Translation for "tell" to spanish
Translation examples
List to my story, I’ll tell it ail
Escucha mi historia, te la contaré entera;
Tous nos colons installés au-delà du Tell en pourraient dire à peu près autant.
Todos nuestros colonos instalados más allá de Tell podrían contar algo parecido.
Il y a environ huit ans, mon projet original pour ce livre de contes et de récits imaginaires consistait en un recueil de nouvelles que j’aurais intitulé These people ought to know who we are and tell that we were here (Ces gens-là devraient savoir qui nous sommes et dire que nous étions ici), d’après le texte d’une bulle de la bande dessinée Little Nemo (on peut aujourd’hui trouver une superbe reproduction en couleurs de cette planche du dimanche dans le livre d’Art Spiegelman, À l’ombre des tours mortes), et dans lequel chaque histoire aurait été racontée par une personne différente.
Cuando empecé a planear este libro de cuentos y ficciones varias, hará unos ocho años, mi intención era la de escribir una serie de relatos breves y publicarlos con el título de Esa gente debería saber quiénes somos y contar que estuvimos aquí, título sugerido por un bocadillo en una viñeta de una página de Little Nemo (actualmente podéis encontrar una bonita reproducción de la misma en el libro Sin la sombra de las torres, de Art Spiegelman).
Et puis, qu’est-ce que voulait dire Tell… tout le monde est d’accord… sur quoi ?
¿Qué era lo que quería decir Tell con lo del consenso?
[As we can tell, because] We discover that messengers have come also to King Brand in Dale, and that he is afraid.
[Tal como podemos decir, porque] hemos sabido que otros mensajeros han llegado hasta el Rey Brand en Valle, y que está asustado.
Avant que je puisse ajouter quoi que ce soit, son portable se mit à sonner. C’était la version métallico-électronique de l’« Ouverture » de Guillaume Tell que ma mère avait choisie comme sonnerie pour les appels provenant du bureau du coroner : l’appel du devoir.
Antes de que pudiera decir nada más, sonó la versión electrónica de la obertura de Guillermo Tell en el móvil de mi madre; era el tono que le había asignado a la oficina del forense: la llamada del deber.
Les exemplaires de Commentary et de la Paris Review que j’avais expédiés ou emportés à Elizabeth à l’occasion d’une visite – et où figuraient mes nouvelles intitulées « Epstein », « Conversion of the Jews » et « You Can’t Tell a Man by the Song he Sings »[43] – ma mère les présentait, entre des serre-livres, sur une desserte du salon.
Los números de Commentary y la París Review que había enviado por correo o llevado a Elizabeth cuando iba de visita, contenían mis relatos «Epstein», «La conversión de los judíos» y «Puedes decir cómo es un hombre por la canción que canta», y mi madre los exhibía, colocados entre sujetalibros, sobre una mesita de la sala de estar.
Ignorant que l’émetteur avait été mis provisoirement hors service, l’Écossais continuait à agiter avec conscience son réflecteur d’ondes vers Arcturus, tel un Guillaume Tell cuirassé maniant son arbalète. — Hello, Mac ! Tu es prêt ?
éste, sin saber que el transmisor llevaba un rato apagado, sostenía aún el aparato dirigido hacia Arturo, como un Guillermo Tell que apuntara su arco. -Hola, Mac, ¿estás listo? -Estoy prácticamente osificado -repuso Mackay, con orgullo-.
So I can tell you, fuck you. FUCK YOU, guys ! »), on se disait, partagé entre le fou rire et l’inquiétude, que c’était bien du Phil Dick, cinglé comme ses livres et comme ses livres toujours passionnant.
So I can tell you, fuck you FUCK YOU, guys!»[1]), entonces cada uno de sus amigos se decía para sus adentros, sin saber si reírse o preocuparse que aquello era típico de Phil Dick, medio loco como sus libros y como ellos, siempre apasionante.
Le froid que jusque-là nous n’avons pas senti nous le sentons après et moi je me souviens que j’allais mettre les pennies dans le poêle et je me relève et me détache de l’îlot de son odeur je continue ma traversée au milieu de ces corps inconnus au milieu d’odeurs incompatibles ou même répugnantes, je cherche dans les affaires des autres si j’y trouve quelques pennies, je cherche le poêle en suivant la puanteur du gaz et je le fais marcher plus essoufflé et puant que jamais, je cherche les cabinets en suivant leur puanteur de cabinets et je pisse là en tremblant dans la lueur grise du matin qui coule d’une petite fenêtre, je reviens dans le noir dans le renfermé dans l’haleine des corps, je dois à présent traverser de nouveau pour retrouver cette fille dont je ne connais rien d’autre que l’odeur, c’est difficile de chercher dans le noir et puis même si je la voyais comment faire pour savoir si c’est elle je ne connais rien d’autre que son odeur, alors j’avance en humant les corps étalés par terre et quelqu’un me lance Fuck off et me donne un coup de poing, ce local est fait d’une drôle de façon il semble y avoir plein de pièces avec des gens allongés dedans, moi l’orientation je l’ai perdue je ne l’ai jamais eue, ces filles-là ont d’autres odeurs, certaines pourraient très bien être elle sauf que l’odeur n’est plus la même, et pendant ce temps Howard s’est réveillé il est déjà là avec sa basse et reprend Don’t tell me I’m through, moi j’ai l’impression d’avoir déjà fait tout le tour mais où est-elle allée se fourrer, au milieu de toutes ces filles qu’on commence à apercevoir dans la lumière qui pénètre, mais ce que je veux sentir je ne le sens pas, je suis là en train de tourner en rond comme un idiot et ne la retrouve pas, Have mercy, have mercy of me, je passe entre une peau et l’autre cherchant cette peau perdue qui ne ressemble à aucune autre peau.
El frío que entretanto no habíamos sentido lo sentimos después y recuerdo que iba a meter los pennies en la estufa y me levanto me separo de la isla de su olor continúo mi travesía en medio de los cuerpos desconocidos en medio de olores incompatibles y hasta repulsivos, busco en las ropas de los otros a ver si encuentro unos pennies, busco la estufa siguiendo el hedor de gas y la pongo en marcha más pestilente que nunca, busco la letrina siguiendo el hedor de letrina y orino temblando en la luz gris de la mañana que se filtra por la ventanilla, vuelvo a la oscuridad al encierro a la respiración de los cuerpos, ahora tengo que atravesar de nuevo para encontrar a la chica de la que no conozco nada más que el olor, es difícil buscar en la oscuridad pero aunque la viese cómo hago para saber si es ella no conozco nada más que el olor, voy así olfateando los cuerpos tendidos en el suelo y uno me dice fuck off y me da un puñetazo, este lugar es extraño parecen tantas habitaciones con tantas gentes tendidas dentro, pierdo el sentido de la orientación, nunca lo tuve, estas chicas tienen otros olores, algunas podrían muy bien ser ella sólo que el olor ya no es aquél, entretanto Howard se ha despertado y ya está allí con el bajo que vuelve a empezar Don’t tell me I’m through, a mí me parece que ya di toda la vuelta y ella dónde se ha metido, en medio de todas esas chicas que empiezan a verse en la luz que entra, pero lo que quiero oler no lo huelo, estoy aquí dando vueltas como un idiota y no la encuentro, Have mercy, have mercy of me, paso entre piel y piel buscando esa piel perdida que no se parece a ninguna piel.
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