un des jumeaux – d’habitude Christabel – faisant carrément la sieste auprès d’elle : même Vernon, avec son sourire timide et ardent, son regard plein d’espoir et le flot mélodieux de sa voix empreinte de respect tandis qu’il lisait, ou récitait, Dieu apparaît et Dieu est la lumière / Pour les pauvres âmes qui demeurent dans la nuit / Mais une forme humaine apparaît-elle / À ceux qui demeurent dans le royaume du jour2, paraissait intimidé par sa simple présence, et si elle gémissait, prise d’un brusque malaise, ou si, effrayée, elle pressait la main sur son ventre, saisie par la douleur terrifiante d’un instant, ou faisait même une allusion enjouée à son état – qui rendait certains gestes quotidiens, comme se laver les cheveux, se baigner tout simplement et aller aux cabinets, extrêmement difficiles –, le pauvre Vernon rougissait aussitôt, et regardait fixement son visage avec les yeux un peu écarquillés comme pour souligner qu’il ne regardait pas ailleurs ;
Está encaprichado, dominado. No hay nada que hacer. —Sí —dije—. Hay una forma.
C’est un engouement, une influence, il n’y a rien à faire. — Si, dis-je. Il y a un moyen.
Era como si me hubiera bastado con encontrar una alternativa verosímil, un posible amigo con el que me había más o menos encaprichado, para reconocer lo enfadado que estaba con ella;
C’était comme s’il ne m’avait fallu qu’un remplaçant plausible, un ami potentiel pour qui j’avais un engouement quasi amoureux, pour m’avouer combien j’étais en colère contre elle ;
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