Translation for "sortilège" to spanish
Translation examples
Par quel sortilège ?
¿Mediante qué hechizos?
Avec leur départ, le sortilège fut rompu.
Con ellos se fue el hechizo.
Le sortilège était puissant ;
El hechizo era poderoso;
— As-tu apprécié mon sortilège ?
—¿Qué te han parecido mis hechizos?
— Le sortilège de Morphée !
—¡El hechizo de Morfeo!
ce genre de sortilège.
esa clase de hechizos.
Le sortilège fut rompu.
El hechizo se había roto;
Dans la Salle des Sortilèges
En la Habitación de los Hechizos…».
Une malédiction, un sortilège.
Una maldición, un hechizo.
Le hasard a de ces sortilèges, pas la nécessité.
No es la necesidad, sino la casualidad, la que está llena de encantos.
La vue de cette forme et l’expression de son visage rompirent le sortilège.
La vista de este bulto y la expresión de su rostro rompieron el encanto.
cette passivité faisait d’ailleurs partie du doux sortilège qu’elle exerçait.
ser pasiva formaba parte de su sutil encanto.
Mme Cazenave avait renoncé à ses charmes, à la succulence de ses sortilèges, à son trône aérien.
La señora Cazenave había renunciado a sus encantos, a la suculencia de su embrujo, a su trono etéreo.
Ou obnubilé par la jalousie. Je passais mon temps à chercher par quel sortilège me gagner ses faveurs.
O muerto de celos. Constantemente intentaba descubrir cuáles de mis encantos atraían su favor.
Ils se croyaient à l’abri de toute atteinte du mal, protégés par les sortilèges d’un amour flambant neuf.
Se creían a salvo de todo mal, amparados por el encanto de ese nuevo amor.
Et, l’espace d’un instant, le sortilège du Fils lui était rendu, elle était renvoyée à la destination précise de son voyage.
Y por un momento eso parecía restituirle el encanto del Hijo y llevarla de regreso al punto exacto al que se encaminaba su viaje.
La dernière fois que cela s’était produit, j’étais sous l’influence du sortilège de luxure de Victor et m’étais comportée… de manière agressive.
La última vez que esto había sucedido, yo estaba bajo la influencia del encanto de lujuria de Víctor y me comporte... agresivamente.
Écrire un roman, c’est être victime d’un sortilège.
Escribir novelas es como estar fascinado.
Vous vous rendez compte, il faut qu’on rédige trois devoirs, qu’on pratique les sortilèges de Disparition pour McGonagall, qu’on mette au point un contre-sortilège pour Flitwick, qu’on finisse le dessin du Botruc et qu’on commence ce stupide journal de nos rêves pour Trelawney !
¿Se dan cuenta de que tenemos que escribir tres ensayos, practicar Encantamientos Desvanecedores para McGonagall, descubrir un contraconjuro para Flitwick, terminar el diagrama del Bowtruckle y empezar el estúpido diario de sueños para Trelawney?
— Je vais te rédiger un petit sortilège nocif, qui clouera Mortola au lit pendant des semaines et te donnera le temps de prouver à Capricorne que tu es le vrai maître des clés.
—Te escribiré un pequeño sortilegio dañino. Uno que obligue a Mortola a guardar cama durante semanas y te dé tiempo a demostrarle a Capricornio que eres el auténtico dueño y señor de las llaves.
Je m’imaginais me lever chaque jour de bonne heure, prendre le petit-déjeuner avec Dan et Jenny, puis les amener à l’école et au travail et m’enfermer ensuite pour écrire jusqu’à l’heure d’aller les chercher, d’abord Dan et puis Jenny, j’allais les chercher et nous rentrions à la maison pour préparer le dîner et, après le dîner, nous jouions ou lisions ou regardions la télévision ou bavardions jusqu’à ce que le sommeil s’empare de nous un par un, sans qu’aucun de nous trois ne veuille admettre, même pour lui-même, que cette routine quotidienne était en réalité une espèce de sortilège, un tour de magie avec lequel nous voulions rendre le passé réversible et ressusciter les morts.
Me imaginaba levantándome cada día muy temprano, desayunando con Dan y con Jenny y llevándolos luego al colegio y al trabajo y luego encerrándome a escribir hasta que llegaba la hora de ir a buscarlos, primero a Dan y después a Jenny, los iba a buscar y volvíamos a casa y preparábamos la cena y cenábamos y después de cenar jugábamos o leíamos o veíamos la televisión o charlábamos hasta que el sueño nos iba derrotando uno a uno sin que ninguno de los tres quisiera admitir, ni siquiera ante sí mismo, que aquella rutina cotidiana era en realidad una suerte de sortilegio, un pase de magia con el que queríamos volver reversible el pasado y resucitar a los muertos.
