Translation for "birome" to french
Translation examples
Yo tampoco entiendo una palabra», le dice su madre alcanzándole una birome.
Moi non plus, je ne comprends pas un mot, lui dit sa mère en lui tendant un stylo.
Ha llegado incluso a sentarse a la mesa con el billete ante él, bien alisado, y una birome en la mano, a pensar el texto de la plegaria que inventará. Su propia oración.
Il est en est même venu à s’asseoir à table, le billet devant lui, bien lissé, et un stylo à la main, pour réfléchir au texte de la prière qu’il va inventer.
Como el de los mozos, ¿viste?», dice la chica, que se saca la punta de la birome de la boca y se abalanza sobre la lucecita verde que titila en el teléfono: «Volumen Uno, ¿buenas tardes?».
Comme les garçons de café, vous voyez ce que je veux dire ? », répond la fille, qui retire la pointe du stylo de la bouche et se balance sur la petite lumière verte du téléphone en train de clignoter : « Volume 1, bon après-midi ! »
Sobre una lona en el suelo había una linterna, un termo, una taza, un paquete de té en saquitos, otro de galletas, una botella de agua, un calentador y varias cosas más, todas inservibles (un tenedor, una birome, una revista coreana).
Sur un carré de toile posé par terre, il y avait une lampe, un thermos, une tasse, des sachets de thé, un paquet de biscuits, une bouteille d’eau, un réchaud et diverses autres choses totalement inutiles (une fourchette, un stylo bille, un magazine coréen).
Sentada junto al ventanal del hotel, en camisón, con su bello impermeable italiano sobre los hombros, sueña despierta, un poco embriagada por los vahos del coñac, con un cazador de truculencias inmobiliarias, una de esas aves de carroña que patrullan en Hollywood los barrios de las estrellas con la chequera y la birome listas, en busca de mansiones abandonadas o decrépitas pero con el mármol del baño salpicado de sangre, los techos de oro labrado con agujeros de bala, los cobertizos estampados de restos de masa encefálica. Por qué no.
Assise près de la baie vitrée de l’hôtel, en chemise de nuit, son bel imperméable italien sur les épaules, elle rêve éveillée, un peu enivrée par les vapeurs du cognac, d’un chasseur de truculences immobilières, d’un de ces oiseaux charognards qui, à Hollywood, arpentent les quartiers des stars avec le chéquier et le stylo toujours prêts, à la recherche de villas abandonnées ou décrépites mais avec le marbre de la salle de bains éclaboussé de sang, les plafonds en or ciselé criblés d’impacts de balles, les auvents maculés de restes de masse encéphalique.
Lo reconozca o no, el mismo cantautor de protesta es el que más tarde, terminado el concierto, cuando en el «pub» sólo quedan «los amigos», su padre entre ellos, naturalmente, y él, a modo de sidecar, con su padre, y su padre lo lleva a conocerlo —es él, el inmundo, con sus gafas redondas, sus rulitos tirabuzón, su aire de cuarentón que se niega a colgar la toalla, el que le da la clave del fenómeno. «Mi hijo», anuncia su padre cuando llegan hasta él, que, sentado en el borde del escenario, firma unos autógrafos. El cantautor devuelve una birome, achina los ojos y lo mira maravillado, como si él fuera ¿qué?, ¿una hogaza de pan tibio, recién horneado?, ¿un crepúsculo?, ¿un arma cargada de futuro?
Qu’il l’admette ou non, c’est le chanteur engagé en personne qui, plus tard, à l’issue du concert, quand il ne reste dans le pub que « les amis », dont naturellement son père, et lui en guise de side-car, et que son père l’emmène faire sa connaissance, c’est le chanteur engagé, cet immonde personnage, avec ses lunettes rondes, ses bouclettes tire-bouchonnées et son air de quadragénaire refusant de raccrocher les gants, qui lui fournit la clé du problème « Mon fils », annonce son père lorsqu’ils arrivent jusqu’à lui, qui signe des autographes assis sur le bord de la scène. Le chanteur engagé rend son stylo à quelqu’un, plisse les yeux et le regarde émerveillé comme s’il était, quoi ? Une miche de pain chaud à peine sortie du four ? Un coucher de soleil ? Un revolver chargé de futur ?
