Similar context phrases
Translation examples
Mike le da un codazo.
Mike la pousse du coude.
la tierra me está dando codazos.
La terre me pousse du coude !
Y asesta un codazo a su hermana.
Et elle pousse sa sœur du coude.
Maurice me da un codazo.
Maurice me pousse du coude.
Di un codazo a Maurice.
J’ai poussé Maurice du coude.
Maryse me da un codazo.
Maryse me pousse du coude.
Zerati me dio un codazo.
Zérati m’a poussé du coude.
Sadie me dio un codazo y susurró:
Sadie m’a poussé du coude :
Walt me dio un codazo. —Esto, Sadie…
Walt m’a poussée du coude. – Hum ! Sadie…
Y que nadie dé un codazo y las vuelque.
Et à ce que personne non plus ne les pousse du coude ou les renverse.
Ella le dio un codazo amistoso.
Elle lui donna un petit coup dans les côtes.
Dio un codazo a Elmer.
Il donne un petit coup de coude à Elmer.
Me dio un pequeño codazo.
Elle m’a donné un petit coup de coude.
Luke le dio un codazo.
Luke lui donna un petit coup de coude.
Dio un codazo a Cuda.
Il donna un petit coup de coude à Cuda.
Maya me da un codazo en el costado.
Maya me donne un petit coup de coude.
Bryson le dio un codazo con suavidad.
Bryson lui donna un petit coup de coude.
Blanchard me vio y le dio un codazo.
Blanchard m’aperçut et lui donna un petit coup de coude.
Cormac da un codazo a Carl.
Cormac donne un petit coup de coude à Carl.
Le di un codazo a John, que estaba durmiendo.
J’avais donné un petit coup de coude à John, qui dormait.
Angie había metido la suya en el bolsillo y ambos caminábamos lentamente hacia delante, esquivando a la multitud e intercambiando con ella algún que otro codazo.
Angie avait fourré sa main dans sa poche, et nous avancions tous les deux à pas mesurés, au milieu des flots de gens qui passaient en nous bousculant de temps à autre.
Cuando pasaron a su altura Martin tuvo que echarse a un lado y casi acabó en la cuneta. Atrajo a Javeed más hacia sí mismo y se aguantó las ganas de darle un codazo en los morros al motorista que tenía más cerca. Una vez que la puerta de la tienda se cerró tras ellos se relajó y Javeed corrió a abrazar a su tío con regocijo.
Quand Martin, sur leur passage, dut s’écarter presque jusque dans le caniveau, il attira son fils contre lui et réprima une envie vengeresse de fourrer son coude dans la figure du plus proche. La porte de la boutique refermée, il se détendit.
Su descenso de la escalera, con la obediente Besi detrás, fue lento, obstaculizado por el meloso hostigamiento de la parentela, de aquellos Odim que graznaban como estorninos a cada peldaño, remugando sin mendigar del todo, dando codazos sin llegar a empujar, rozándolo sin golpear, dando voces que tampoco llegaban a gritos, alzando en brazos a unos pequeños Odim para que fuesen inspeccionados sin plantárselos del todo en plena cara, sacando todo el provecho posible de su diaria espiral escaleras abajo…
Docilement suivi par Besi, il mit du temps à descendre les escaliers en raison du barrage que lui faisait sa famille, tous ces Odim qui piaillaient comme des étourneaux sur chaque marche, cajoleurs sans aller jusqu’à quémander, chahuteurs sans aller jusqu’à bousculer, peloteurs sans aller jusqu’à agresser, brailleurs sans aller jusqu’à hurler, porteurs de petits Odim en robe qu’ils lui présentaient sans aller tout à fait jusqu’à les lui fourrer sous le nez tandis qu’il décrivait sa spirale quotidienne vers le rez-de-chaussée.
(No vayáis a desperdiciar veinticinco centavos en eso porque, en primer lugar, es todo mentira, les había dicho Ewan a los niños). Lo más ridículo de todo era aquella cosa que habían metido en un frasco de treinta centímetros, un bebé hermafrodita, una criatura con cabeza y torso y sólo dos brazos largos y delgaduchos, pero del estómago le salía otro par piernas y partes pudendas… Las chicas se alejaron de aquel objeto, una o dos hasta se taparon los ojos con los dedos, pero Yolande, dándoles un leve codazo, mientras salían a la luz del día riéndose, les dijo: —¡Eso es un muñeco de goma absurdo que han metido en ese frasco! El ataque de risa pasó.
(Vous n’allez pas gaspiller vingt-cinq cents pour voir ce genre de spectacle parce que de toute façon c’est du toc, avait dit Ewan aux enfants.) Le plus grotesque de tout était une chose dans un bocal de trente centimètres de haut, le bébé hermaphrodite, une créature avec une seule tête et un seul torse, et seulement deux bras maigrichons, alourdie cependant par une seconde paire de jambes et d’autres organes génitaux qui lui sortaient de l’estomac… Les filles reculèrent en voyant l’exposition, une ou deux se cachèrent même les yeux avec leurs doigts, mais Yolande, se moquant d’elles, dit : « Oh, c’est une absurde vieille poupée de caoutchouc qu’ils ont fourrée là-dedans !… » et elles se précipitèrent dehors en riant sous le soleil. Son accès de fou rire passa.
