Translation for "végéte" to spanish
Translation examples
— Est-ce que tu aperçois une trace de végétation ?
—¿Ves alguna vida vegetal?
De la végétation boursouflée et incolore, presque informe.
Vegetales abultados sin color, casi informes.
Il avait vu la végétation apparaître et croître dans des conditions totalement inhospitalières.
Había visto vida vegetal en las condiciones más inhóspitas.
Partout régnait le doux verdoiement d’une végétation luxuriante.
El suave verdor de la exuberante vida vegetal destacaba por doquier.
C’est de là que le lion tire ses protéines : de la végétation absorbée par les herbivores.
De ahí es de donde saca la proteína el león: de los vegetales que ha comido el herbívoro.
Une douce brise faisait onduler la végétation… Une brise ? Ou…
Una brisa suave hacía susurrar la vida vegetal que lo rodeaba. ¿Una brisa? ¿O se trataba de…?
Le silence et cette douce odeur de végétation pourrissante commençaient à apaiser sa fièvre.
Ese silencio, y el olor orgánico y estimulante de la putrefacción vegetal le aliviaron la fiebre.
— Vous vous êtes consacrée à la vie animale, mais vous avez également étudié la végétation ?
–Hasta ahora se han dedicado al estudio de la vida animal, pero presumo que también han hecho sus investigaciones sobre vida vegetal, ¿no es así?
Toute forme de vie alentour, y compris la végétation, suspend ses activités, et attend.
Todos los seres vivos que hay en la zona, incluso los vegetales, interrumpen lo que están haciendo y esperan.
Il y a des supermarchés de produits indéchiffrablement étiquetés en chinois et des boutiques de fruits et légumes où l’on vend des tubercules recouverts d’une chevelure de racines ainsi que des légumes dont la forme et la couleur ne ressemblent à celles d’aucune plante connue, comme s’ils appartenaient à la végétation d’une planète lointaine.
Hay supermercados de productos indescifrablemente etiquetados en chino y tiendas de hortalizas y de frutas en las que se venden tubérculos con masas de raíces como cabelleras y verduras con formas y colores que no se parecen a los de ninguna planta conocida, como si pertenecieran a la botánica de un planeta remoto.
Les formes les moins visibles étaient celles vêtues de kaki, les soldats. Quant aux autres, habillés en civil, je supposai qu’il s’agissait des visiteurs venus là par ce jour maudit. Les miliciens se souciaient comme d’une guigne des potagers et des légumes frais, aussi avaient-ils laissé la végétation reprendre ses droits et recouvrir cette fosse commune.
Los menos visibles eran los soldados, con sus uniformes caquis, y los hombres, mujeres y niños que estaban visitando el museo cuando habían caído los cohetes, vestidos con las típicas prendas de colores apagados de tiempos de guerra. A los Camisas Negras no les importaban las verduras del huerto: tenían toda la comida de Londres a su disposición. Así que habían convertido el huerto en una gran fosa común. No, no me había equivocado.
Derrière l’établissement, on apercevait une rangée de cyprès, dont la forme se mariait parfaitement avec le caractère du paysage. Smade introduisit de nouveaux éléments dans l’écologie du lieu. Dans une vallée abritée, située derrière la taverne, il fit planter du fourrage et des plantes maraîchères. Dans une autre, il élevait un petit troupeau de ruminants et de la volaille. Ces innovations rencontraient un succès modéré, mais animaux et végétation ne montraient aucune disposition à se développer sur toute la planète.
En la parte trasera había plantado un grupo de cipreses, cuya forma y follaje completaban apropiadamente el panorama. Smade introdujo otras innovaciones en la ecología del entorno: en un valle abrigado tras el Refugio plantó forrajes y verduras, v en otro reunió un rebaño de ganado de buena carne, además de un buen número de aves de corral de especies variadas. La reproducción se desenvolvió moderadamente bien, sin mostrar disposición a repoblar el planeta.
