Translation for "terril" to spanish
Terril
Translation examples
montón de escoria
Nous grimpons au sommet du terril.
Subimos a la cima del montón de escoria.
Craignant de casser ses lunettes s’il tombait, il les rangea soigneusement dans sa poche de chemise et se mit en devoir de traverser le terril.
Temiendo romperse sus preciadas gafas en alguna caída, Limbeck las guardó cuidadosamente en el bolsillo de la camisa y empezó a abrirse paso por el montón de escoria.
Il conduit son convoi jusqu’au sommet du terril, décroche les wagons et retourne au puits, pour revenir bientôt avec un nouveau chargement.
Llevó el tren a la cima del montón de escoria, desenganchó los vagones y condujo nuevamente la locomotora al pozo, para volver al cabo de un rato con una nueva serie de vagones.
La crasse que l’on remonte du puits est chargée sur des wagons qu’une locomotive entraîne vers un autre terril situé à quelque quatre cents mètres de là, puis les abandonne.
Cuando la escoria sale del pozo es cargada en vagones y una locomotora los lleva a un montón de escoria, a unos dos o trescientos metros, y allí los deja.
Au sud, un terril dresse sa silhouette trapue, ramassée sur sa note sombre comme s’il couvait le noir d’où renaîtront les vraies nuits, vivantes de ténèbres.
En el Sur, un montón de escoria alza su silueta robusta, replegada en su color tenebroso como si incubara la negrura de la que nacerán las noches auténticas, que viven de las tinieblas.
Dans les périodes de grève, où tout le monde manque de combustible, les mineurs s’arment de leur pelle et de leur pic et vont s’attaquer aux terrils, leur donnant ainsi cet aspect bosselé qu’on leur connaît.
En época de huelgas, en que todo el mundo anda corto de combustible, los mineros cogen picos y palas y excavan en los montones de escorias, a lo cual se debe lo irregular de su superficie.
Le train m’emportait à travers un monstrueux décor de terrils, de cheminées, de ferrailles amoncelées, de canaux emplis d’eau croupie, de chemins au sol de boue cendreuse marqué par les empreintes de centaines de galoches.
El tren me alejó de allí, a través del monstruoso paisaje de montones de escoria, chimeneas, chatarra apilada, canales de agua sucia y caminos de barro ceniciento, todo surcado por las huellas de los zuecos.
Souvent ces terrils brûlent encore et la nuit vous apercevez des rigoles de feu décrivant des parcours sinueux, ainsi que les lentes flammes bleues du soufre, qui semblent perpétuellement sur le point de mourir et qui renaissent sans cesse.
A menudo, los montones de escoria están encendidos, y por la noche se ven serpentear los riachuelos rojos del fuego y el lento oscilar de las llamas azules del azufre, que parecen siempre a punto de extinguirse pero siempre se avivan otra vez.
toute cette périphérie ostravienne interminable, où se mêlent étrangement les usines et la nature, les champs et les décharges d’ordures, les bouquets d’arbres et les terrils, les grands immeubles et les maisonnettes champêtres, m’attirait et me troublait d’extraordinaire façon ;
toda aquella periferia interminable de la ciudad de Ostrava, en la que se mezclan en una extrañísima combinación la fábrica y la naturaleza, el campo con el basural, los bosquecillos con las escombreras, los edificios de pisos con las casas de campo, me atraía y me excitaba de un modo particular;
aussi partis-je pour la première fois depuis très longtemps à Manchester, en six heures de train à travers une bonne partie du pays, par les forêts d’épicéas et la lande désolée autour de Thetford, les dépressions, d’un noir profond en cette période hivernale, de l’Isle of Ely, voyant défiler dehors ces agglomérations et ces villes qui se ressemblent toutes dans leur laideur – March, Peterborough, Nottingham, Alfreton, Sheffield –, les installations industrielles à l’abandon, les terrils et les haldes de coke, les tours de refroidissement fumantes, les hauteurs dénudées, les prairies à moutons, les murs de pierre, et encore les bourrasques de neige, les averses et les couleurs sans cesse changeantes du temps.
así que por primera vez en mucho tiempo volví a viajar a Manchester, durante seis horas en tren más o menos atravesando el país, por los bosques de pinos y la árida estepa de Thetford, por las anchas y en invierno negrísimas hondonadas de Isle of Ely; vi pasar de largo por fuera poblaciones y ciudades que en fealdad semejaban unas a otras —March, Peterborough, Loughborough, Nottingham, Alfreton, Sheffield—, vi industrias desahuciadas, escombreras de coque, humeantes torres de refrigeración, cordilleras desiertas, pastos de ovejas, muros de piedra, vi tormentas de nieve, la lluvia y los colores continuamente cambiantes del cielo.
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