Translation for "da más" to french
Translation examples
La señora me da una bolsa.
La dame me donne un sac plastique.
La Señora nos da todo lo que necesitamos,
— La Dame nous donne tout ce qu’il nous faut.
La mujer se da cuenta.
La dame s’en rend bien compte.
Las damas van a donde les da la gana.
Les dames vont où elles veulent.
La anciana da un grito y se desmaya.
La vieille dame pousse un hurlement et tombe dans les pommes.
—Una dama que trabaja para nosotros. Nos da la información a mí o a Carlos.
— Une dame qui travaille pour nous : elle dépend directement de moi ou de Carlos.
—Se les da el brazo a las señoras de la ciudad —le dijo ella—;
– C'est les dames de la ville à qui on donne le bras, dit-elle.
La Señora nos da todo lo que necesitamos, nosotros le entregamos todo lo que podemos.
— La Dame nous donne tout ce qu’il nous faut, et nous fait ce que nous sommes.
Eso os da señoras suficiente tiempo?
Ça vous laisse assez de temps, mesdames ?
—Señoras, caballeros, la Oficina del Primer Ministro les da las gracias a todos ustedes por su duro trabajo.
— Mesdames, messieurs, le Bureau du Premier ministre vous remercie pour votre dur labeur.
Tomé aire: Señores y señoras, ¿quién da más por la dentadura cavernosa del primer infame?
J’ai pris une inspiration : Mesdames et messieurs, qui va ouvrir les enchères pour la dent caverneuse de notre premier homme infâme ?
no una escuela como las de hoy día, donde a los hijos e hijas de los trabajadores y campesinos se les da una educación intelectual mucho mejor que a otros niños de clase más elevada;
Elle avait, avec l’aide de mesdames ses filles, fondé une école : non pas un de ces établissements comme il en existe aujourd’hui, où les fils et filles des ouvriers et artisans reçoivent souvent une instruction bien supérieure à celle dont peuvent se prévaloir des gens beaucoup mieux nantis qu’eux ;
A medida que la muchedumbre pasó a escuchar al hombre del vozarrón que pregonaba en detalle ese milagro de la medicina llamado hermafroditismo (“¡Sólo se da en uno de cada cuatrocientos millones de recién nacidos, señoras y caballeros, sólo existen seis hermafroditas de contrastada valía en la muy dilatada historia de la humanidad y sólo uno de ellos se encuentra ante ustedes, hoy mismo, aquí en Deptford!”), yo me quedé merodeando cerca de la mesa que ocupaba Willard.
Alors que la foule avançait pour écouter le bonimenteur parler du “miracle médical” appelé hermaphrodisme – on n’en compte qu’un sur quatre millions de naissances, mesdames et messieurs, et seulement six hermaphrodites véritables dans la longue histoire de l’humanité. Or l’un d’eux se tient devant vous, à Deptford, aujourd’hui ! – je m’attardai devant Willard.
—La expresión exagerada del hombre era tan atrayente como repulsiva—. Esto es tan… Es tan inhumano…, tan inconcebible… Lo siento, amigos, hay cosas en este mundo que simplemente me dejan sin habla. —Negó con la cabeza de manera adusta y se volvió hacia la otra mitad de la pantalla, como si el teleevangelista estuviera realmente sentado a su lado en el estudio y no en otro lugar—. Reverendo Prunk, siempre da la sensación de que tiene las palabras adecuadas.
(Le langage emphatique du journaliste était aussi accrocheur que repoussant.) C’est inhumain… au-delà des limites imaginables… Pardonnez-moi, mesdames, messieurs, mais il y a des choses dans ce monde qui vous laissent tout bonnement sans voix. (Secouant tristement la tête, il se tourna vers l’autre moitié de l’écran, comme si l’évangéliste était assis à côté de lui dans le studio.) Révérend Prunk, vous qui trouvez toujours les mots justes, aidez-nous.
Es en esta búsqueda de una verificación sólida, por tanto, que Mundy, como quien no quiere la cosa, cambia de posición estratégica: primero extiende un brazo, retórico, y luego se da la vuelta en su tarima para señalar a su público la vista que se disfruta desde el lecho real, una vista espléndida, magnífica —solo tienen que seguir mi brazo, señoras y señores—, de la cascada italiana que cae por las pendientes septentrionales del Hennenkopf.
Par souci de corroboration, Mundy modifie donc son point de vue l’air de rien, d’abord en étendant le bras pour l’effet rhétorique, puis en pivotant sur sa caisse pour indiquer à son public la vue, la splendide, la magnifique vue, qu’on a depuis le chevet royal, suivez mon bras, mesdames et messieurs, sur la cascade à l’italienne qui descend les pentes nord du Hennenkopf. « Imaginez-vous allongé là avec un être aimé !
