Translation for "tendre le bras" to spanish
Tendre le bras
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La seule difficulté serait de tendre le bras jusqu’à la balustrade.
La única dificultad era alcanzar la barandilla con la mano.
Nancy l’escalada prestement pour aller s’asseoir sur la première grosse branche confortable d’où tendre le bras vers les cerises qui luisaient autour d’elle et courber les rameaux au-dessus de sa tête.
Nancy trepó con agilidad hasta la primera rama grande en la que poder sentarse cómodamente, alcanzar las cerezas que brillaban a su alrededor y combar las ramas de encima de su cabeza.
On avait mal évalué la hauteur relative du chevalet et de la reine ; celle-ci était par conséquent obligée de se hisser sur la pointe des pieds et de tendre le bras pour saisir la corde. Elle paraissait en équilibre précaire et avait l’air un peu ridicule.
Como alguien había calculado mal la altura del caballete en proporción a la soberana, la reina tuvo que ponerse de puntillas y estirar los brazos para alcanzar el cordón. Parecía insegura y algo ridícula.
Chantreau venait de faire tomber les atouts et risquait l’impasse décisive quand, sans avoir besoin de se tourner, M. Labbé vit Kachoudas se lever à moitié, sans perdre tout à fait le contact avec sa chaise, se pencher vers lui, tendre le bras comme pour ramasser un objet dans la sciure de bois qui couvrait le plancher.
Chantreau acababa de cantar triunfos y se arriesgaba ya al impasse decisivo cuando, sin necesidad de volverse, Monsieur Labbé vio que Kachudas se levantaba a medias, sin perder del todo el contacto con su silla, y se inclinaba hacia él alargando el brazo como para alcanzar un objeto entre el serrín que cubría el suelo.
Je n’étais pas un lecteur de poésie compétent mais mes questions durent le toucher d’une façon ou d’une autre, ou alors il réussit à tout ramener à l’essence de ce qu’il voulait atteindre par l’écriture, en tout cas l’interview fut une réussite, on y consacra presque deux heures, et en quittant les lieux pour reprendre le bus qui me ramena en ville j’avais le sentiment que tout était à ma portée, que j’étais tout près de quelque chose d’important et qu’il me suffisait de tendre le bras pour l’atteindre.
Yo no era un lector experto en poesía, pero de alguna manera las preguntas tocaron algo que era importante para él, o quizá consiguió llevarlo todo hacia ese núcleo que él quería alcanzar al escribir, porque la entrevista salió bien, estuvimos hablando durante casi dos horas, y cuando me marché de allí y cogí el autobús hacia el centro, sentía que tenía todo a mi alcance, que me encontraba muy cerca de algo importante, algo que sería capaz de conseguir si me estiraba.
L’arme était dans le holster, mais je fus incapable de me décoller du fauteuil, et même de tendre le bras.
La pistola estaba en la cartuchera, pero yo no podía moverme de la silla ni llegar hasta él.
Mais il eut beau tendre le bras, il n’arrivait pas à la hauteur de la plume de soleil la plus proche !
¡Pero por mucho que se estiraba no alcanzaba a llegar a la pluma dorada más baja!
Garrett essaya de me tendre le bras, mais je le dépassai sans qu’il en eût le temps. Je ne ralentis ma course qu’en pénétrant dans la chambre à coucher de ma mère.
Garrett trató de detenerme, pero pasé por su lado sin parar; debía llegar a la habitación de mi madre.
Toby gardait le visage pressé contre le sol luisant de manière à pouvoir tendre le bras aussi loin que possible.
Toby apretaba la cara contra la pulida superficie para poder llegar con los dedos lo más lejos posible.
Il était immobile tout en haut du tableau, si haut que le professeur devait tendre le bras au-dessus de la tête pour y arriver.
Estaba inmóvil en la parte superior de la pizarra, tan alto que su padre tuvo que estirar el brazo por encima de la cabeza para llegar hasta allí.