21 Me había fascinado ver, en el Teatro Colonial de la plaza Garibaldi en México, a los hombres debatirse para abrevarse en el sexo de las mujeres, alzarse, apoyándose en los brazos de sus asientos tras dar un codazo a un amigo o a un viejo verde para impedirles que hicieran lo mismo, hasta la pasarela en la que ellas desfilaban iluminadas por un haz de luz, eligiendo entre la gente una cabeza para metérsela entre los muslos abiertos; yo, mientras, sentado a un lado en un banco de madera, asustado y aturdido, encogiéndome e incrustándome en el banco a medida que se desarrollaba el espectáculo más primario y más bello del mundo, esa comunión de los hombres en el vello de las mujeres, ese impulso juvenil por alcanzarlo incluso en los hombres más viejos, yo los devoraba con los ojos y el corazón palpitante, desapareciendo casi debajo de mi asiento por temor a ser escogido por una de aquellas bailarinas de strip-tease, pues para mí meter el morro en su triángulo habría sido como desvanecerme definitivamente del mundo, como perder en él mi cabeza para siempre, y la mamona avanzaba hacia mí provocándome, se acercaba cada vez más, convirtiendo mi terror en el hazmerreír de los demás jóvenes, dispuesta a ponerse en cuclillas ante mi rostro y agarrar mi cabeza rizada, la única rubia una vez más de todo el público, y zarandearla hasta que mis labios se abrieran para rendir culto a la raja y beber la sed de los jóvenes que se habían saciado en ella, pero de repente las luces volvieron a encenderse, la bailarina de strip-tease sorprendida se estremeció, recogió una bata de una silla y se fue corriendo, y los acomodadores hicieron salir con silbatos, cuando no a latigazos, como si se tratara de animales, a los jóvenes sedientos o ahítos, que habían perdido su ardor repentinamente, como si todo no hubiese sido más que una ilusión óptica, una ilusión de la sombra, a la luz en la que volvían a ser trabajadores agotados, con trajes anodinos y estrechos, y que habían escondido a sus mujeres en el asiento de al lado.
21 J’avais été ébloui, au Teatro colonial, place Garibaldi à Mexico, de voir les hommes se battre pour s’abreuver au sexe des femmes, se hisser de leurs sièges en traction sur leurs bras, après avoir assommé un pote à soi ou un vieux cochon pour qu’ils y renoncent, vers la passerelle où elles défilaient dans leur pinceau de lumière, choisissant une tête dans la foulée pour la plaquer entre leurs cuisses écartées, moi assis à l’écart sur un de ces bancs de bois, terrorisé et étourdi, rétrécissant et m’incrustant dans ce banc au fur et à mesure du déroulement du spectacle le plus primaire et le plus beau du monde, cette communion des hommes dans la toison des femmes, cet élan juvénile même des plus âgés pour l’atteindre, je les buvais des yeux le cœur battant, disparaissant quasiment sous mon siège de crainte d’être élu par une des strip-teaseuses, car pour moi fourrer mon museau dans leur triangle c’était m’évanouir définitivement du monde, et y perdre ma tête à jamais, l’effeuilleuse avançait dans ma direction en me narguant, s’approchait toujours plus près, désignant mon effroi comme un élément comique à la risée des autres jeunes hommes, prête à s’accroupir devant ma face et saisir ma tête bouclée, la seule blonde encore de toute l’assistance, et la malmener jusqu’à ce que mes lèvres s’entrouvrent pour honorer la fente, et boire la soif des jeunes hommes qui s’y étaient assouvis, mais d’un seul coup les lumières se rallumèrent, la strip-teaseuse surprise frissonna, ramassa un peignoir sur une chaise et détala, et les ouvreurs firent sortir comme des bêtes, à coups de sifflet sinon de fouet, les jeunes hommes assoiffés ou rassasiés, qui avaient perdu leur fougue en un éclair comme une illusion d’optique, une illusion de l’ombre, dans la lumière où ils redevenaient des travailleurs épuisés, aux costumes ternes et étriqués, qui avaient caché leur femme dans le fauteuil à côté d’eux.
—preguntó Voroshenin, pero fue una descortesía, un codazo malicioso a los anfitriones chinos.
C’était une pique brutale à l’intention de ses hôtes chinois.
—Tenía algunos esclavos —dijo Rose—, pero los he liberado. Al menos, un codazo a Sol Eaglin.
« J’avais quelques esclaves, déclara Rose, mais je les ai libérés. » Au mieux, une pique destinée à Sol Eaglin.
Ida le propinó un codazo. —No sigas por ahí. Ya hemos oído hablar de tu número de «chica en una jaula dorada» y a Charlie no le gusta. Esto está relacionado con Ruby y no contigo y tu deseo de arrebatarle el puesto en el espectáculo.
« Arrête un peu. On a toutes entendu parler de ton histoire de fille dans une cage dorée. Charlie n’en veut pas. Et c’est de Ruby qu’il s’agit, pas de toi – n’en profite pas pour essayer de lui piquer sa place. »
Bien que me ocupé de hacer funcionar el rancho cuando su hijo era demasiado pequeño para poder ayudar y su marido demasiado… —Estivar retuvo bruscamente el aliento, como alguien a quien le han dado un codazo de advertencia en el estómago. —¿Demasiado qué?
J’ai fait marcher ce ranch pour elle quand son fils était trop jeune pour être utile à quoi que ce soit, et son mari trop… Il aspira brusquement l’air, comme si quelqu’un lui avait piqué l’estomac avec un bâton, à titre d’avertissement. — Trop quoi ?
¿Seguirá siendo importante que Viviane sea capaz de darle de codazos al maleducado que la empujó en una estación de tren, que se atreva a darle una patada en los testículos a cualquier cerdo que haya alargado las manos en un supermercado, que pueda levantarle la voz a cualquier prepotente que trate de apropiarse de su espacio de estacionamiento?
Faudra-t-il que Viviane soit toujours capable de donner des coups de coude dans les côtes d’un grossier personnage qui resquille dans une gare, des coups de pieds dans les couilles du premier porc qui a la main baladeuse dans un supermarché, d’élever la voix face à n’importe quel rustre qui essaie de vous piquer une place dans un parking ?
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