El segundo empezando por abajo. Y que conste que ayer ya quería sacar el tema pero llegó el fotógrafo y el tal Yaki Nakamari o como coño se llame el diseñador, un chapuzas de mucho cuidado, me tomó por no sé quién y no pude presentar mi queja. En fin, caballeros —y damas—, ahí están: motas, unos puntitos de lo más molestos y no parece que hayan salido de casualidad, sino que más bien parecen hechos con una máquina. Bueno, no quiero la descripción al completo, basta con la historia funcional, sin florituras, lo esencial: quién, qué, dónde, cuándo y, no os olvidéis, por qué, aunque por la cara de desgraciados que ponéis me da la impresión de que el porqué no me lo va a contar nadie. Venga, ya, coño, ¡qué pasa!
Non, celui-là, le deuxième à partir du sol et je voulais le faire remarquer à quelqu’un hier mais il y a eu cette séance de photos et Yaki Nakamari ou je ne sais comment s’appelle ce designer, sûrement pas un génie dans son genre, m’a pris pour quelqu’un d’autre et je n’ai donc pas pu me faire entendre, messieurs et mesdames, pourtant elles sont bien là : les taches, embêtantes ces taches minuscules, et elles ne donnent pas l’impression d’être accidentelles mais d’avoir été faites à la machine, on dirait, alors épargnez-moi toute la description, uniquement l’histoire réduite à sa plus simple expression, sans fioritures, le topo : qui, quoi, où, quand et n’oubliez pas pourquoi, même si j’ai le sentiment, à voir vos mines désolées, que je n’aurai pas de réponse au pourquoi. Alors, merde, quoi, dites-moi ce qui s’est passé ? »
Amigos míos, antes de mi llegada ustedes ya sabían, aunque no osaran manifestarlo, que sobre la explotación—y les aseguro que esto se remonta a hace más de año y medio—pesaba una maldición, y tienen todos los motivos para creer que un castigo irrevocable poco a poco se cierne sobre ustedes… Y ustedes, amigos míos, deambulan en medio de esta destrucción, lejos de todo cuanto es la Vida… Sus proyectos fracasan uno tras otro, sus sueños se desintegran como burbujas, confían ustedes en un milagro que nunca se producirá, esperan a un salvador que se los lleve de aquí… Sin embargo, saben que no queda ya nada en que confiar, nada en que depositar las esperanzas, porque estos últimos años pesan, claro, damas y caballeros, pesan tanto que da la impresión de que se ha perdido para siempre la posibilidad de poner coto a esta impotencia, lo cual los angustia cada día más, les oprime la garganta cada día más, hasta que ya apenas pueden respirar… Pero ¿de qué tipo de maldición son ustedes víctimas, mis desdichados amigos?
Mes amis, vous le saviez avant notre arrivée mais vous n’osiez pas vous l’avouer, dans la coopérative – et croyez-moi, cela remonte à plus d’un an et demi – règne une sorte de malédiction, et vous avez de bonnes raisons de penser qu’un châtiment implacable s’est lentement abattu sur vous… Et vous, mes amis, vous vous traînez dans cette déchéance, loin de tout ce que la Vie… Vos projets s’effondrent les uns après les autres, vos rêves se brisent, vous croyez en un miracle qui jamais ne se réalisera, vous espérez la venue d’un sauveur qui vous sortira de là… mais vous savez qu’il n’y a plus rien à espérer car les années passées pèsent d’un tel poids sur vos épaules, mesdames et messieurs, que vous n’avez plus la force de dominer cette impuissance, et chaque jour vos gorges se serrent davantage, vous n’osez plus respirer… Mais de quel genre de… malédiction êtes-vous les victimes, mes pauvres amis ?
Su mujer no se da por enterada.
Sa femme ne relève pas.
La mujer le da un Sprite.
La femme lui tend un Sprite.
La mujer se da la vuelta.
La femme tourne encore.
Esa mujer me da pánico.
J’ai une peur bleue de cette femme.
Su mujer le da una bofetada.
Sa femme lui donne une tape.
Ella no es esa mujer. Le da miedo.
Ce n’est pas elle, cette femme. Elle en a peur.
Les da a esas mujeres mucho de sí mismo.
Il donne beaucoup de lui-même à toutes ces femmes.
Y la mujer da un poco de miedo.
Et la femme fait un peu peur.
—¿No le da vergüenza atacar a una mujer?
— Vous n’avez pas honte de vous en prendre à une femme ?
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