Sottises, les personnes ne meurent pas, j’ai l’obligation de le préciser, elles demeurent simplement enchantées… c’est un écrivain que tu devrais connaître qui l’a dit, nous demeurons enchantés par ceux qui nous aiment, mais ceux qui nous aiment beaucoup beaucoup beaucoup, nous sommes là à moitié en l’air comme des petits ballons mais personne ne nous voit, seuls nous voient ceux qui nous aiment, mais uniquement ceux qui nous aiment beaucoup beaucoup beaucoup, et eux, en se dressant sur la pointe des pieds, avec un petit élan, un petit saut de rien, ils nous attrapent par les jambes qui sont désormais faites d’air et nous tirent en bas, en nous tenant bien, sans quoi nous recommencerions de voler, de léviter, mais en nous tenant sous le bras ils nous retiennent en bas, dans ce bas où ils sont, mine de rien, comme se font certaines petites fictions dans la vie, par convenance sociale, pour ne pas faire mauvaise figure avec le mercier ou le buraliste qui te connaît depuis toujours et qui dirait mais comme il est étrange celui-là qui se promène avec sous le bras sa femme qui flotte à moitié en l’air… Et c’est ce qui lui arriva, à Tristano, c’était un dimanche, et même si ce n’est pas le cas ça revient au même car j’ai décidé que les choses importantes pour Tristano eurent lieu le dimanche, et si tu l’écris dans le livre que tu vas écrire, cela aussi deviendra vrai, parce qu’une fois écrites les choses deviennent vraies, et oui c’était au mois d’août, car j’ai décidé que les choses importantes de la vie de Tristano arrivèrent un dimanche d’août, et si tu l’écris, eh bien cela aussi deviendra vrai, tu verras… il errait dans Plaka déserte et pensait à certains de ses sourires mélancoliques à elle, à certaines soirées mélancoliques à Malafrasca, Daphné méditative devant les fenêtres grandes ouvertes sur la plaine, les lampes à pétrole, et sa voix au léger accent crétois qui disait, Tristano, voilà une de mes volontés, quand je mourrai je ne veux pas être enterrée ici, dans cette plaine où il y a un cimetière plein de brouillard, ramène-moi à la maison et fais-moi incinérer, et répands les cendres dans ma mer, entre mes îles de l’Égée, mais pas en un geste dramatique, s’il te plaît, de manière simple, tu iras çà et là, d’une île à l’autre, tu te feras prêter une barque par un pêcheur, éloigne-toi un peu de la plage, mais pas beaucoup, à Syphnos, à Naxos, à Paros, et tu me jetteras une pincée ici et une pincée là, et toi s’il te plaît mets-toi tout nu au fond de la barque, comme quand nous faisions ces excursions parce que tu t’entêtais à vouloir pêcher ces gambusinen que tu n’attrapais jamais, puis nous finissions par faire l’amour et la barque tanguait dangereusement et tu criais, naufrage en vue !… Tristano fit une halte auprès du mercier de Plaka, celle qu’il cherchait gisait dans une chapelle byzantine juste là à côté, il faisait une chaleur… et il pensait que le mercier allait lui offrir le moyen de la lui faire retrouver du fait qu’il l’avait connue jeune fille, mais le mercier ne s’en souvenait pas, alors Tristano alla au kiosque de boissons et demanda au bonhomme, vous vous souvenez d’une femme qui, jeune fille, achetait parfois ici des caramels, elle s’appelle Daphné, surnommée Phine, les amis l’ont toujours appelée ainsi, elle repose dans un cercueil de la petite église ici à côté sur la place, vous vous la rappelez, pourriez-vous me la faire restituer ?, j’ai entendu dire que de tels sortilèges ont parfois lieu et je suis en train d’essayer… Mais le bonhomme du kiosque ne se souvenait pas de Daphné, désolé, dit-il, il y a tant de Daphnés en Grèce… et Tristano se retourna alors vers la femme cul-de-jatte qui vendait des violettes, et la femme cul-de-jatte qui vendait des violettes s’en souvint aussitôt, elle dit mais certainement, mais certainement, cette jeune fille qui avait des yeux comme des olives noires, beaucoup de temps a passé mais je me la rappelle bien, sache qu’elle ne s’est pas évanouie dans le néant, elle est juste à côté de toi, à la hauteur de la branche de cet oranger, il suffirait que tu l’attrapes par les jambes et que tu la tires en bas… La magie est étrange, l’écrivain, car aussitôt dit aussitôt fait, Tristano se retourna, il vit Mavri Elià qui était en train de flotter à la hauteur d’une orange et il lui dit, comme je suis stupide, avec la vieillesse je dois avoir perdu la vue, tu étais précisément là derrière moi et je ne m’en étais pas rendu compte, heureusement qu’il y avait cette dame qui vend des violettes et qui m’a fait comprendre que tu étais simplement sous enchantement… Merci, madame, dit-il à la femme cul-de-jatte qui vendait des violettes, il tira Daphné en bas de l’arbre et ils se mirent à cheminer à travers Plaka, contrairement à ce qu’il avait cru c’était une journée d’hiver, et Daphné lui dit, entre par ma porte, ils sont en train de tirer, c’est dangereux, et tu as tué un officier allemand.