Si Dagna pouvait tendre le bras depuis le seuil de la Forge de Moradin, il t’attraperait par le col et t’enverrait mener la charge à la porte est.
Si Dagna pudiera llegar desde los Salones de Moradin, te agarraría por el cuello de la camisa y te mandaría de cabeza a dirigir la carga a la puerta oriental.
La nuit, elle dormait sans jamais fermer complètement les persiennes, une petite lampe sur le guéridon à côté du lit, qui était toujours allumée, et la table roulante avec la thermos du Skiwasser – et avec le téléphone – si proche, elle aussi, que, pour l’atteindre, elle avait seulement à tendre le bras.
Por la noche dormía sin echar las persianas nunca, con una lamparita siempre encendida sobre la mesita de noche y siempre al alcance, también, el carrito con el termo del Skiwasser (¡y el teléfono!), de modo que para llegar hasta él le bastaba con extender el brazo.
Je cherche la porte à travers les couloirs tout à coup déserts, je veux trouver l’entrée mais il n’y a pas de porte, on les a murées pour le bal d’Emperatriz, on a suspendu des toiles d’araignées, écaillé les murs, prolongé les galeries en de fausses perspectives où je me cogne la tête en essayant de fuir, on a tout muré pour enfermer mon image monstrueuse, oui, ce n’est qu’une image, j’en ai une autre, maintenant qu’ils ont disparu, je puis courir au bassin de Diane sans que personne s’en rende compte pour recouvrer l’autre image que je ne trouve pas sur l’eau, il n’y flotte que ce tourbillon de traits, cette décomposition de plans, cette exagération de formes, ces mutilations, ces sutures, ces cicatrices, ces épaules qui n’emboîtent pas le corps, le cou effacé, les bras d’une longueur fluctuante, c’est mon image floue qui attend que se dissipe la lumière du soir pour se réorganiser différemment, mais la lumière n’efface rien car c’est une nuit de pleine Lune et je ne puis m’enfuir puisque j’ai promis à Emperatriz d’assister à son bal masqué et c’est pour cela que je me suis mis ce visage qui saigne parce que je ne peux pas l’enlever, le masque fracturé ne recouvre rien, trouver quelqu’un qui m’aide et me guide, courir traqué par les chats à la tête phénoménale qui peuvent se jeter sur moi dans l’obscurité maintenant complète à part leurs prunelles incendiées, non, non, là-bas, au fond de cette imitation de couloir il y a de la lumière, des voix, mes amis peut-être, peut-être de la musique, je cours, c’est moi, c’est moi, attendez-moi, je suis faible mais je parviendrai jusqu’à la lumière, à la musique… je trébuche, je tombe, mon visage éclate en donnant contre le sol en briques, à genoux par terre, j’enserre ce qui me reste de traits pour les réunir, pour forger quelque chose qui ressemble à un visage, comme si c’était de l’argile, c’est mou, peut-être arriverai-je à reconstituer mes anciens traits, mais je ne me les rappelle plus, en essayant de me modeler un visage, il me reste des morceaux collés aux mains, je marche à quatre pattes vers la lumière, j’ouvre la porte avec ma tête comme un chien, c’est le bal d’Emperatriz, on m’a menti pour me faire déguiser en monstre déguenillé, en pleine lumière dansent des personnes connues et inconnues aux perruques monumentales comme des gâteaux de mariage, avec des turbans dorés, des cascades de perles, des loups opalescents, des dominos en brocart, des chaussons pointus en satin pour danser le menuet, les crinolines girent, les tricornes à la main, les uniformes reluisent, de superbes masques en carton-pâte cachent leurs figures monstrueuses, des fossettes de coquetterie, les couples dansent, doigts délicatement unis, boivent dans des coupes en cristal givré quand j’entre à quatre pattes pour qu’on ne me voie pas, je suis venu déguisé pour un autre bal, un bal où tout était portes murées et couloirs interminables, et êtres imbéciles abrités derrière des murs de pieuse argile, non pour ce bal où tout est clair, fin, léger, on m’a berné, je dois fuir avant que marquis, cardinaux, princes et hallebardiers ne rient de moi, ils vont me rosser parce que je suis venu déguisé en monstre, eux pas, moi si, eux pas, l’eau du bassin va m’aider à changer de visage, la Lune dessine dans l’eau le moindre détail de mon masque flottant sur l’eau, que ne puis-je me l’enlever, l’arracher à l’eau où la séparation des chairs serait peut-être moins douloureuse… m’agenouiller sur le rebord… tendre le bras pour m’arracher le masque de la terreur…
