Translation for "cuyo tío" to french
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Busco los pensamientos del zamparmarios, o del cortapiés, o del tipo cuyo tío fue devorado por un oso.
Je cherche les pensées du mangeur d’armoire, ou du coupeur de pieds, ou du gars dont l’oncle s’est fait dévorer par un ours.
En una hondonada de las verdigrisáceas colinas de la lluviosa Irlanda vivía una anciana cuyo tío siempre apoyaba a Cambridge en la regata.
Dans une vallée des vertes collines de la pluvieuse Irlande vivait une très, très vieille femme dont l’oncle pariait toujours pour Cambridge lors des grandes régates.
Fue la menor de las cinco hijas de Mary Everest (cuyo tío dio nombre a la montaña más alta del planeta) y George Boole, el famoso matemático.
Elle était la plus jeune des cinq filles de Mary Everest (dont l’oncle a donné son nom au plus haut sommet de notre planète) et de George Boole, le célèbre mathématicien.
–Y ese muchacho, José, cuyo tío es un excelente tirador, me dijo que la agachadiza, becasina, Gallinago gallinago, la misma ave que tenemos nosotros, fue la primera en emigrar a Chile para anidar.
— Et pourtant, le cher José, dont l’oncle est un excellent fusil, m’a dit que la bécassine — becasina, Gallinago gallinago, le même oiseau que le nôtre — était le tout premier des oiseaux migrateurs qui viennent ici nicher.
–¿Usaban guantes? –No, señor, con las manos envueltas en tela, aunque el hijo del cochero (cuyo tío, un auténtico luchador, propietario de la fonda de Clumpton, le enseñó mucho) tenía guantes, y él fue quien me enseñó.
— Utilisiez-vous des gants ? — Non, monsieur, juste des bandages. Mais il y avait aussi le fils du cocher dont l’oncle était un vrai boxeur qui tenait l’auberge de Clumpton et qui lui avait appris beaucoup de choses — il avait des gants et il m’a appris.
Dicho hueco había sido creado por un empleado de Microsoft, cuyo tío predilecto había fallecido en el norte de Vietnam cuando pilotaba un bombardero F-105, y que desempeñaba su labor patriótica con el desconocimiento absoluto de la empresa para la que trabajaba.
La niche avait été créée par un ingénieur de Microsoft dont l'oncle préféré avait trouvé la mort au-dessus du Nord-Vietnam aux commandes d'un chasseur-bombardier F105 et qui avait accompli son devoir patriotique entièrement à l'insu de son employeur.
Su padre, un médico militar oriundo de Coria, cuyo tío había sido médico de Alfonso XII, murió a los pocos meses, y la madre, María Rosario Mazas y Orbegozo, buscó de inmediato la protección de su familia en Bilbao.
Son père, un médecin militaire originaire de Coria dont l’oncle avait été le médecin d’Alphonse XII, mourut quelques mois plus tard et sa mère, Maria Rosario-Mazas y Orbegozo, chercha aussitôt la protection de sa famille à Bilbao.
Plinio el Joven —cuyo tío «el Viejo» fue uno de los críticos más estridentes de la extravagancia, en todos los aspectos, desde mesas de una sola pata hasta llevar varios anillos en el mismo dedo— describió su propia villa en el campo, a unos pocos kilómetros de Roma, en una de sus cartas. Era, explicaba, «adecuada a su propósito y no demasiado cara de mantener». A pesar de esta modesta descripción, en realidad era enorme, con comedores para las diferentes estaciones, un baño privado y piscina, patios y pórticos con sombra, calefacción central, abundante agua corriente, un gimnasio, salones soleados con ventanas pintadas que daban al mar, y jardines con escondites donde Plinio, que no era un hombre dado a la ruidosa diversión, podía escapar del bullicio de las fiestas en los escasos días en que los esclavos tenían vacaciones.
Pline le Jeune − dont l’oncle, Pline l’Ancien, fut l’un des plus féroces contempteurs de l’opulence, qu’il décelait en toutes sortes de choses, depuis les tables à un pied au simple fait de porter plusieurs anneaux au même doigt − nous a laissé dans une de ses lettres une description de la villa qu’il possédait à la campagne, à quelques kilomètres de Rome. « La villa est d’une grande commodité et sans grand entretien », explique-t-il. Malgré toute la modestie émanant de ces derniers mots, il s’agissait en réalité d’une résidence impressionnante, dotée de plusieurs salles à manger affectées aux différentes saisons, de bains privés, d’une piscine, de patios et de portiques ombragés, du chauffage central, de l’eau courante, d’un gymnase, de salons ensoleillés pourvus de fenêtres donnant sur la mer, et de jardins dissimulés où le maître des lieux, qui n’était pas homme à rechercher les réjouissances tapageuses, pouvait échapper au bruit des fêtes qui se donnaient en ces journées rares où les esclaves pouvaient jouir d’un congé.