Estupideces, las personas no mueren, me veo en la obligación de precisar, quedan solo hechizadas… lo dijo un escritor al que deberías conocer, nosotros quedamos hechizados por aquellos que nos aman, pero por aquellos que nos aman mucho mucho mucho, nos quedamos ahí, flotando en el aire como globos, pero no nos ve nadie, solo nos ven aquellos que nos aman, pero aquellos que nos aman mucho mucho mucho, y ellos, poniéndose de puntillas, con un pequeño impulso, un saltito de nada, nos cogen de las piernas que ya se han vuelto de aire y nos arrastran hacia abajo, reteniéndonos, pues, si no, empezaríamos otra vez a volar, a levitar, pero ellos, cogiéndonos del brazo, nos retienen aquí abajo, en ese abajo en el que están ellos, como si nada hubiera pasado, como se montan ciertas pequeñas ficciones en la vida, por conveniencia social, para no quedar mal con el tendero o con el del estanco que te conoce de toda la vida y que diría pero qué raro ese de ahí paseando del brazo con su mujer que fluctúa en el aire… Y así le sucedió a él, a Tristano, era un domingo, y aunque no lo fuera, da igual, porque he decidido que las cosas importantes de la vida de Tristano sucedieron en domingo, y si tú lo escribes en el libro que escribirás se volverá cierto, porque escritas las cosas se vuelven ciertas… y estábamos en agosto, porque he decidido que las cosas importantes de la vida de Tristano sucedieron un domingo de agosto y si tú lo escribes se volverá cierto eso también, verás… él deambulaba por una Plaka desierta y pensaba en ciertas miradas melancólicas de ella, en ciertas veladas melancólicas en Malafrasca, Daphne meditabunda delante de las ventanas abiertas sobre el llano, las lámparas de petróleo, y su voz marcada por el acento cretense que decía, Tristano, una voluntad mía, cuando muera no quiero ser enterrada aquí, en este llano donde hay un cementerio lleno de niebla, llévame a mi casa y haz que me incineren, y las cenizas espárcelas en mi mar, entre mis islas del Egeo, pero no con un gesto dramático, por favor, de manera sencilla, vete por ahí, de una isla a otra, haz que algún pescador te preste una barca, te alejas un poco de la playa, pero no mucho, en Sifnos, en Naxos, en Paros, y me vas echando un pellizco aquí, un pellizco allá, y por favor, tú túmbate desnudo en el fondo de la barca, como cuando hacíamos aquellas excursiones porque tú te empeñabas en pescar gambusinen y no los pescabas nunca, y acabábamos haciendo el amor y la barca cabeceaba peligrosamente y tú gritabas ¡naufragio próximo!… Tristano se entretuvo con el mercero de Plaka, ella estaba tendida en la capilla bizantina de ahí al lado, hacía un calor… y él pensaba que al mercero se le ocurriría la forma de hacer que la encontrara de nuevo porque la había conocido de pequeña, pero el mercero no se acordaba, entonces Tristano se acercó al quiosco de bebidas y preguntó al hombrecillo, se acuerda de una mujer que de niña compraba a veces caramelos aquí, se llama Daphne, más conocida por Phine, sus amigos siempre la han llamado así, está tendida en un ataúd en la capilla de la placita de aquí al lado, ¿se acuerda de ella, podría hacer que me la restituyeran?, he oído decir que a veces ocurren estos sortilegios y estoy intentándolo… Pero el hombrecillo del quiosco no se acordaba de Daphne, lo siento, me decía, pero es que hay tantas Daphnes en Grecia… y entonces Tristano se dirigió a la mujer sin piernas que vendía violetas y la mujer sin piernas que vendía violetas se acordó enseguida, dijo claro, claro, aquella chica que tenía dos ojos que parecían dos aceitunas negras, ha pasado mucho tiempo pero me acuerdo muy bien, mira que no se ha esfumado en la nada, está ahí a tu lado, a la altura de la rama de aquel naranjo, basta con que la cojas de las piernas y con que tires hacia abajo… Son extrañas las magias, escritor, porque fue dicho y hecho, Tristano se dio la vuelta y vio a Mavri Eliá que estaba fluctuando a la altura de una naranja y le dijo, pero qué estúpido, con la vejez debo de haber perdido vista, estabas justo aquí detrás de mí y no me había dado cuenta, menos mal que estaba esta señora que vende violetas y que me ha explicado que solo estabas hechizada… Gracias, señora, le dijo a la mujer sin piernas que vendía violetas, bajó a Daphne del árbol y echaron a caminar por Plaka, contrariamente a lo que él había creído era un día de invierno, y Daphne le dijo, entra en mi portal, están disparando, es peligroso, y tú has matado a un oficial alemán.
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