Busco la puerta por los pasillos repentinamente desiertos, quiero encontrar la portería pero no hay puertas, las han tapiado para el baile de Emperatriz, han colgado telarañas y descáscarado los muros y prolongado las galerías con perspectivas falsas que me hacen golpearme la cabeza al tratar de huir por ellas, han tapiado todo para encerrar mi imagen monstruosa, sí, no es más que una imagen, tengo otra, ahora que han desaparecido puedo correr hasta el estanque de la Diana sin que nadie se dé cuenta para recobrar la otra imagen que no encuentro en el agua, flota solo ese revoltijo de facciones, esa descomposición de planos, esa exageración de rasgos, esas supresiones, suturas, cicatrices, esos hombros que no encajan con el cuerpo, el cuello borrado, los brazos de longitud fluctuante, es mi imagen borrosa que espera a que se disipe la luz de la tarde para volver a armarse de otra manera, pero la luz no borra nada porque es noche de luna llena y no puedo huir si le prometí a Emperatriz asistir a su baile de disfraces y para eso me puse este rostro que sangra porque no me lo puedo sacar, la máscara fracturada no cubre nada, encontrar a alguien que me ayude y me guíe, correr acosado por los gatos de cabezas fenomenales que pueden apoderarse de mí en la oscuridad que ahora es completa fuera de sus pupilas encendidas, no, no, allá en el fondo de ese pasillo simulado hay luz, voces, quizá mis amigos, quizá música, corro, soy yo, soy yo, espérenme, estoy endeble, pero voy a llegar a la luz y a la música… tropiezo, caigo, la cara se me deshace en su golpe contra el piso de ladrillos, arrodillado en el suelo me aprieto lo que me queda de facciones para unirlas, para forjar algo parecido a un rostro, como si fuera arcilla, es blanda, quizá logre reconstruir mis facciones antiguas, pero ya no me acuerdo de cómo eran, al tratar de moldearme un rostro me quedan trozos adheridos a las manos, gateo hacia la luz, con la cabeza, como un perro me abro la puerta, el baile de Emperatriz, me mintieron para que yo me disfrazara de monstruo harapiento, en medio de la luz bailan los conocidos y los desconocidos con pelucas monumentales como de repostería, con turbantes dorados y chorreras de perlas, antifaces opalescentes, dominós de brocado, zapatillas de raso en punta bailando un minué, las crinolinas girando, los tricornios en la mano, los uniformes reluciendo, las máscaras de cartonpiedra bellísimas ocultando sus rostros monstruosos, hoyuelos de coquetería, bailan las parejas, unidos los dedos delicadamente, beben en copas de cristal helado cuando entro a gatas para que no me vean, yo vine disfrazado para otro baile, un baile en que todo era puertas tapiadas y pasillos interminables y seres imbéciles resguardados detrás de paredes de adobe piadoso, no este baile donde todo es claro y fino y liviano, me engañaron, tengo que huir antes de que las marquesas y los cardenales y los príncipes y los alabarderos se rían de mí, me van a dar una paliza porque vine disfrazado de monstruo y ellos no, yo sí, ellos no, el agua del estanque me ayudará a cambiar de cara, la luna dibuja en el agua hasta el último detalle de mi máscara flotando en el agua, si pudiera sacármela, arrancársela al agua donde quizá sería menos dolorosa la separación de carne y carne… arrodillarme en el borde… estirar el brazo para arrancarme la máscara del terror.
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