Translation for "careciendo" to french
Translation examples
Nos ha recibido pobres y careciendo de todo, ¿y qué falta ahora a estos cinco hijos que le han caído del cielo?
Elle nous a reçus, pauvres et manquant de tout, et que manque-t-il à ces cinq enfants qui lui sont tombés du ciel ?
Había muchas mujeres y niños, no careciendo las primeras de lo que puede llamarse belleza personal.
Il y avait aussi une multitude de femmes et d’enfants, celles-ci ne manquant pas absolument de ce qu’on peut appeler beauté personnelle.
Careciendo de los ataques aéreos que tan desesperadamente solicitaban, sitiados en el perímetro, sufriendo un bombardeo casi constante de mortero y, en algunos lugares, combatiendo cuerpo a cuerpo, los Diablos Rojos depositaban sus esperanzas en las columnas de Guardias que creían estaban avanzando hacia ellos.
Manquant du soutien aérien dont ils avaient désespérément besoin, enfermés dans un périmètre de plus en plus exigu, soumis à de constants tirs de mortiers et se battant par endroits au corps à corps, les Red Devils mettaient tous leurs espoirs dans une proche arrivée des colonnes blindées des Guards.
Su personal, careciendo de la experiencia robótica, no lo desarmaría debidamente y, de hacerlo, no podría repararlo.
Compte tenu de votre manque d’expérience en matière de robotique, vous ne pourriez convenablement le démanteler et ne sauriez peut-être pas le réparer ensuite.
Mas cuando aquel amor le faltó, careciendo de amigos y muerto también su preceptor, encontróse solo en el mundo.
Mais, lorsque cet amour vint à lui manquer, n'ayant jamais eu d'amis, et son précepteur étant mort, il se trouva seul au monde.
«El ingrediente esencial del que el sector público sigue careciendo, y que el sector privado es perfectamente capaz de aportar», había escrito Ronald Culpepper, «se puede resumir en una palabra: Gestión». La objeción de que esas iniciativas habían fracasado en un pasado reciente (en el caso de la privatización del sistema ferroviario, por ejemplo) era rotundamente rechazada como «derrotista».
« L’élément vital qui manque encore au secteur public [avait écrit Ronald Culpepper], et que le secteur privé est parfaitement en mesure de lui fournir, peut se résumer en un mot : le management. » Ceux qui objectaient que de telles initiatives avaient récemment connu des échecs cuisants — par exemple dans le cas de la privatisation des chemins de fer — se voyaient taxer de « défaitistes ».
dormir de pie, en resumen, con un sueño muy insensible, cuyas diferencias reales, con la vida más usual serían imperceptibles para un observador no avisado, o careciendo de instrumental para observar estadísticamente los débiles temblores circulares que delatan, en el ojo apagado del durmiente de pie (hombres 48, de largo) la persistencia retiniana de algún sobresalto biológico; pero con todo era una historia «para dormir de pie» la que Schilthuis tenía la pretensión de contar, o, si se prefiere, una historia para levantar los brazos al cielo, para no dar crédito a sus oídos, para hacerse cruces, quedarse uno frío o hecho una pieza, para pellizcarse para comprobar que no estamos soñando, para proclamar bien alto que la realidad supera a la ficción (también esta es una frase hecha, que denuncia debidamente la cobardía, la falta de imaginación, la vulgaridad mental y la rutina ideológica de un porcentaje indeterminado, pero sin duda considerable, de los seres pertenecientes a la especie humana), una historia, en resumen, digna de la más descabellada de las novelas folletinescas. Justamente.
dormir debout, en somme, d'un très insensible sommeil, dont les différences réelles d'avec la vie la plus courante seraient imperceptibles à un observateur non averti, ou non outillé pour déceler statistiquement les minces frémissements circulaires qui trahissent, dans l'œil éteint du dormeur debout (hommes 48, en long) la persistance rétinienne de quelque soubresaut biologique — mais c'était quand même une histoire à dormir debout que Schilthuis avait la prétention de raconter, ou alors, si l'on préfère, une histoire à lever les bras au ciel, à n'en pas croire ses oreilles, à tomber de son haut, à avoir les bras qui vous en tombent — ah ! vraiment, les bras m'en tombent ! — à se frotter les yeux, à se pincer pour voir si on ne rêve pas, à proclamer bien haut que la réalité dépasse la fiction (phrase encore une fois toute faite, qui dénonce bien la lâcheté, le manque d'imagination, le terre-à-terre et le train-train idéologique d'un pourcentage indéterminé, mais certes considérable, des appartements à l'espèce humaine), une histoire, en somme, digne du plus sombre des romans-feuilletons.
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