Translation for "tire-toi" to spanish
Translation examples
— Je suggère qu’on se tire, souffla Brenda.
—Este sería un buen momento para irse —murmuró Brenda.
S’il s’en tire comme ça, chaque jeune mineur s’imaginera qu’il peut partir aussi.
Si se sale con la suya, cualquier joven minero pensará que él también puede irse.
Une sensation oppressante lui monte à la gorge et elle tire Rein par la manche. Elle veut rentrer à la maison. « Mais pourquoi ?
Una sensación de ahogo le subió por la garganta y ella dio un tirón a la manga de Rein. Quería irse a casa. —Pero ¿por qué?
Au lieu de partir, l’agent tire vers elle la chaise tachée de sang, s’assied et le regarde avec une mine indiquant qu’elle s’attend maintenant à l’entendre dire la vérité.
En lugar de irse, la agente tira de la silla con sangre, se sienta y lo mira como diciendo que ahora espera oír la verdad.
J’ai encore envie de jouer avec la marionnette-garçon qui tire la langue mais maintenant le docteur Clay doit aller jouer avec Madame Garber.
Quiero seguir jugando con el títere del niño que saca la lengua, pero el tiempo se ha acabado. El doctor Clay tiene que irse a jugar con la señora Garber.
Mais ça ne l’empêchait pas de boire à tire-larigot. Et puis au moment où elle voulait partir – pour rentrer à la maison, soi-disant – un petit chien l’obligeait à rester en la tirant par le bas de sa robe.
Me cuenta que, de todas formas, bebió grandes cantidades de cerveza, y que justo cuando iba a irse —a casa, explica— un perrito se puso a tirar del dobladillo de su vestido y la obligó a quedarse.
Il avait enfin dans ses bras la Melissa souhaitée : les yeux clos, la bouche entrouverte sur un souffle chaud, tirée du sommeil d’un baiser à la lumière blonde de la chandelle. — Il est l’heure de partir. Mais elle se serrait plus fort contre son corps, geignant de lassitude.
Y allí estaba una Melissa tal como él había proyectado: ojos cerrados, cálida boca abierta respirando, arrancada del sueño con un beso a la rosada luz de la vela. «Es tiempo de irse.» Pero ella se apretaba más y más a su cuerpo, gimoteando de cansancio.
Et à l’inverse je ne te le demande pas… je ne veux rien de toi, je n’ai pas besoin de ton aide, je m’en tire tout seul, Tristano dit qu’il lui avait fallu aller en Espagne, c’était quand c’était, qu’est-ce que ça peut me faire ?, et à toi qu’est-ce que ça peut te faire ?, l’important c’est que Rosamunda lui proposa d’aller en Espagne avec elle, viens avec moi, dit-elle.
Pues, por el contrario, no te lo pido… de ti no quiero nada, no me hace falta tu ayuda, me las apaño por mi cuenta, Tristano había dicho que tenía que ir a Grecia, fuera cuando fuese, ¿qué más me da?, y a ti, ¿qué más te da?, lo importante es que Rosamunda le propuso irse a España con ella, le dijo, vente conmigo.
Sans la protection de la prison pour mineurs où elle s’était retrouvée à l’âge de huit ans et d’où l’avait tirée son avocat, Aarón Azar, avec lequel elle avait vécu si heureuse, sans violence, sans peur pour la première fois, cachée comme elle aimait l’être, sans personne pour la voir ou la molester, seule toute la journée à regarder des films de cow-boys en mangeant du pop-corn, sans que personne sache qu’elle était là tout le temps, dans la pièce voisine, à attendre le retour de son libérateur le soir pour dîner avec lui puis aller se coucher avec lui.
Sin la protección de la cárcel de menores a donde fue a dar a los ocho años de edad y de donde la sacó el abogado Aarón Azar, con quien vivió tan contenta, sin violencia, por primera vez sin miedo, escondida como le gustaba estar, sin que nadie la viera, nadie la tocara, sola el día entero viendo películas de vaqueros y comiendo pop-corn sin que nadie supiera que allí estaba ella todo el tiempo, en la recámara vecina a la sala de Aarón Azar, esperando el regreso de su libertador cada noche para cenar juntos e irse juntos a la cama.