Voici les maisons, les personnes, les rues vivantes, l’ombre et le soleil, les arbres, les corps métalliques et mobiles que sont les voitures, les tramways, les autobus, voici les magasins avec des objets suspendus ou rangés dans un espace qui n’ose pas se dilater, ou exposés derrière la protection de vitres, voici la pierre, l’asphalte, les enduits sous les couleurs, les carreaux de faïence, voici les voix, le vacarme de la circulation, voici la poussière, les ordures et le vent qui les pousse, voici l’échafaudage derrière lequel s’élève une nouvelle maison et l’échafaudage derrière lequel une vieille maison est démolie, voici les monuments, presque toujours ornés d’hommes et de quelques rares femmes héraldiques, et d’autres animaux héraldiques, ou symboliques, ou utiles, lions, chevaux, bœufs de labour, voici la ville vue de près, image parmi une infinité d’autres, et à présent vue de loin, de l’autre côté du fleuve, du haut de ce pont qui est aussi ville, voici l’écorce vivante au-dessus de la terre morte, ou vivante uniquement dans les eaux et la végétation qui jaillit et éclot dans des interstices admis ou irrépressibles, voici l’ondulation, suave vue de loin, des maisons, des toits, des couleurs qui, même violentes, sont estompées par la distance et par cette lumière de l’après-midi, juste avant cette autre lumière dite du soir, sans que ces dénominations disent quoi que ce soit, car la lumière et ses différentes qualités ne peuvent être traduites en mots, pas plus que cette ville, faite de tout ce qui vient d’être écrit et de tout ce qui manque, et qui n’est ni proche ni distant, qui est probablement inaccessible, comme le cerveau qui la commande et les hommes et les femmes qui y sont sans y être.
He ahí las casas, las personas, las calles animadas, la sombra y el sol, los árboles, esos cuerpos metálicos moviéndose que son los automóviles, los tranvías, los autobuses, he ahí las tiendas con cosas colgadas u ordenadas en un espacio que no se atreve a dilatarse o mostradas tras la protección de las cristaleras, he ahí la piedra, el asfalto, las argamasas bajo los colores, los azulejos, he ahí las voces, los ruidos del tráfico, he ahí el polvo, la basura y el viento que los empuja, he ahí el andamio que levanta una nueva casa y el andamio que derriba una casa vieja, he ahí los monumentos, con hombres casi todos y mujeres pocas y heráldicas, y otros heráldicos animales, o simbólicos, o útiles, leones, caballos, algunos bueyes de carga, he ahí la ciudad vista de cerca, imagen entre una infinidad de otras, y ahora vista de lejos, del otro lado del río, desde este puente que es la ciudad también, he ahí la costra viva sobre la tierra muerta, o viva sólo en las aguas y verduras que por intersticios irreprimibles brotan y se abren, he ahí la ondulación, de lejos suave, de las casas, de los tejidos, de los colores, incluso cuando violentos amortiguados por la distancia y por esta luz que es la de la tarde antes inmediatamente de aquella otra luz que solemos llamar del fin de la tarde, sin que decir una y otra diga nada, porque la luz y su diferente calidad no son traducibles en palabras como tampoco es traducible esta ciudad, hecha de todo lo que quedó escrito y de lo que falta, ni próximo ni distante, probablemente inaccesible, como el cerebro que la comanda y los hombres y mujeres que en ella están no siendo.
Adamsberg n’aimait en matière de végétation que les buissons rachitiques et les légumes souterrains.
A Adamsberg, en materia de vegetación, sólo le gustaban los matorrales raquíticos y las hortalizas subterráneas.
[F09-e]   Grévin, à l’instar de son ami Malin, paraissait plus végéter que vivre, il ne se montrait point, il cultivait son jardin, taillait ses arbres, allait examiner ses légumes, ses bourgeons ;
Grévin, a semejanza de su amigo Malin, más que vivir, vegetaba. No salía nunca de casa, cultivaba su jardín, podando los árboles, iba a vigilar como crecían las hortalizas;
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