Busco los pensamientos del zamparmarios, o del cortapiés, o del tipo cuyo tío fue devorado por un oso.
Je cherche les pensées du mangeur d’armoire, ou du coupeur de pieds, ou du gars dont l’oncle s’est fait dévorer par un ours.
En una hondonada de las verdigrisáceas colinas de la lluviosa Irlanda vivía una anciana cuyo tío siempre apoyaba a Cambridge en la regata.
Dans une vallée des vertes collines de la pluvieuse Irlande vivait une très, très vieille femme dont l’oncle pariait toujours pour Cambridge lors des grandes régates.
Fue la menor de las cinco hijas de Mary Everest (cuyo tío dio nombre a la montaña más alta del planeta) y George Boole, el famoso matemático.
Elle était la plus jeune des cinq filles de Mary Everest (dont l’oncle a donné son nom au plus haut sommet de notre planète) et de George Boole, le célèbre mathématicien.
–Y ese muchacho, José, cuyo tío es un excelente tirador, me dijo que la agachadiza, becasina, Gallinago gallinago, la misma ave que tenemos nosotros, fue la primera en emigrar a Chile para anidar.
— Et pourtant, le cher José, dont l’oncle est un excellent fusil, m’a dit que la bécassine — becasina, Gallinago gallinago, le même oiseau que le nôtre — était le tout premier des oiseaux migrateurs qui viennent ici nicher.
–¿Usaban guantes? –No, señor, con las manos envueltas en tela, aunque el hijo del cochero (cuyo tío, un auténtico luchador, propietario de la fonda de Clumpton, le enseñó mucho) tenía guantes, y él fue quien me enseñó.
— Utilisiez-vous des gants ? — Non, monsieur, juste des bandages. Mais il y avait aussi le fils du cocher dont l’oncle était un vrai boxeur qui tenait l’auberge de Clumpton et qui lui avait appris beaucoup de choses — il avait des gants et il m’a appris.
Dicho hueco había sido creado por un empleado de Microsoft, cuyo tío predilecto había fallecido en el norte de Vietnam cuando pilotaba un bombardero F-105, y que desempeñaba su labor patriótica con el desconocimiento absoluto de la empresa para la que trabajaba.
La niche avait été créée par un ingénieur de Microsoft dont l'oncle préféré avait trouvé la mort au-dessus du Nord-Vietnam aux commandes d'un chasseur-bombardier F105 et qui avait accompli son devoir patriotique entièrement à l'insu de son employeur.
Su padre, un médico militar oriundo de Coria, cuyo tío había sido médico de Alfonso XII, murió a los pocos meses, y la madre, María Rosario Mazas y Orbegozo, buscó de inmediato la protección de su familia en Bilbao.
Son père, un médecin militaire originaire de Coria dont l’oncle avait été le médecin d’Alphonse XII, mourut quelques mois plus tard et sa mère, Maria Rosario-Mazas y Orbegozo, chercha aussitôt la protection de sa famille à Bilbao.
Plinio el Joven —cuyo tío «el Viejo» fue uno de los críticos más estridentes de la extravagancia, en todos los aspectos, desde mesas de una sola pata hasta llevar varios anillos en el mismo dedo— describió su propia villa en el campo, a unos pocos kilómetros de Roma, en una de sus cartas. Era, explicaba, «adecuada a su propósito y no demasiado cara de mantener». A pesar de esta modesta descripción, en realidad era enorme, con comedores para las diferentes estaciones, un baño privado y piscina, patios y pórticos con sombra, calefacción central, abundante agua corriente, un gimnasio, salones soleados con ventanas pintadas que daban al mar, y jardines con escondites donde Plinio, que no era un hombre dado a la ruidosa diversión, podía escapar del bullicio de las fiestas en los escasos días en que los esclavos tenían vacaciones.
Pline le Jeune − dont l’oncle, Pline l’Ancien, fut l’un des plus féroces contempteurs de l’opulence, qu’il décelait en toutes sortes de choses, depuis les tables à un pied au simple fait de porter plusieurs anneaux au même doigt − nous a laissé dans une de ses lettres une description de la villa qu’il possédait à la campagne, à quelques kilomètres de Rome. « La villa est d’une grande commodité et sans grand entretien », explique-t-il. Malgré toute la modestie émanant de ces derniers mots, il s’agissait en réalité d’une résidence impressionnante, dotée de plusieurs salles à manger affectées aux différentes saisons, de bains privés, d’une piscine, de patios et de portiques ombragés, du chauffage central, de l’eau courante, d’un gymnase, de salons ensoleillés pourvus de fenêtres donnant sur la mer, et de jardins dissimulés où le maître des lieux, qui n’était pas homme à rechercher les réjouissances tapageuses, pouvait échapper au bruit des fêtes qui se donnaient en ces journées rares où les esclaves pouvaient jouir d’un congé.
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