[…] Una tarde él hace cola frente al kiosco y mientras busca en la miscelánea de clips, botones, capuchones de birome y cospeles de subte que tiene en la palma de la mano la moneda traidora que le había prometido un alfajor y ahora se lo niega, demorada en el doble fondo de algún bolsillo descosido, siente que alguien lo atropella de atrás —la avalancha típica del hambre vespertina y se vuelve en un pico de ira, dispuesto a todo, y descubre su cara blanca, impecable, apenas sombreada de rosa, como rejuvenecida por una lluvia benéfica, y sus ojos claros y sonrientes mirándolo desde la altura, desde esos ocho centímetros que le saca y que él siempre ha aceptado como un canje justo, en pago por los dos años que le lleva él.
[…] Un après-midi, il fait la queue devant le kiosque et, alors qu’il cherche parmi le mélange de trombones, de boutons, de capuchons de stylos et de tickets de métro qu’il a dans le creux de la main la traîtresse pièce de monnaie qui lui a promis une pâtisserie et à présent la lui refuse, cachée dans le double fond d’une poche décousue, il sent que quelqu’un le bouscule par-derrière – un choc caractéristique, signe d’une petite faim vespérale –, se tourne sous le coup de la colère, prêt à tout, et découvre son visage blanc, parfait, tout juste coloré de rose, comme rajeuni par une pluie bienfaisante, et ses yeux clairs et souriants qui l’observent de haut, de ces huit centimètres supplémentaires qu’il a toujours acceptés comme le juste prix à payer en contrepartie de ses deux années de plus que lui.
No hay interrupciones ni contratiempos —salvo quizás dos momentos extraños, uno en el que una de las chicas de lavado patrulla el salón con un anotador y una birome en la mano, recogiendo el menú que cada peluquero quiere para el almuerzo, y cuando llega hasta el puesto de Celso, que ya se dispone a pedir, se ensimisma de golpe en su anotador —una confusión de ensaladas, al parecer, que haría peligrar todo el pedido—, pega un saltito de alarma y se lo saltea sacudiendo su cola de caballo, y, un rato después, el otro, cuando lo ve abstraerse de pronto y fruncir el ceño, y sin dejar de cortar, más bien demorándose, ralentando el movimiento de los dedos, encauza la atención que distrajo del corte hacia algo que sucede más allá, y que él deduce —porque no bien se oye el bip de un teléfono que cuelga, Celso retoma su ritmo normal, de colibrí— que era la conversación que el dueño del salón mantenía por teléfono.
Il n’y a ni interruptions ni contretemps, sauf peut-être à deux moments bizarres, un moment au cours duquel une des shampouineuses fait le tour du salon avec un carnet et un stylo à la main, pour noter ce que chaque coiffeur désire pour son déjeuner ; et lorsqu’elle arrive au poste de Celso, qui est déjà prêt à faire sa demande, elle se concentre soudain sur son carnet – une erreur de salades, semble-t-il, qui mettrait en péril l’ensemble de la commande –, pousse un petit cri d’alarme et passe au suivant en secouant sa queue-de-cheval ; puis, un peu plus tard, un autre moment, où il s’aperçoit que le coiffeur pense soudain à autre chose en fronçant les sourcils, et sans cesser de lui couper les cheveux, juste en se contentant de se maîtriser, de ralentir le mouvement des doigts, dirige toute l’attention qu’il portait à sa coupe de cheveux vers ce qui est en train de se passer un peu plus loin, et qu’il pense être – car à peine entend-on le bip d’un combiné qu’on raccroche, Celso reprend son rythme normal, de colibri – la conversation qu’avait engagée le patron du salon de coiffure au téléphone.
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