Je m’élance derrière lui, courant moi aussi, mon sang pulsé, à cause que c’est là, il est là, le trou dans le Bruit. Je l’entends. Enfin, je l’entends pas, justement, mais quand je cours vers lui, le vide de ça me touche la poitrine et l’immobilité de ça me tire, et il y a tant de paix dedans, ou non, non, pas paix : silence — tant de silence incroyable que je commence à me sentir vraiment déchiré, comme si j’allais perdre la chose la plus précieuse que j’ai à moi, comme si c’était là, une mort, et je cours et mes yeux se mouillent et ma poitrine s’écrase, et il y a personne pour voir et je veux pas mais mes yeux se mettent à pleurer, ils se mettent à pleurer mes purains d’yeux et je m’arrête une minute et je me plie en deux et Nom, Prénom de Dieu (oh, ça va, hein), je perds une longue interminable minute, une longue purain de minute cassée là — après quoi, bien sûr, le trou s’éloigne, il s’est éloigné, il est parti.
Voy tras él con el corazón en un puño, pues ahí está, ahí está el agujero en el ruido. Lo oigo. O, más bien, no lo oigo, que es precisamente lo extraordinario del fenómeno, y mientras me voy acercando, el vacío que percibo me toca el pecho, la quietud a la que me dirijo tira de mí, y es tal la profundidad del silencio que empiezo a sentir que estoy a punto de romperme en pedazos, de perder lo más valioso que tengo, como si la misma muerte estuviese tomando posesión de mi ser; pero sigo corriendo y los ojos se me nublan y el pecho se me constriñe y, pese a que no hay nada que ver, rompo a llorar, estoy llorando, diablos, y entonces por mí todo puede irse al cuerno porque me he detenido, me quedo parado como un auténtico imbécil durante un largo rato, que es tiempo suficiente para que el agujero se mueva, para que se aleje, para que se haya ido…
— Remballe et tire-toi.
—Recoge tus cosas y vete.
— Tire-toi, merde ! Qu’est-ce que tu veux ?
Vete, ¿qué cojones quieres?
Et tire-toi de mon lit…
¡Y vete a hacer puñetas de mi cama!
Tire-toi de ma chambre et de cette baraque !
¡Vete a tomar por culo fuera de mi cuarto!
Tire-toi de ma ferme, et n’y remets jamais les pieds.
Vete de mi granja y no vuelvas.
Mange-la et tire-toi, Lionel. S’il te plaît. »
Cómetela y vete, Lionel. Por favor.
Tire-toi d’ici, Toni, pour quelque temps.
Vete de aquí, Toni, una temporadita.
— Oublie les fringues. Tire-toi. Maintenant.
—Olvídate de la ropa. Vete. Ahora.
Un oiseau de nuit passa à tire-d’aile au-dessus de sa tête.
Un ave nocturna planeó veloz por encima de su cabeza para luego desaparecer.
Si j’attends, il se pourrait que Harley parle à son patron, se méfie et se tire.
Si espero, Harley podría hablar con su jefe, olerse algo y desaparecer.
Il tire avec un jouet, fait disparaître celui qui se trouve devant lui, un jeu innocent, amusant, sans plus.
Dispara un juguete y hace desaparecer al que tiene delante, un juego inocente, divertido sin más.
Faudrait simplement que je me tire de ce bouge pestilentiel, que je disparaisse quelque part dans une quelconque forêt primitive.
Sencillamente tendrías que desaparecer de este sitio pestilente, perderte en alguna selva primigenia.
 Et soudain, les mauvaises herbes rentrent peu à peu sous terre, comme tirées vers le bas par les racines.
De repente, los hierbajos empiezan a desaparecer, como si algo tirara de las raíces bajo la tierra.
— Elles se reproduisent là-dedans, j'en suis sûr, fit-il en les regardant s'éloigner à tire-d'aile puis disparaître.
—Crían ahí dentro, estoy seguro —dijo mientras observaba cómo salían volando hasta desaparecer—.
À gauche devant je vois des charrettes, tout un chapelet de charrettes tirées par des chevaux et des bœufs, qui disparaissent dans un tournant.
A la izquierda, distingo una caravana de carretas tiradas por bueyes o caballos. Está a punto de desaparecer tras una curva.
Tout le monde ne peut pas être un virtuoso comme vous, signor, et s’enfuir à tire-d’aile quand le temps se gâte.
No todo el mundo puede ser un virtuoso como vos, signor, y desaparecer volando cuando llegan los malos tiempos.
« Si la Matadeira tire, les tours et les murs du Temple du Bon Jésus voleront en éclats et Belo Monte disparaîtra », marmonne-t-il, lugubre.
«Si la Matadeira dispara, volarán las torres y las paredes del Templo del Buen Jesús y desaparecerá Belo Monte», masculla, lúgubre.
— Tu pourrais disparaître à moitié, comme tu aimes faire, et tout le monde s’exclamerait : « Oh, mon Dieu ! Regardez cette magnifique tête joufflue qui tire une carriole dans la rue ! »
–Podrías hacer tu truco de magia de desaparecer y luego todo el mundo creería: ¡Vaya, vaya, miren a esa gloriosa cabezota jalando del carruaje por la calle!
Personne ne regarde – allons… Bon – alors, tire-toi ! 
No nos miran, aproveche… ¿No? Váyase a la mierda.
Vous ne pouvez pas… — Tire-toi, répliqua l’autre en le bousculant. Le premier prit Len Pagett par le bras.
Usted no puede… —¡Váyase al cuerno! —Una mano lo empujó, mientras el primer hombre cogía a Pagett por el brazo—.
Elle s’étira en pensant que c’était le départ de son père, le claquement de la porte d’entrée, qui l’avait tirée du sommeil.
Se levantó, se estiró un poco y pensó que la habría despertado el ruido de la puerta al marcharse su padre.
Pol Pot. Il pénètre dans les cerveaux et, une fois le carnage terminé, il repart à tire-d’aile.
En Pol Pot. Vuela hasta sus cabezas y, una vez perpetrada la carnicería, vuelve a marcharse.
— Oui, mais quand une nouvelle prend un client et tire les rideaux, les foules s’en vont, en général, observa Nico Oudejans.
—Cuando una chica nueva se lleva adentro a un cliente y corre la cortina, la multitud suele marcharse —dijo Nico Oudejans.
Giulio cherche à s’en aller, mais Pollo le tire par son pull-over de laine rouge, le traînant pratiquement à côté de lui sur le divan.
Giulio hace ademán de marcharse, pero Pollo lo agarra por el pequeño suéter de lana rojo y lo arrastra hasta colocarlo junto a él sobre el sofá.
Ah ! vous croyiez que vous pouviez partir quand vous vouliez !… J’ai compris que ce que nous appelons notre volonté, ce sont les fils qui font marcher la marionnette, et que Dieu tire.
¡Áh, creía usted que podía marcharse cuando se le antojase!… He comprendido que lo que nosotros llamamos nuestra voluntad, son los hilos que mueven a la marioneta y de los que tira Dios.
Et demande aux flics à qui on graisse la patte de venir relever les empreintes dans sa chambre. Tire toutes les ficelles possibles. — Entendu, patron. L’homme se hâta vers la sortie. — Attends !
Y que los polis que tenemos en nómina vayan a su habitación para lo de las huellas. Llama a todos los timadores que conozco. – Hecho. -El hombre se dispuso a marcharse. – ¡Un momento!
Toujours assis à l’arrière, Raúl expédie en hurlant des balles qui leur sifflent aux oreilles, il tire à tout-va parce que, si c’est là sa dernière Arriba, autant en finir avec classe.
Raúl dispara desde atrás, y las balas pasan rozando las orejas de sus dos chicos de delante, y no para de gritar porque si este es el último Arriba, quiere marcharse con estilo.
Maturin s’inclina devant le capitaine du port, prit congé d’Aubrey et descendit au flanc de la frégate, pensant à peine aux marches ou aux tire-veille tant son esprit était ailleurs.
Maturin hizo una inclinación de cabeza al comandante del puerto, pidió permiso a Aubrey para marcharse y bajó por el costado casi sin pensar en los escalones y los cabos, pues su pensamiento estaba muy lejos.
Il la regardait repartir vers la cuisine dans l’épais pull de laine qui dissimulait sa petite culotte noire, avec ses chaussettes de laine qui tire-bouchonnaient sur ses jambes, et il attendait de voir son visage quand elle reviendrait et le regarderait.
La miraba cuando volvía a marcharse a la cocina, con un jersey de lana sobre los pantis negros, largo y holgado en torno a las piernas, con calcetines de lana, y esperaba hasta ver su rostro cuando regresaba, mirándolo.
Face pointée en-fin non-zyeuter en-arrière jette voua en-sus zépaule, voua cita-tionne rebelle estimé, zélé révolutionnaire Che Guevara : « Tire, poltron.
Dejando de orientar la cara propia hacia atrás, y lanzando la voz propia por encima del hombro al marcharse, este agente cita al honorable rebelde y tenaz revolucionario Che Guevara y dice: —«Dispara, cobarde.
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